Juste la fin du monde / Jean Luc Lagarce

Les citations à retenir[pic 1]

À compléter au fur et à mesure de l’étude de l’objet d’étude.

Sur la façon dont Louis se perçoit, dont sa famille le perçoit

« me donner et donner aux autres une dernière fois l’illusion d’être responsable de moi-même et d’être, jusqu’à cette extrémité, mon propre maître (Louis, Prologue)

« tu as fait et tu as toujours fait ce que tu avais à faire » (Suzanne, Première partie, scène 3)

« Je me réveillai avec l’idée étrange […] qu’on m’aimait déjà vivant comme on voudrait m’aimer mort sans pouvoir et sans jamais rien me dire » (Louis, Première partie, scène 5)

« Suzanne ne sait pas qui tu es (…). Antoine, c’est différent, il te connaît à sa manière. » (la Mère, Première partie, scène 8)

 « tout ton soi-disant malheur ‘est qu’une façon que tu as, que tu as toujours eue et que tu auras toujours […] de tricher, de te protéger et de fuir . » (Antoine, Deuxième partie, scène 3)

« Je faisais juste mine de… » (Louis, Première partie, scène 10)

« c’est que le reste du monde disparaîtra avec soi » (Louis, Première partie, scène 10 )         

  Sur la parole familiale

« Parfois tu nous envoyais des lettres elliptiques. » (Suzanne, Première partie, scène 3)

« Ta gueule, Suzanne. » (Louis, Première partie, scène 7)

« Ils voudront t’expliquer mais ils t’expliqueront mal » (La Mère, Première partie, scène 8)

« cela sera mal dit ou trop vite dit (…) Tu répondras à peine deux ou trois mots et tu resteras calme. » (La Mère, Première partie, scène 8)

« Je t’entendais, tu criais, non, j’ai cru que tu criais, je croyais t’entendre, je te cherchais. (Suzanne, Intermède, scène 2)

« Rien jamais ici ne se dit facilement » (Antoine, Deuxième partie, scène 3)                                                          

« hurler une bonne fois, mais je ne le fais pas, je ne l’ai pas fait. » (Louis, Épilogue)

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