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Fallait-il réformer le droit du nom en 2022 ?

Dissertation : Fallait-il réformer le droit du nom en 2022 ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Octobre 2023  •  Dissertation  •  4 149 Mots (17 Pages)  •  87 Vues

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Talia ZEIDAN

TD 3 Groupe 10

L1 série 2

THEME n° 2

La personne – Individualisation

IMPERATIF : VENIR EN TD AVEC UN EXEMPLAIRE DU CODE CIVIL

Dissertation

Fallait-il réformer le droit du nom en 2022 ?

     Le nom est une partie intégrante de notre identité, mais le régime actuel du droit du nom en France présente des lacunes et des difficultés. En 2022, la question de savoir s’il fallait réformer ou non le droit du nom est donc devenue une question de société et de droit qui soulève des enjeux importants en terme de protection des droits individuels et de l’identité. Fallait-il réformer le droit du nom en 2022 ?

      Le Droit, au sens objectif, correspond à l’ensemble de règles visant à organiser la conduite de l’homme en société et dont le respect est assuré par la puissance publique. Au sens subjectif, le droit représente les prérogatives individuelles consacrées par le Droit, permettant à son titulaire d’obtenir quelque chose d’autrui. Le nom est un vocable servant à désigner une personne, porté par les membres d’une même famille. Il constitue l’un des éléments de l’état civil. Le droit du nom désigne ainsi le droit à la désignation physique ou morale sous laquelle elle est identifiée. Il a pour objet de désigner la personne dans la vie sociale et juridique et fait parti des droits de la personnalité. Le nom est un élément d’identification de la personne et une notion de légitimation, reconnaissance et protection. Le verbe « falloir » désigne la nécessité de recourir à cette réforme. Enfin, en droit, le verbe réformer signifie modifier ou changer une règle juridique en vigueur. Cette modification peut être effectuée en modifiant la loi ou les documents qui régissent le domaine en question, ou en révisant les décisions de justice qui ont interprété ou appliqué ces règles. La réforme peut avoir pour but de moderniser, de clarifier, d’harmoniser ou d’adapter le droit existant à l’évolution de la société ou des pratiques juridiques. La réforme peut également avoir pour but de combler des lacunes ou de corriger des erreurs dans le régime juridique en place. En facilitant le port du nom de l’autre parent à titre d’usage, notamment pour les enfants mineurs, et en ouvrant le droit pour toute personne majeure via un formulaire Cerfa, d’ajouter ou de substituer à son nom celui de son autre parent ou d’intervertir l’ordre de ses noms, la loi n° 2022-301 du 2 mars 2022 fait œuvre de simplification. A partir du 1er juillet 2022, il sera possible de changer son nom de famille par simple déclaration à l’état civil. Une personne majeure pourra ainsi choisir de porter le nom de son père, sa mère ou les deux. Cette procédure, introduite dans le Code civil par la loi du 2 mars 2022 relative au choix du nom issu de la filiation, sera possible une fois dans sa vie. Un parent pourra aussi ajouter son nom, à titre d’usage, à celui de son enfant, en informant l’autre parent. En 2022, la question de la réforme du droit du nom a été soulevée par de nombreux acteurs juridiques, politiques et sociaux. Le droit du nom, qui régit de l’attribution, l’utilisation et la protection des noms de famille, prénoms et pseudonymes, est un domaine en constante évolution. La question de s’avoir s’il fallait réformer ce droit en 2022 a suscité un débat animé, avec des arguments pour et contre la réforme. Certaines soutenaient que les changements étaient nécessaires pour répondre aux évolutions de la société, tandis que d’autres estimaient que les principes fondamentaux du droit du nom devaient être préservés. Pour contextualiser, le droit du nom est un domaine complexe qui a fait l’objet de nombreuses discussions et réflexions ces dernières années. Les règles régissant l’attribution, l’utilisation et la protection des noms de famille, prénoms et pseudonymes ont été élaboré au fil du temps pour répondre aux besoins et aux évolutions de la société. Cependant, certains acteurs ont estimé qu’une réforme était nécessaire pour tenir compte des changements sociaux et culturels de ces dernières années. Parmi les enjeux soulevés par les partisans de la réforme figurent notamment la question du droit des enfants à changer de nom en cas de conflit familiale, l’utilisation de pseudonymes pour protéger l’identité des personnes vulnérables, la reconnaissance des noms de familles composés ou des noms étrangers et la question du droit à l’oubli. En 2022, cette question est devenue particulièrement pressante en France avec plusieurs cas médiatiques relatifs au droit du nom. Cela a conduit à un débat public sur la nécessité d’une réforme de ce domaine, avec des avis partagés sur l’opportunité et les contours d’une telle réforme. Le sujet de savoir s’il fallait réformer le droit du nom en 2022 est important car le droit du nom est une domaine qui a une incidence directe sur la vie des individus. Il concerne notamment les noms de famille et les prénoms, qui sont des éléments clés de l’identité de chacun. Le droit au nom est en constante évolution pour répondre aux besoins et aux évolutions de la société. Les règles en vigueur ont été élaborées il y a plusieurs décennies, voire siècles, et certains acteurs estiment qu’elles ne répondent plus aux besoins actuels. Par conséquent, la question de savoir s’il fallait réformer le droit du nom en 2022 est un enjeu important pour le droit et la société dans son ensemble. Il est important aussi de souligner certains enjeux complexes comme le respect de l’identité de chacun, les droits des enfants et des familles, la protection des données personnelles, et la gestion de la diversité culturelle. Une réforme du droit du nom pourrait contribuer à renforcer les droits et les libertés individuelles dans notre société. Tout compte fait, il était nécessaire de réformer le droit du nom en 2022, compte tenu des évolutions sociales et culturelles, qui ont mis en évidence les limites et les insuffisances du régime actuel. Les règles actuelles du droit du nom ont été conçues pour répondre à des situations familiales et sociales qui ne correspondent plus nécessairement aux réalités de la société actuelle. Réformer le droit du nom en 2022 a permis de mieux prendre en compte les évolutions sociales et culturelles, de contribuer à mieux protéger la vie privée et l’identité individuelle, en permettant aux personnes de disposer plus librement de leur nom et en garantissant un équilibre entre la protection des droits des individus et des familles, et les besoins de sécurité juridique. Cela a également permis de de mieux protéger les droits et les intérêts des individus et des familles, tout en garantissant un équilibre entre la protection de la vie privée et l’identité individuelle. Il s’agira tout d’abord d’analyser (I) les lacunes et les insuffisances du régime actuel du droit du nom, puis d’analyser (II) les avantages et les bénéfices potentiels d’une réforme du droit du nom.

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