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Sonnets Portugais : Recueil écrit par Elizabeth Barrett Browning

Synthèse : Sonnets Portugais : Recueil écrit par Elizabeth Barrett Browning. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  28 Mars 2022  •  Synthèse  •  1 357 Mots (6 Pages)  •  223 Vues

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Synthèse Sonnets Portugais

Sonnets Portugais est un recueil écrit par Elizabeth  Barrett Browning. Il est composé de 44 sonnets et il a été publié en 1850. Ces sonnets racontent la relation d’Elizabeth Barrett Browning avec son mari Robert Browning et ses sentiments envers lui.

Elizabeth Browning est née sous le nom de Elizabeth Browning le 6 mars 1806 à Coxhoe Hall au Royaume-Uni. Elle est morte le 29 juin 1861 à Florence en Italie.

Elizabeth Browning n’a pas eu une vie facile, elle a été touchée par la mort de sa mère et de son frère alors qu’elle n’était qu’une enfant. Elle a eu la tuberculose. Tous ces évènements l’ont renfermée sur elle même mais c’est la rencontre avec Robert Browning qui va la libérer de sa peine.

Quelles sont les caractéristiques de l’amour que représente Elizabeth Browning?

Nous montrerons premièrement que l’amour lui a permit de réapprendre à vivre,

puis que cette amour a été vu comme un amour impossible au début.

Ensuite, nous analyserons le fait que la poétesse impose une supériorité à Robert Browning et à son amour.

Et pour finir , nous montrerons comment Elizabeth décrit cet amour, comme un amour immortel.

        Elizabeth Browning voit l’amour comme un changement, une aide qui lui a permi de réapprendre à aimer la vie. Comme nous montre le sonnet 8 «La face du monde a changé, je crois/(...)De la mort d’où- moi qui pensais sombrer- / Je fus rattrapée par l’amour, et appris/ A nouveau la vie ...» Elizabeth avait perdu espoir et penser qu’il fallait qu’elle soit «emporter»par la mort mais grâce à l’amour elle a repris goût à la vie. C’est l’amour qui l’a sauvée, heureusement , car sinon cela aurait pu être la mort «Je témoigne, ici, entre bien et mal,/ Que l’Amour, comme la Mort, sauve également.» (S27)

Elizabeth voit son mari Robert Browning comme un sauveur  qui est montré au sonnet 27 «Mon Bien-Aimé, toi qui me soulevas/ De cette triste terre où je fus jetée,/ Et, qui dans me boucles lasses, soufflas la/Vie, jusqu’à ce que mon front de nouveau/ Brille d’espoir» «Je te trouve, suis sauve, et forte, et heureuse»         ainsi si elle n’avait pas connu son mari , elle n’aurait jamais été heureuse mais aurait été triste , avec une vie sans espoir.

De plus, le sonnet 33 nous montre que grâce à Robert, Elizabeth retrouve ce qu’elle avait enfant, mais qu’elle avait perdu suite à des évènements tragiques de sa vie et sa tristesse comme par exemple son nom familier «Oui, donne-moi mon nom familier! Que j’entende le nom auquel, enfant/ J’accourais, de mes jeux innocents et (…)»

Nous pouvons voir dans la fin du recueil qu’Elizabeth a, en quelque sorte, tourné la page «Las, j’ai souffert et suis rude à aimer./ Mais aime-moi- veux-tu? (...)» (S 35) ce qui montre qu’elle a souffert dans le passé mais que maintenant elle ne souffre plus et qu’elle veut être aimée.

Ainsi, nous avons pu voir que Elizabeth voit son mari comme son sauveur et que c’est grâce à lui qu’elle a connu le bonheur et non plus la tristesse.

        Pour la poétesse, au début de sa relation avec Robert Browning, elle voit cette amour comme un amour impossible qui ne pourra jamais avoir lieu à part qu’ après la mort car ils sont trop différents «Différents nous sommes, ô coeur princier! Différents nous usages et nos destins,/ (…) Et la Mort peut seule créer notre union.» (S3)

Par peut-être la peur d’être aimée, Elizabeth demande à plusieurs reprises à son mari de partir loin d’elle comme dans les sonnets 5 et 8 «Éloigne-toi donc de moi. Va.» «Va-t-en! Que ce tissu soit piétiné.»

Elizabeth pense que cette amour est impossible car elle ne mérite pas Robert Browning. Elle se voit comme un poison pour Robert «Nous ne sommes pas pairs/ Pour être amants (…) Je ne veux pas souiller ta pourpre, ni/ Souffler mon poison sur ton verre de Venise/ Ni t’offrir d’amour … ce serait injuste.» (S9) «Et pourtant, parce que je t’aime (…) mais de renoncer à toi.» (S11).

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