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Cas Pratique Carrefour

Étude de cas : Cas Pratique Carrefour. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  20 Novembre 2017  •  Étude de cas  •  404 Mots (2 Pages)  •  1 168 Vues

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Parcours balisé : Carrefour

1) La motivation des salariés a un effet sur la qualité du travail et leur efficacité.

En effet, en 2010, la nouvelle direction du groupe Carrefour possédant la plus grosse part de marché parmi les principaux groupes de distribution, c’est emparé de vouloir trop bien faire, un peu trop vite, en voulant instaurer un changement radical dans leur organisation.

Effectivement, malgré un management et des conditions de travail exemplaire ainsi que des salariés satisfait et motivés jusqu’en 2010 , James McCann nommée par le dirigeant Lars Olofsson, s’est aussitôt empressé d’imposer ses méthodes brutales (réintroduction du travail de nuit, réorganisation des taches sans ménagement). Des personnes spécialisées dans un domaine se sont retrouvé dans un autre, complètement inconnu pour eux.

En toute logique, depuis 2011, les salariés mais aussi les cadres, par cette instabilité, se sont démotivés « nous n’étions que des manettes. Alors on a décroché ». Les salariés font grève pour un salaire plus juste (taux de gréviste passé de 30 % à 85 %) mais aussi pour les conditions d’emploi et les nouvelles méthodes de travail qui augmentent le stress des travailleurs.

2) Les mesures prisent par McCann ont évidemment nui à la productivité du groupe.

Tout d’abord, nous pouvons constater une baisse constante de leur part du marché, passant de 25.3 % au 1er trimestre 2010 à 19.84 % en décembre 2011. Cette baisse est le résultat de la mauvaise organisation instauré par le directeur et ses salariés démotivés, qui dans leur travail ont était moins efficace et performant.

Le fait de réintroduire le travail de nuit demande aux salariés de travailler plus et donc d’être payé plus, cependant ce n’est pas le cas et donc cela représente un facteur de démotivation. De plus l’ultra-simplification des séquences de travail représente des dangers. Introduire des personnes sur certains postes qui n’ont pas les compétences nécessaires est un risque pour l’entreprise de ne pas être assez productive.

3) La satisfaction des salariés et le bien-être est primordial pour le groupe.

Pour que l’entreprise réalise une bonne performance, elle se doit d’améliorer la qualité de vie au travail, l’amélioration de l’organisation, des conditions et de l’environnement de travail, le perfectionnement des pratiques managériales, ou encore la gestion efficace des projets de changement. A partir de là, les salariés seront plus efficace et motivé dans leur travail et donc la performance de l’entreprise sera tout de suite meilleurs

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