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GESTION STRATEGIQUE DES ORGANISATIONS

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Par   •  12 Mars 2018  •  Dissertation  •  7 589 Mots (31 Pages)  •  476 Vues

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GESTION STRATEGIQUE DES ORGANISATIONS

SEANCE 1

C’est quoi la stratégie ?

La stratégie[1] 

Ca renvoi à l’adaptation et à l’environnement.  

S’agissant de l’environnement, on a un environnement interne et un environnement externe. L’environnement externe est un environnement macro qu’on devrait analyser à l’aide du PESTEL. L’environnement externe est composé du marché relié aux acheteurs et l’industrie défini par les actifs, les offres que les entreprises vont mettre sur le marché. Il faut bien définir les marchés dans lesquelles les entreprises desservent.

Une entreprise doit d’abord avoir une raison d’être ; elle est là pour remplir une mission ce qui lui donne la légitimité. Une entreprise est là pour apporter des solutions à des problèmes. Elle s’identifie à certains besoins.

Une entreprise c’est transformer l’ensemble des relations en une organisation beaucoup plus structurée. Elle existe parce qu’il y a une nécessité économique. On intègre donc l’ensemble des activités individuelles en activités structurées. On peut parler d’intégration verticale et horizontale. On a le choix de sous-traiter ou d’internationaliser.

Le manager au départ est un agent qui gère les actifs d’autrui. Donc c’est un actionnaire qui gère les actifs qui ne sont pas les siens. Le manager fait en sorte que tous les corps de métier travaillent ensemble. On a les haut manager ; les managers intermédiaires et les manager d’exécution.

Les années 1960 étaient la période de l’intégration verticale, des congloméra.

L’environnement interne est composé des acteurs (propriétaires ou exécutants). L’entreprise a besoin des ressources. Donc l’entreprise va mobiliser les ressources donc le rôle est de combiner et de gérer les ressources. Faire en sorte que ces ressources donnent un avantage à l’entreprise ; le plus important c’est de savoir ce que l’entreprise fait de ses ressources. Ce qui donne lieu à des capacités stratégique de l’entreprise par rapport à la concurrence. Les capacités stratégiques doivent créer de la valeur chez l’acheteur, elles sont rares, inimitables, organisés d’une façon unique à l’entreprise. C’est basé sur la culture de l’entreprise. Le plus difficile à copier c’est une organisation.

Le but à conseiller à une entreprise c’est de créer un avantage concurrentiel durable. Un avantage de différenciation  c’est d’être perçu comme une offre ayant des caractéristiques unique qui offre de la valeur au client. La différenciation peut s’opérer à l’intérieur des segments.

L’avantage des couts c’est quand on offre une qualité comparable à la moyenne de l’industrie avec un prix plus bas. On peut avoir des entreprises qui se différencient mais avec des prix plus bas ça renvoie alors à des offres hybrides. Et là ça veut dire que l’entreprise arrive à faire les deux.

On va calculer certains indicateurs

ROIC qui provient des forces de l’industrie. (Rendement sur le capital investi moyen) si le rendement par rapport à la moyenne est durable, l’entreprise a un avantage concurrentiel.

Il faut bien définir la mission, la vision et la valeur.

Le processus stratégique est circulaire.

La stratégie est une discipline complexe. Initialement elle était employée dans le domaine militaire. Dans les années 70 elle a été employé dans le domaine économique avant on parlait de politique d’entreprise.

L’école de la planification

Le paradigme (SCP) (c’est une école déterministe, basée sur le positionnement et ensuit qui taille les ressources en fonction de ce positionnement) STRUCTURE (les cinq forces de Porter : degré de rivalité, pouvoir de négociation des clients, fournisseurs, barrières à l’entrées et produits substituts) les cinq forces là c’est la moyenne. Donc la performance de l’entreprise de la combinaison de ces cinq forces. CONDUITE (stratégie des entreprises une à une)  PERFORMANCE

L’école cognitive pur que la stratégie puisse naitre il faudrait qu’elle soit pensée par un collectif. Il faut d’abord croire ensuite ça se réalise ; la croyance est importante à ce niveau.

L’école de l’apprentissage. Ici il faut apprendre la stratégie en la pratiquant. La vraie stratégie se fait en appliquant et en imitant. C’est le cas de Mc Do.

L’école du pouvoir : on identifie la partie prenant qui a le plus de pouvoir. Le résultat de la stratégie peut être celui de la partie prenante dominante. Ils ont dans une logique du client qui a besoin de l’entreprise. Donc l’entreprise ne craint pas la concurrence. Il faut que le pouvoir soit équilibré pour que l’entreprise puisse fonctionner.

L’école du design on utilise l’espace pour faire de la stratégie. C’est un peu comme l’araignée.

L’école du positionnement : le fait de protéger son territoire.

L’école entrepreneurial attendre la bonne occasion pour sauter dessus.

La culture est liée à l’école cognitive. C’est de la collectivité que nait la stratégie. Elle cherche un consensus entre les acteurs ; ça peut s’étendre au de la de la collectivité en consultant ceux qui vont être impacter par les actions de l’entreprise. Donc c’un processus ou tout le monde peut trouver son compte. Mais ça dépend du contexte dans la mesure où c’est un processus qui peut être long, les résultats peuvent être moins concurrentiels.

L’école environnementale ici c’est l’environnement global qui va déterminer ce qui est possible pour moi ou pas. C’est une adaptation à la réalité. J’accepte que le plus fort mange le plus faible.

L’école de la configuration : je vais adopter l’une ou l’autre des écoles selon la réalité.

Le management stratégique va s’assurer que toutes les écoles soient représentées.

L’environnement a un impact sur l’entreprise, sur l’avantage concurrentiel. On ne va pas céder à une logique unique, on va tenir compte de toutes les théories depuis les années 60.

Dans les propositions on doit toujours se baser sur les leviers étudiés en amont. On doit être réaliste dans ce qu’on propose c’est-à-dire  bien comprendre la réalité interne et externe de l’entreprise. On doit montrer l’impact dans la création de la valeur. Comment les variables de nos propositions créent de la valeur.

PROCESSUS

Généralement il y a trois étapes

Bien analyser son information, recueillir les données et les transformer

  1. Information

Il faut faire la différence en les données et les informations. Une donnée c’est un état de nature, ce sont les statistiques. Maintenant l’info c’est l’application dans un contexte. Ça peut être une menace ou une opportunité pour l’entreprise. Dans le monde actuel on est plus exposé aux infos qu’aux données. Il faut s’assure que l’information est validée. L’info va devenir utile à la prise de décision. C’est le résultat des faits qui sont déjà produits. L’info est un niveau qui permet à la limite d’être proactif. Pour anticiper il faut aller au-delà d ça. Il faut de l’intelligence. Ca renvoie au fruit de notre interprétation pour créer de la connaissance nouvelle à la quelle nos concurrents n’auront pas d’accès.

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