Synthèse CGE BTS Sujet n°4

Synthèse:

        La musique est un élément culturel omniprésent dans nos vies. Cependant, elle a des fins thérapeutiques et morales indéniable dans le monde.

Dans le corpus qui nous intéresse, les auteurs s’intéressent à la pluralité des usages de la musique ainsi qu’a sa spécificité.

L’article publié dans la revue scientifique d’Emmanuel Bigand, La musique comme outil de stimulation cognitive (2012) rappelle le rôle positif de la musique dans l’évolution de l’espèce humaine. En effet la musique a des pouvoirs insoupçonnés au sujet desquels les neurosciences s’intéressent.  

Pour le philosophe, Vladimir Jankélévitch, Quelques part dans l’inachevé (1978) affirme qu’écouter de la musique permet à l’auditeur de (se) transfigure voir même de (s’) arracher momentanément à la pesanteur.

Nous nous demanderons quels sont les différents effets bénéfiques de la musique.

Pour cela nous verrons en quoi la musique est bénéfique pour le corps humain puis les effets bénéfiques de la musique sur le mental.  

        Dans un premier temps, la musique est depuis longtemps utilisée à bon escient pour le corpus humain.  

Les effets de la musique sont profonds puisque la révélation au scanner du cerveau permet de faire apparaître plus de dix zones de stimulation. La musique, qui semble anodine pénètre en réalité au plus profond de nous et semble agir de façon subliminale puisqu’elle touche directement des zones  profondes. Le schéma du cerveau révèle les multiples bénéfices qui ressortissent à cette stimulation; ils sont multiples: meilleure gestion des émotions, augmentation de la communication entre les hémisphères cérébraux, meilleure concentration, meilleur traitement des informations … la musique boosterait notre système sensitif et cérébral, voire même notre capacité à être heureux.

Il apparaît que cette habitude développe des capacités cognitives. Toutes ces informations ont été révélées dans l’article scientifique écrit par Aline Moussard, Françoise Rochette et Emannuelle Bigand qui souligne d’ailleurs que la musique a le pouvoir de retarder la progression d’une maladie comme celle d’Alzheimer.

De plus de nos jours, l’application de la musicothérapie est fréquemment utilisée de nos jours.

Guérir par le son est une façon aujourd’hui de soigner différentes pathologies. Lors de l’entretien réalisé par Suzana Kubik, on peut avoir une définition claire de la musicothérapie: «application des soins dans un contexte thérapeutique, avec l’intervention d’une personne qualifiée» (l.14) et «trois paramètres sont importants: l’histoire du patient et les spécificités de sa pathologie, les caractéristiques de la musique choisie et la relation avec le thérapeute» (l.16).

A l’origine, la musicothérapie était utilisée pour apaiser les souffrances psychiques et c’était aussi un moyen de se relaxer. Mais maintenant, le champ d’application a su s’élargir; et sert à stimuler les fonctions intellectuelles ou cognitives.

Il existe deux applications principales; la technique active permet de favoriser l’expression de soi, facilite la communication et peut participer à la resocialisation. Quant à la technique respective, elle est utilisée dans le traitement de la douleur, de l’anxiété et de la dépression.

Les effets de la musicothérapie sont nombreux mais peuvent avoir des inconvénients tels que la capacité d’augmentation de la plasticité du cerveau et de provoque des modifications au niveau des connections synaptiques.  

Ces différents mettent en évidence que la musique a des vertus spécifiques sur le corps humains.

Dans un second temps, on sait que la musique est bien plus qu’un loisir, c’est un élément de nos vies complexe et bénéfique.

Pour commencer, la musique apparaît comme omniprésente pour chaque auteur. En effet, ils traitent de la musique comme d’un élément récurrent de nos sociétés, qu’elles soient industrielles ou plus primaires.

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