Les réseaux Sociaux

Les réseaux sociaux sont présents partout dans le monde. Ils permettent aux personnes de se réunir, se retrouver et de partager des moments. Les réseaux sociaux sont également des lieux de rencontre, ils permettent aux personnes ayant les mêmes centres d’intérêts de se regrouper afin de partager leurs passions. Facebook, l’un des principaux réseaux sociaux, a été créé dans la but de rassembler des amis. La société est partagée à propos du réel but de Facebook. Nous allons donc parler des réseaux sociaux, en particulier de Facebook, et ses effets sur la société. Dans ce corpus, nous pouvons y découvrir deux articles de presse (documents 1 et 2) datant du 21ème siècle ainsi qu’un dessin humoristique (document 4). Cependant le document 3, est un extrait du roman Du côté de chez Swan de M. Proust, écrit en 1913, où l’auteur évoque les rassemblements d’amis lors des soirées de l’époque. Nous pouvons nous demander si les réseaux sociaux facilitent réellement les relations entre les individus ? Pour répondre à cette problématique nous allons voir dans un premier temps les fondements de Facebook et dans un second temps ses effets inattendus.

Les réseaux sociaux ont été créé dans un but visé, celui de réunir les individus sur une page virtuel afin de partager et d’échanger des moments.

La société actuelle se doit de communiquer, d’échanger et partager. Facebook, un réseau social parmi tant d’autre, en fait un de ses objectifs comme nous le montre le document 2 qui est un article de presse de Hubert Guillaud s’intitulant Comprendre Facebook : le rôle social du bavardage écrit en 2011. Où Facebook permet à la société d’entretenir leur relation, tout en échangeant sur tout et n’importe quoi. L’objectif de Facebook, qui était de réunir des amis, est devenu par la suite une utopie sociale qui plait à un grand nombre de la société comme nous le montre le document 1, un article de presse s’intitulant Le monde selon Facebook, écrit en 2011 par Jérôme Batout. Cette utopie sociale suscite de nombreuses réactions chez les internautes, qui adhérent de plus en plus à ce nouveau mode de communication. Les internautes ont désormais la possibilité de bavarder sur tout. Ce qui leur offre la possibilité de rencontrer des personnes ayant les mêmes centres d’intérêts.

Comme nous le montre le document 2, les individus ont tendances à s’approprier le comportement de leurs relations amicales afin de se conformer à un groupe et d’en faire parti. Cette pratique est souvent vu chez les jeunes individus afin d’être plus facilement accepté et appartenir à un groupe. Cette pratique est également vu chez les individus partageant les mêmes centres d’intérêts afin d’échanger sur leur passion, ou leur passe temps. Nous pouvons voir sur le document 4, qui est un dessin humoristique de Aurel, fait en 2010, que la société se réunit sans forcément se connaitre, mais parce qu’ils partagent les mêmes centres d’intérêts. Ce dessin représente les réseaux sociaux mais dans la vie réel. Comme nous le montre M. Proust, les individus inconnus au groupe étaient mis à l’essai afin de voir si ils étaient en adéquation avec ce dernier.

À trop grand usage, les principes fondamentaux du réseau social Facebook peuvent en faire un conflit, présent et continu.

Le mode de fonctionnement des réseaux sociaux, disperse les avis des internautes.

Les fondateurs de Facebook ainsi que Mark Zuckerberg ont pu constater que les principes de Facebook partagent les internautes. Tous ces moments, ces échanges sur tout et n’importe quoi, ces photos publiés sur les murs des utilisateurs, restent ancrés. Tout est archivé et est désormais cherchable comme nous l’expose Hubert Guillaud. Un monde où personne à son mot à dire sur le fonctionnement, l’avis ne compte pas car c’est ancré lors de la création. Comme nous le rappelle le roman du 20ème siècle Du côté de chez Swan, l’avis des adhérents ne compte pas face à celui des créateurs. Ce principe perdure dans le temps, malgré l’évolution technologique des réseaux sociaux. Il est également au coeur d’un conflit. Ce dernier existe depuis la fondation de Facebook, et les créateurs le savent. Ils savent également comment le contrôler, malgré de nombreux débordements.

Ce conflit était à prévoir, et c’est ce qu’à fait Mark Zuckerberg. Mais pour garder cette idée d’utopie social, les créateurs évitent le conflit. Jérôme Batout nous explique que ces derniers suppriment l’individu en cause de ce conflit. De nos jours, il est plus facile de supprimer plutôt que de réparer. Et Mark Zuckerberg le sait, cette idée d’utopie sociale, où tout le monde est très amis, révèlent des ennemis cachés, et tout fini par exploser. Le fonctionnement de Facebook entraine une dégradation du conflit. Les internautes suppriment, puis passe un à autre ami, pioché dans leur réserve d’amis, l’amitié ne vaut plus la peine d’être sauvé. Cette réserve d’ami peut être caricaturé par le dessin de Aurel, cette réserve où on ne connait pas les personnes, mais lorsqu’il y a conflit, les utilisateurs ont le choix de supprimer et de choisir une nouvelle personne.

Facebook a beau faciliter la communication dans les relations entre amis, mais les relations elles mêmes ne sont pas faciliter. La facilité de Facebook, qui était censé être sa priorité, a fait naitre un conflit, qui lui est désormais sa priorité. Pour justement, aider les relations humaines à communiquer.

Deuxième Partie : ECRITURE PERSONNELLE

Les réseaux sociaux sont des sites internet qui permettent aux internautes de se créer

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