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Culture générale devoir 3

Étude de cas : Culture générale devoir 3. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Avril 2019  •  Étude de cas  •  2 231 Mots (9 Pages)  •  569 Vues

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  1. Le premier document est un article de presse de type explicatif. Cet article interroge 4 spécialistes de la nourriture, à l’occasion d’un salon qui parle des régimes sans à paris, pour étudier le changement qu’entraine un régime sans.

L’auteur nous informe de la présence d’un salon et qui a pour thème les régimes « sans » qui se tiendra à Paris.

Il nous apprend également que ces régimes rencontrent un certain succès pour leur bienfait sur la santé et éthique.

Et nous dis que le nombre d’allergique alimentaire a doublés en dix ans en Europe ce qui a fait augmenter la vente de produits alimentaires dédiées.

Cet article pose la question à quatre spécialistes de l’alimentation si ces régimes ont un impact négatif sur la vie de ces derniers.

Pour le philosophe Olivier Assouly le fait d’extraire un ou des ingrédients de la composition d’un aliment montrent la défiance des consommateurs envers la qualité de cet ingrédient. Mais ce n’est pas la seule raison qui explique ce phénomène car l’acte de se nourrir est en train de changer, les personnes font plus attention à ce qu’il mange en fonction des conséquences que les aliments peuvent avoir sur leur santé et ne prennent plus de plaisir à manger selon leurs envies. Selon le philosophe ce comportement de la part des consommateurs conduira forcement les industriels à dicter les normes du « bien manger » en fonction des avantages qu’ils pourront en tirer en termes de bénéfice financier. Mais il rappelle également le paradoxe qui consiste à enlever l’ingrédient phare d’un produit qui comporte la qualité principale du produit et qui est ce pourquoi les consommateurs, achètent et consomment ce produit. Enfin pour terminer, pour lui, le monde industriel qui est déjà vivement critiqué pour ces nombreuses dérives va prendre de plus en plus la place à l’agriculture et l’artisanat traditionnel jusqu’à les remplacer totalement.

Pour Jean Michel Lecerf les régimes « sans » existent depuis un demi-siècle. Selon lui les pratiquants de ce régime on peut de compétence en matière de nutrition et cherchent la raison de tous leurs maux dans leurs alimentations. Pour l’endocrinologue c’est le discours dramatisant actuel qui fait renaitre cette tendance en rappelant que la nourriture est comme-même plus sure et plus variée que par le passé. Il explique que c’est les plus défavorisé qui souffre le plus de malnutrition et que les allergies proviennent de l’introduction de nouveaux aliments et d’un excès d’hygiène qui créer une petite augmentation des allergies mais qui se stabilisera avec le temps.

Pour Bruno Verjus c’est le business qu’il y a autour de la peur qui fait naitre les allergies. En effet, il souligne le manque de précision sur l’origine des aliments dont on est allergique, sont-ils d’origines industriels ou animales ? Enfin le chef montre à travers l’exemple de clients, comme l’endocrinologue Jean Michel Lecerf que les régimes « sans » sont plutôt pratiqués par des personnes « riches » qui font particulièrement attention à leur alimentation et qui est en train de devenir une norme dans leur catégorie sociale.

  1. Le deuxième document est un article de presse de type informatif. L’article s’interroge sur les bienfaits que l’on attribue au régime sans gluten.

On apprend qu’un pourcent de la population française est allergique au gluten.

Mais depuis quelques années 5 millions de français, en s’inspirant de star d’Hollywood ont tenté un régime sans gluten.

Les industriels de l’agroalimentaire ont créé une gamme de produits sans gluten qui sont vendus plus cher. Mais d’après les analyses réalisées par 60 millions de consommateur ces produits ne sont pas aussi sain qu’ils n’y paraissent.

Cela s’explique par l’ajout d’additifs et d’autres ingrédients pour compenser l’ingrédient qui contient le gluten, ingrédient essentiel le plus souvent au produit.

Les produits sans gluten contiennent moins de protéine ce qui pose un problème au niveau nutritionnel surtout que la plupart des adeptes de ce régime sont également végétalien ou végétarien.

Plusieurs nutritionnistes disent même que ce régime n’est pas bon pour la ligne sachant qu’il aurait même tendance à faire grossir.

  1. Ce document est un article de presse de type explicatif. Il traite de l’orthorexie, trouble de l’alimentation qui consiste à analyser son alimentation dans le but de préserver sa santé, en éliminant tous les aliments nocifs ce qui peut nuire à la vie sociale des personnes atteintes ;

L’auteur nous parle de l’orthorexie, maladie qui correspond aux troubles de l’alimentation dans la mesure où les gens atteint font sans cesse attention au contenu qui se trouve dans leur assiette.

Les gens atteint de ce trouble alimentaire passent plusieurs heures par jours à analyser les aliments pour constituer un repas qui selon eux leurs permettra de rester en bonne santé et de vivre plus longtemps.

Pour cela ils éliminent tous produits non naturel et qui proviennent de l’industrie agroalimentaire.

Le nombres de personnes atteintes de ce trouble alimentaire est difficile à déterminer.

Malgré le fait que ce trouble ne soit pas reconnu comme une maladie mentale elle a des conséquences sur la vie sociale dans le sens où elle conduit les personnes atteintes à l’isolement.

     

  1. Ce document est un article de presse de type explicatif et informatif. Il explique le mode de vie des végan en rappelant son histoire et les contraintes que peuvent connaitre les membres de ce mouvement.

La photo complète le document dans la mesure où il représente des légumes qui fait allusion au menu de lapin dont fait référence le témoignage d’Olkan. En effet, quand on pense au véganisme la première image qui nous vient en tête sont les légumes.

Le véganisme est un mouvement peu répandu en France. Les véganes ne consomment et n’achète aucun produit d’origine animale. Les membres de ce mouvement sont unis pour leur cause.

Le témoignage d’Olkan démontre la difficulté de trouver un restaurant proposant un plat végan ce qui montre que le mouvement est encore peu connu.

Ce problème se pose également dans les hypermarchés car contrairement aux pays anglons saxons et en Israël le véganisme né dans les année 50 est encore peu connu en France.

Le manque d’alimentation végane à tendance à les couper d’une vie sociale.

Les végans refuse aussi d’acheter des produits testés sur les animaux.

Mais trouvé des produits sans lien animale ce relève très difficile car beaucoup de produit même non comestible ont souvent un lien avec les animaux.

Cependant ce style de vie rend très fière et heureux les membres de ce mouvement.

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