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Devoir CNED bts tourisme culture générale et expression, devoir 2

Dissertation : Devoir CNED bts tourisme culture générale et expression, devoir 2. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Mai 2019  •  Dissertation  •  2 141 Mots (9 Pages)  •  822 Vues

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  1. Document 1

Le document un est une lettre explicative datant du 17 mars 2016 dans le journal « L’Humanité » et dont l’auteur est Françoise Dumont, présidente de la Ligue des droits de l’Homme. Elle s’adresse à la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem et met en parallèle la situation des enfants roms de 2015 à 2016 en France, qui se font explusés, avec leur droit d’avoir accès à la scolarité.

Dans cette lettre, Françoise Dumont fait part à la ministre de l’inquiétude de la Ligue des droits de l’Homme concernant les expulsions répétitives des roms en France. En outre, la législation française oblige tout enfant, qu’il soit français ou étranger, de suivre une scolarité de ses 6 à 16 ans s’il se trouve sur le territoire national.                         Par la suite, dans un communiqué de presse du 12 janvier 2016, la présidente de la Ligue des droits de l’Homme évoque les conditions dans lesquelles les roms sont expulsés. En effet elle les qualifie de barbares, cruelles.                                                   Ensuite, des chiffres nous sont donnés. En outre, en janvier et février 2016, 300 personnes ont été expulsées chaque semaine, soit 2582 au total. De plus, on considère que parmi ces 2582 personnes, environ 860 étaient des enfants.

On remarque tout de même que malgré ces expulsions incessantes, les progrès des enfants roms à l’école se font ressentir seulement, ces évacuations répétitives nuisent au bon déroulement de leur scolarité.                                                                                           Enfin, certaines institutions soutiennent également les droites de l’Homme comme l’UNICEF par exemple.

  1. Document 2

La première partie du second document est une photographie illustrative faite par Martin Colombet. Cette photographie est accompagnée d’un article de presse de type informatif de 2015, écrit par Marie Piquemal et paru dans le journal quotidien « Libération ». Ces deux documents réunis traitent de Slavi et sa famille, roms bulgares qui, depuis leur expulsion, vivent dans une tente au bord d’une route et des conditions de vie difficile auxquelles ils font face.

Slavi, 10 ans, Gabi, 6 ans et leurs parents ont été expulsés et vivent, après de nombreux ballotements et d’expulsions de parcs et de trottoirs, il trouve refuge dans une tente au bord de route près de Paris. Cette famille d’origine rom bulgare vit dans des conditions de précarité et de danger. En effet, comme nous le montre la photographie, leur tente se trouvant au bord de route, les voitures peuvent à tout moment les percuter ou les blesser.

  1. Document 3

Le document trois est un reportage informatif de Juliette Bénabent paru le 23 février 2016 dans le magasine « Télérama ». Juliette Bénabent parle de la venue de Geneviève Avenard, défenseure des enfants, dans la « Jungle » de Calais ainsi que des conditions désastreuses dont font l’objet les migrants y résidant.

Tout d’abord, Juliette Bénabent observe à son arrivée des CRS. Ces derniers reviennent de Jules Ferry et rapportent le petit déjeuner. Elle nous dit ensuite qu’une partie de « La jungle » devait être évacuée avant le 23 février à Jules Ferry. Cela ne s’étant pas fait, l’évacuation est repoussée au 25 février. De plus, la préfecture a annoncé qu’elle ne ferait pas appel aux forces de l’ordre avant trois semaines.                                                  Pour poursuivre, l’été dernier, des associés de Geneviève Avenard s’étaient déjà rendus à Jules Ferry et avaient dénoncé des conditions de vie déplorables. En effet, il n’y avait ni eau courante, ni moyen cuisinier, ni douche. Seulement, aujoud’hui, Stéphane Duval note de nettes améliorations : Les repas sont passés de un par jour à deux, le nombre de place dans le centre réservé aux femmes et enfants à doublé, soit quatre cent places disponibles aujourd’hui. De plus, une salle polyvalente est en construction et une école devrait ouvrir ses portes avec le soutient de l’inspecteur d’académie.                                     Ensuite, on nous dit qu’un centre d’accueil provisoire à ouvert en Janvier et est une deuxième alternatives pour ceux qui quittent la « Jungle ».

Enfin, d’après le dernier décompte effectué, 3455 vivraient dans la « Jungle » dont 445 mineurs. Claudine Gilles, militante de l’association Salam, se questionne sur le devenir de l’école se trouvant à l’intérieur du camp et qui gérée par l’association Solidarité laïque. En outre, on lui assure qu’elle ne sera pas rasée, mais elle reste perplexe. La défenseure finit alors par demander d’urgence un dispositif de mise à l’abri pour les mineurs  parce qu’il faut les protéger.

  1. Document 4

Le document quatre est un article informatif paru en mars 2018 dans « plein droit » numéro 108 et écrit par « Le Gisti » Cet article nous parle de la disparition d’enfants migrants en Europe en fin 2016 et dont on cherche à retrouver la trace.

Tout d’abord, d’après les déclarations d’un responsable d’Europol, 10000 enfants migrants seraient portés disparus depuis fin 2016. En effet, on constate la disparition de 5000 enfants en Italie et 1000 en suède et d’après les dires de ce responsable, ces enfants pourraient s’être retrouvés au sein d’organisations criminelles, de réseaux de prostitution, d’esclavage domestique ou encore trafique d’êtres humains.                           Seulement, cette réalité en cache une tout autre : Celle qui pousse les pays à refuser d’accueillir ces mineurs. Pour poursuivre, certains africains, agés de quinze à dix-sept ans, qui ont traversé plusieurs pays se réfugient à Paris à Adjie qui est une permanence. Ces mineurs déclarent avoir été enregistrés par une organisation à but non lucratif ou services et que ces derniers ont confirmé leur « disparition ».                                                 En revanche, ces jeunes s’expriment et affirment n’avoir été dans aucun réseau de criminalité comme l’a déclaré la presse mais avoir tout de même subi des épreuves éprouvantes. Beaucoup d’arrivants ont subi un refus de protection de la part de diverses institutions, au moins la moitié des 10000 jeunes, tandis que les nouveaux, eux, patiente dans l’attente de leur premier rendez-vous.                                                        Cependant, tout chiffre reste approximatif et peut être remis en cause puisque qu’il n’existe aucune donnée fiable.                                                                                                           Enfin, ceux qui obtiennent une protection ne vivent pas dans de bonnes conditions malgré tout ; En effet la plupart sont dans un hôtel criard, ne disposant que de tickets restaurant qu’ils récupèrent une fois par semaine et ne sont pas scolarisés.      

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