Culture générale et expression - devoir 4

CULTURE GENERALE ET EXPRESSION

1 – Préparation de la synthèse de documents

Question 1.1 :

Le premier document « la construction d'une identité alimentaire nationale » est un article classé comme étant d'un genre non littéraire. Ce document a été écrit par Alexandre.D et posté sur un blog concernant les identités alimentaires en octobre 2009. Ce texte est de type argumentatif.

L'auteur nous fait part, en prenant la Belgique comme exemple, que l'identité alimentaire d'un pays est une notion qui n'est pas prédéfini, elle se construit peu à peu et évolue avec le temps. Cette identité est façonnée par plusieurs protagonistes.

L'auteur de ce texte, Alexandre.D, nous montre que l'identité alimentaire d'un pays ne se construit pas seulement autour des habitudes alimentaires de celui ci.

Cette identité est façonnée avec le temps et dépend de plusieurs protagonistes. Il est indispensable pour chaque pays d'user de deux stratégies : celle de démarcation ainsi que celle de différenciation.

La stratégie de démarcation est utile pour faire correspondre un plat ou un aliment à une région de son propre pays, mais pour cela il faut se frotter aux différentes cultures voisines ou lointaines pour s'inspirer et surtout apporter de la nouveauté à ses plats, par exemple en changeant un ingrédient. En revanche pour qu'elle soit propre au pays il faut soit donner au nouveau plat une appellation géographique « de Bruxelles » « à la liégoise » soit en remplaçant ou modifiant une recette par d'autres ingrédients pour qu'ils soient propres au pays. C'est ainsi que la stratégie de différenciation est aussi utilisée.

Il y a plusieurs protagonistes venant mettre à jour cette identité alimentaire : les cuisiniers travaillant dans les restaurants, les consommateurs c'est à dire les clients de ces restaurants, les écrivains donnant leur avis sur le sujet ainsi que les commerçants.

Ces personnes conduisent en quelque sorte cette identité alimentaire et surtout les restaurateurs et clients qui répondent à l'offre et à la demande.

Enfin, une identité alimentaire est importante pour un pays et ne doit changer sans cesse ce qui permet aux étrangers qui mangent ce plat de reconnaître de quel pays il provient.

Question 1.2 :

Ce deuxième document « les arts culinaires patrimoine culturel de la France » est un extrait d'un rapport d'informations sénatorial, publié en juillet 2008 par Catherine Dumas. C'est un texte de type argumentatif. L'auteur étudie le patrimoine de la cuisine française, les spécificités de la France au niveau culinaire ainsi que les conséquences de ces spécificités sur l'humain et la société.

Dans la première partie de ce document Catherine Dumas nous fait part de son étude concernant l'identité alimentaire de notre pays : la France. La grande richesse de notre pays est, en effet, la variété et la diversité des produits. Le sol est riche et permet de produire de bons produits, géographiquement la France a beaucoup d'atouts, également grâce aux climats et aux caractéristiques géologiques.

Le succès du pays est donc dû à toutes ces caractéristiques mais également grâce au savoir faire des hommes c'est ce qui fait la réussite et qu'un pays comme la France soit reconnu dans le monde entier pour ça.

Il a été mis en place un label « AOC » : Appellation d'Origine Contrôlée géré par l'Institut National de l'origine et de la qualité pour protéger et identifier un produit en fonction de l'authenticité de son origine géographique ainsi que de ses caractéristiques de fabrication.

La France tient à défendre ses bons produits et à garder cette richesse et cette image qui donne envie au reste du monde.

Dans la deuxième partie Catherine Dumas nous présente les impacts positifs de cette culture alimentaire sur la France et les français. Elle nous explique la place qu'a la France dans ce domaine au niveau mondial, la cuisine française représente un modèle d'excellence et de rigueur qui lui valent la visite et le passage de chefs étrangers à travers de simples stages auprès de nos chefs français. C'est un avantage car elle est en contact avec d'autres richesses culinaires, l'apprentissage est dnc meilleur.

L'impact est également positif en terme de tourisme qui sont pour les 82 millions d'entre eux attirés par notre patrimoine historique mais également culinaire. Les touristes sont principalement attirés par les fromageries ainsi que les vignobles.

Enfin, un impact pour l'économie autant en terme d'activités que d'emplois. Les chiffres d'affaire des boulangeries-pâtisseries artisanales, des boucheries charcuteries ou même des restaurateurs ne cessent de croître.

Question 1.3 :

Le troisième document est une chronique publié sur le blog du journal Libération en février 2009par Eve Mongrin. Ce texte est à la fois informatif et argumentatif, et il est également engagé car l'auteur donne son point de vue et argumente ce document selon son opinion. Dans ce texte, Eve Mongrin nous fait d'abord part de la culture alimentaire italienne, de leur vision de leur propre cuisine ainsi que celles des autres pays du reste du monde et de leurs voisins comme la France ou l'Allemagne. Puis il nous démontre l'aversion des cuisines étrangères et leur volonté de garder au sein de leur pays leur propre culture alimentaire, acte qui peut parfois dévier sur des sanctions ou des arrêtés xénophobes.

L'auteur de ce texte Eve Mongrin nous explique au début qu'en Italie nous pouvons constater qu'il existe de plus en plus de dénonciations envers ses voisins pour des odeurs de cuisines provenant des personnes n'ayant pas comme culture de base celle de l'Italie.

En premier, ce sont généralement des cultures venant de l'extérieur de l'Europe.

Puis, l'auteur nous fait part d'un fait historique de l'Italie qui n'a jamais construit d'empire colonial et n'a donc jamais été confronté aux autres cuisines. De ce fait, les italiens pensent que leur cuisine est de loin la meilleure du monde, que leur identité alimentaire vaut mieux que celles de tous les autres peuples. Ils ne sont pas ouvert à d'autres cultures et n'en

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