Commentaire de texte sur l'ombre de Massabalo de Laurent Gaudé

« L’ombre de massambalo » est le dernier chapitre du roman « Eldorado » écrit par Laurent Gaudé sorti en 2006.

Comment cette rencontre est-elle dramatisée pour souligner son caractère déterminant dans le roman?

Nous allons divisés ce commentaire en deux parties. La première parlera d’une rencontre extraordinaire entre le Salvatore Piracci et un personnage inconnu en travaillant sur une rencontre sans parole, étrange, et qui apporte le bien-être, puis la seconde parlera du cheminement intérieur de Piracci avec le trouble.

Tout d’abord au début du chapitre nous observons une absence de parole entre ces deux personnes « ne savait que répondre »l.5-6 « lui semblait impossible de répondre quoi que ce soit »l.9-10 ; « sans dire un mot » l.44, c’est un discussion qui se base essentiellement sur le regard. Néanmoins « Massambalo » est le seul mot prononcé 3 fois au ligne 4,14 et 40. En revanche nous donnons une importance au regard de Soleiman car son regard exprime la volonté qui souligne la determination. «  regard qui l’avait frappé, un regard ample et décidé, un regard tout entier dans sa demande » l.23-24 avec ceci une comparaison avec la femme du Vittoria se rajoute« le regard de ceux qui vont jusqu’au bout de leur force » l.24-25.

La volonté du regard est fondamentale, c’est ce qui va bouleverser la vie de Piracci et lui donner du sens.

Ensuite nous lisons un peu plus loin dans le chapitre qu’une intrusion de forme surnaturel fait son apparition. Piracci est pris par Soleiman pour le « dieu des émigrés »l.7 et il semble avoir des pouvoirs « cela suffirait à rendre à cet homme la force qu’il n’avait plus. »l.17 « Le dieu des émigrés veillait sur lui. » l.55Cette rencontre apporte un bien-être à Soleiman, elle est présenté comme exceptionnelle aux frontières du réel, on peut le voir grâce aux termes qui sont employés par Piracci. Il utilise le champ lexical du bonheur ils évoquent la sérénité « s’illumina d’une lumière » qui est accompagné d’une hyperbole « qu’il n’aurait jamais crue possible chez un être humain » l.45 cela montre que le jeune homme était heureux de rencontré Piracci, « sérénité majestueuse » l.54 « Il était bien » l.58 phrase de conclusion brève qui veut dire qu’il était content.

Troisièmement on peut voir dans le texte plusieurs phrases sous forme interrogative « Que lui voulait ce jeune homme ? » l.8 Piracci se demandait ce le jeune homme pouvait lui vouloir, « Allait-il consentir ou renoncer » l.12, « Et s’il échouait ? S’il mourrait » l.19 ici, on peut voir qu’il s’interroge sur son attitude car à cause de celle-ci la vie de Soleiman pourrait être impacté, elle est déterminante.

Il y également pas mal de mots sur le vocabulaire de la réflexion par exemple il doutait  « cherchait son esprit »l.8-9 on comprend qu’il était perdu dans ses pensées, « il pensa que »l.17. Il y en a également sur la certitude « savait » l.19,20 et 33, « avait fini par comprendre » l.34, « comprenait » l.36. Il y aussi le vocabulaire du souvenir, « il se souvenait »l.6-l.28, « il repensa »l.26, On voit ici qu’il repense à son passé et à sa vie et qu’il essaye de lui

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