A toute vitesse

BOULANGER Aurélien        GPME2

Dans ces extraits, on distingue deux influences que la vitesse peut causer, d’une part sur le temps et de l’autre sur la santé, ainsi que les diverses tendances de chacun.

        Premièrement, dans l’extrait de Harmut Rosa, aliénation et accélération la nouvelle technologie devrait nous faire économiser du temps afin de profiter un peu plus, au lieu de ça elle nous amène à augmenter continuellement notre rythme de vie, ex : on va lire et envoyer plus de message qu’autrefois. Autrement dit on ne se satisfait plus du nécessaire mais l’on cherche à toujours avoir plus à s’en rendre fou. On retrouve dans l’extrait de Nicolas Aubert, le culte de l’urgence des points semblables, on comprend que le temps est à présent consacré à la vitesse mais surtout à l’urgence, l’immédiateté et instantanéité qui engendre une précipitation. Le monde actuel ne sait plus où donner de la tête, l’homme devient débordé et désorienté par la surcharge de vitesse dans lequel il est emporté.

        Deuxièmement, l’extrait de Xavier Molérant, « 24 heures chrono » parle des tendances du temps libre, à quoi le temps est consacré selon la classe social et le sexe. Les moins diplômés travaillent moins et les plus diplômés eux travaillent plus mais ils prennent plaisir à leurs travails. Puis sur la photo de H. Cartier-Bresson, « derrière la gare Saint-Lazare », on aperçoit un homme et son ombre courant après le temps tout deux distingué par l’effet de vitesse comme si ça vie en dépendait, on l’aperçoit qui disparait dans l’obscurité sous une photo sombre et triste de couleur noir et blanc.

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