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A toute vitesse

Analyse sectorielle : A toute vitesse. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Avril 2020  •  Analyse sectorielle  •  975 Mots (4 Pages)  •  932 Vues

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Synthèse

De nos jours, la vitesse est de partout. Que l’on parle de transports, de communications, de médias, tous ceux-ci sont directement liés à la vitesse.                                                                                                         Dans ce corpus composé de deux textes, d’une lettre ainsi que d’une interview, nous verrons comment la vitesse influence le changement de notre environnement, puis nous étudierons les effets de la vitesse sur nous.

En effet, depuis le 19ème siècle, les innovations technologiques n’ont fait que croître, et ceci est essentiellement dû à la volonté de l’homme d’aller toujours plus vite.

Ainsi, on a vu apparaitre, comme Sylvain VENAYRE le dit dans son texte, des navires de plus en plus rapides dans la traversée de l’Atlantique du Nord. Cette évolution des navires était d’autant plus rapide que la compétition entre l’Amérique et l’Europe était intense, avec une volonté des deux parties de prouver que l’un faisait des navires plus rapides que l’autre. Cette ferveur était également retranscrite à travers la presse de l’époque qui, à chaque traversé plus rapide que la précédente, vanté les exploits techniques et célébrés avec passion cette nouvelle prouesse, ce qui prouve à quel point l’homme aime la vitesse.

Cependant, les navires ne sont pas la plus grande innovation technologique du 19ème siècle.                                    La plus grande innovation de ce temps est la voie de chemin de fer. En effet celle-ci était une prouesse technologique pour l’homme. Elle repoussait les limites du possible en diminuant considérablement les temps de trajets sur tout type de parcours, notamment en altitude.                                   A l’époque, celle-ci a rendu admiratif mais fière les hommes. Comme le décrit Victor HUGO dans sa lettre, le chemin de fer est une bête véritable. Il en vante également ça vitesse en décrivant ces temps de parcours et à même décrit sa vitesse comme « inouïe ».                               Mais ce qui montre l’admiration de l’homme pour cette machine d’une rapidité hors pair, est la comparaison de la locomotive à un « Cheval de fer ». Cette comparaison montre bien qu’à l’époque, la vitesse forcé tellement l’innovation, que les hommes ne savaient plus à quoi ils avaient à faire, et par conséquent ils se rattachaient a ce qu’ils connaissaient déjà.

Ce que l’on peut conclure de cette première partie est que la vitesse pousse depuis toujours l’homme à innover. Cela a permis l’apparition de prouesses technologiques qui ont à la fois rendu fière les hommes, mais qui ont également bouleversées ceux-ci en changeant radicalement leur environnement.

Depuis de 19ème siècle, les innovations technologiques induites par la vitesse, n’ont fait que modifier notre environnement. Mais ce n’est pas la seule chose qui ait été modifié par la vitesse. Celle-ci nous a également changés.

De nos jours, la vitesse induit des innovations technologiques du domaine du digital.                                               En effet, avec l’apparition de nouveaux modes de production, de communications, ainsi que de consommation, nous formons un nouveau type d’humanité comme le dit d’ailleurs Tristan GARCIA dans son texte.                                                                                                                                               De nos jours, nous cherchons à ce que tous soit rapide. La vitesse est un critère primordial. Par exemple, lorsque l’on fait une recherche internet, il faut que celle-ci soit instantanée sous peine de nous contrarier. Et nous faisons ça tellement souvent que c’est rentré dans la « norme », on ne se rend même plus compte que la vitesse nous importe. Pourtant c’est  bien le cas. On en est arrivé à un point où nous prenons plus le temps de nous poser, pour prendre notre temps, c’est ce qu’explique Enki BILAL dans son interview en prenant l’exemple du journal qu’il lisait le matin, à tête reposé.                                                                                                                                        

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