SYNTHESE : A TOUTE VITESSE BTS

Synthèse de document : À toute vitesse

Le premier document de ce corpus est un extrait du roman “Ce que dit la vitesse” de Jean-Philippe DOMECQ, cet extrait traite de la Formule 1, de pourquoi les coureurs courent, et de pourquoi nous regardons. Le deuxième document, est lui un aperçu de la biographie “Frêle Bruit” de Michel LEIRIS, publié en 1976. Dans ce passage il parle à son tour de la F1. L’avant-dernier document est une partie du livre nommé “La Nouvelle Citroën” de Roland BARTHES, édite en 1957, dans lequel il explique que selon lui, l’automobile est l’équivalent des grandes cathédrales.

Ce corpus nous permet de nous poser plusieurs questions, dont la suivante : Comment la course automobile rassemble et retranscrit-t-elle les émotions/sensations ?

Afin d’y répondre, nous verrons premièrement l’intérêt de la course automobile, puis deuxièmement, de quelle manière permet-elle l’expression des pulsions, et pour finir, nous aborderons la dangerosité de l’automobile.

La vitesse est le fait de parcourir un grand espace en très peu de temps dans son sens absolu, ou d’aller vite ou non dans son sens relatif. Ici, nous évoquerons la vitesse automobile, au vu des documents du corpus. Le but de la vitesse automobile dans la F1, est simplement d’être le premier à franchir la ligne d’arrivée.

L’intérêt de la course permet de captiver un véritable amateur de sport automobile, notamment lors des représentations télévisées, dépassant la centaine de millions de téléspectateurs. Cet intérêt permet aussi de montrer la beauté du spectacle couplé à l’intensité de la compétition, c’est ce qui attire dans la course automobile. Malgré l’engouement médiatique, l’intérêt reste moindre, malgré le fait que ce sport soit unique, différent de toute autre activités humain, car il reste hermétique a ceux ne le comprennent pas, dû au lexique purement mécanique et automobile.

De plus, la vitesse devient un véritable spectacle d’arène, rassemblant les spectateurs le temps du départ, le temps d’un moment épique, le départ de la course accompagné des rugissements des moteurs, menant à un démarrage en trombe, dans un bruit de tonnerre. Le spectacle ne doit pas forcément être lors d’une course, on peut tout autant parler des dernières voitures, telles que la D.S 19, dans le document 3, dans lesquelles on les compare à des grandes cathédrales, car elles sont une grande création d’époque par des inconnus soudés en grande partie par leurs passions, pour le peuple faisant de cette création un objet magique. Ici, on passe d’une alchimie de la vitesse à une gourmandise de la conduite et du confort. Ce spectacle plein de hasard, dans l’arène d’asphalte, dû à la présence des secours (médicaux / techniques) peut d’une certaine manière être identique aux jeux du cirque, dans lequel la mort déclenche des pulsions difficilement avouables.

Ces pulsions difficilement avouables, sont la preuve que

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