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Travail d'équipe, management.

Étude de cas : Travail d'équipe, management.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Novembre 2016  •  Étude de cas  •  1 608 Mots (7 Pages)  •  1 284 Vues

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Introduction

Notre étude de cas porte sur un accident au travail. Il s’agit d’un employé travaillant dans une chaine de production chez 3M Canada, qui aurait essayé de régler un problème mécanique par ses propres moyens. Malheureusement, il s’en est suivis d’une blessure à la main pour le travailleur, d’une amende et d’une suramende qu’a dû payer l’entreprise pour avoir enfreint la loi sur la santé et la sécurité au travail. De façon général, cette loi adoptée en 1979 consiste à protéger les employés dans leurs milieux de travail, en mettant à leur disposition des mesures de sécurité pour éviter tout danger potentiel. La négligence face à cette loi peu mener à des sanctions sévères que les fautifs doivent s’acquitter. Dans notre travail, trois questions sont à l’étude. On cherche à comprendre le type de système de contrôle qui a permis à déterminer qu’un produit sortant de la chaine de montage a été brisé, la mesure de contrôle qu’utilisait l’employé quand il a tenté de régler le problème en nettoyant la lame sur la chaine de montage et enfin déterminer le type de mesure de contrôle proactif que la société 3M Canada aurait dû utiliser pour éviter l’accident.

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Développement

Quel type de système de contrôle a servi à déterminer qu’un produit défectueux sortait de la chaine de montage ?

Dans le cas présent, un système de contrôle rétroactif a été utilisé, c’est-à-dire qu’un client a remarqué que le produit final fabriqué par la société 3M Canada était défectueux à sa sortie de la chaine de montage. C’est donc en employant un contrôle rétroactifà la suite d’une erreur commise qui permet aux gestionnaires d’avoir des informations sur la qualité de leur produit.Les gestionnaires ont ainsi pu obtenir cette information et apporter les ajustements nécessaires.De façon général, un système de contrôle sert à mesurer des moyens d’appréciation qui informe sur le degré d’efficacité de l’entreprise en matière de production de biens et services. Quant à eux, les gestionnaires peuvent aussi mettre en parallèle les aspects liés à leur organisation et celles des autres afin d’accroître leur productivité. Plusieurs méthodes peuvent être utilisée pour subvenir au contrôle rétroactif, c’est-à-dire que ce n’est pas uniquement l’environnement interne qui peut avoir un impact négatif ou positif sur la production, mais également l’environnement général avec leurs forces technologiques, écologiques, démographiques, socioculturels, économiques, internationales, politiques et juridiques. De son côté l’environnement concurrentiel influe le contrôle par ses concurrents, ses clients, les fournisseurs et les distributeurs ou grossistes. Par exemple, les clients pourraient être plus sensibilisés à la réutilisation de produits écologiques, alors l’entreprise devra réajuster son environnement pour augmenter leur impact écologique afin de conserver leur réputation auprès des clients.

Lorsque le travailleur a tenté de nettoyer la lame sur la chaine de montage pour régler le problème, quel type de mesure de contrôle utilisait-il ?

Pendant cet événement, le travailleur a exercé le type de contrôle continu, car en temps qu’employer il a la responsabilité d’informer un supérieur en cas de bris ou de défectuosité ou d’un problème déceler, ainsi ce système de contrôle permet à la société 3M de remédier à la situation rapidement. En effet, lorsque ce système est appliqué nous pouvons immédiatement constaté que peu importe la source du problème celle-ci est rapidement identifié et mise à l’arrêt.Le travailleur ayant pris la décision d’aller nettoyer la lame pendant que la chaine de production était en marche a fait preuve de rationalité limité par son manque de conscience du danger ou par stress psychologique généré par l’employeur qui veut produire plus. De plus, il est facile de relater que le travailleur avait exercé l’illusion du contrôle vu qu’il a cru être en mesure de régler le problème lui-même en dépassant le cadre de ses fonctions.

Quel type de mesure de contrôle proactif la société 3M Canada aurait-elle pu utiliser pour éviter cet accident ?

Avant que l’accident se produise, un type de contrôle préventif aurait dû être adopté. Ce genre de mesure vise à éliminer toutes les sources de problèmes possibles lors de l’exécution des tâches dans l’usine que la société 3M pourrait produire. Cette mesure est appuyée par l’article 51 de la LSST, qui régit à utiliser les méthode et techniques visant à identifier contrôler et éliminer les risques pouvant affecter la santé et la sécurité du travailleur. L’article 51 n’a pas été respectée ici, car la lame n’était pas protégée par un écran de sécurité, ce qui fait qu’elle était exposée au travailleur. Deuxièmement, aucune demande n’avait été stipulée envers l’employé ce qui prouve clairement un manque de communication entre les deux partis.Ensuite, il est facile de constater qu’il y a eu négligence de la part des supérieurs et de l’employé en ce qui a trait à l’utilisation d’outils de protection ainsi qu’au démarche à suivre lors d’arrêt d’urgence de la production. Toutefois, malgré l’imprévisibilité de cette situation, aucunes règles n’ont été respectées par le travailleur et par l’employeur. Selon l’idéologie en matière d’hygiène et de sécurité au travail implanté par la société 3M Canada, l’employer aurait dû se conformer au cadre d’applicationen ce qui à trait leurs nombreuses solutions innovatrices qui visent à ce que les travailleurs maîtrisent leur environnement. De surcroît, la mesure de contrôle préventif permet le développement d’outils en matière de santé et sécurité au travail. Les lésions mentales et physiques peuvent être isolée des facteurs de danger si l’on tient compte des particularités du milieu dans lequel ils évoluent.  Les enjeux présents dans l’usine sont normalement régis par l’application de règles éthiques écrites et verbalement gérés par les inspecteurs. Donc, selon le plan d’action « Sécurité des machines » de la CNESST,les employeurs sont appelés à acheter du matériel sécuritaire qui se conforme déjà aux normes spécifique à l’équipement, ce qui n’a pas été respecté ici, car aucun écran de sécurité n’était présent pour protéger le travailleur de la lame fixée au deux rouleaux. D’autre part, en engageant des employés qualifiés et formés dans le domaine, cela peut permettre de limiter les accidents du travail.

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