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TPE Robotique

Analyse sectorielle : TPE Robotique. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  24 Janvier 2019  •  Analyse sectorielle  •  2 026 Mots (9 Pages)  •  633 Vues

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  1. I.      Définition

Etymologie : Le mot robot fut utilisé la première fois par l’écrivain tchécoslovaque Karel Capek dans sa pièce de théâtre Rossum’s Universal Robots (R.U.R) en 1920 mais qui fut jouée pour la première fois en 1921. Le véritable inventeur de ce mot est Josef Capek (peintre et écrivain) le frère de celui-ci .Certaines personnes pensaient que le mot robot fut d’abord utilise le première fois dans Opilec, la courte pièce de Josef Capek : The Drunkard (publiée dans la collection Lelio) en 1917. D’après la Société des frères Capek. Le mot exacte employé dans Opilec est « automate », c’est donc bien dans la pièce de Carel, que le mot robot est apparu pour la première fois.

Selon Wikipédia, un robot est un dispositif mécatronique (alliant mécanique, électronique et informatique) conçu pour accomplir après une programmation des taches imitant ou reproduisant, dans un domaine précis, une série d’action propre à l’homme.

Ainsi, un robot peut servir dans une multitude de domaines tels que l’industrie ou la médecine, ils peuvent parfois même s’avérer très utile certaines fois on ne peut d’aucune façon s’en passer. Imaginez-vous en train de devoir utiliser un autre mode de cuisson que le four ou le micro-onde ou bien devoir travailler sans Internet qui a sa part dans le domaine de l’intelligence artificielle ou encore devoir se passer du café matinale ou sinon , cela impliquerait de devoir se lever plus tôt pour préparer son café .Quelque une de ces machines peuvent même effectuer des taches impossibles aux humains.

II.      Histoire

Les ancêtres directs des robots sont les AUTOMATES. Un automate est un dispositif réalisant une série d’actions prédéterminées sans aucunes aides ni l’intervention humaine. Le seul inconvénient est que le système fait toujours la même chose, si vous l’avez programmé pour lever et baisser le bras sans arrêts, il le fera jusqu’à ce que quelqu’un ou quelque chose l’arrête. Un des automates le plus épatant est sûrement le canard digesteur de Jacques de Vaucanson crée en 1738. Cet automate était capable de boire, manger, cancaner, digérer et même barboter comme un véritable animal. Il a était créé à base de cuivre. Ce canard fut malheureusement détruit dans un incendie au milieu du XIXème siècle. Aujourd’hui, il n’en reste que des photographies et des croquis de celui-ci.

Des modèles plus complets des automates font leurs apparitions vers les années 1910. Les modèles plus sophistiqués sont : les CYBERNETIQUES. Ceux-ci ne se contentent pas seulement d’effectuer des mouvements préalablement programmes, mais interagissent avec leur environnement. Prenons l’exemple du chien électrique de Hammond et Miessner inventé en 1915, celui-ci pouvait se faire téléguider grâce à la lumière d’une lampe torche. Depuis 1915 jusqu'à aujourd’hui, ce concept est encore utilise pour fabrique des jouets pour les enfants (exemple : une voiture capable d’être téléguide en suivant la trajectoire d’un laser). Philidog, le chien Henri Piraux, qui ressemblait déjà un peu plus à un chien (1928) et le renard de Ducrocq (1953), furent crées grâce au même concept (du guidage grâce à la lumière) que le chien électrique de Hammond et Miessner

En 1950 Alan Turing conçoit un seul objectif : rendre les robots « intelligents ». John McCarthy, définit en 1956, le terme INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. Selon le dictionnaire Le Robert, l’intelligence artificielle (IA) est « ensemble des théories et des techniques développant des programmes informatiques complexes capables de simuler certains trait de l’intelligence humaine (raisonnement, apprentissage…) ». Prenons par exemple le cas concret des voitures intelligentes qui conduisent sans avoir besoin d’un homme. Imaginez un enfant qui joue avec un ballon, et sans le vouloir le ballon tombe sur la chausse. L’enfant ayant perdu son ballon, il veut tenter de le récupérer de sur la chaussée. Puisque les voitures autonomes possèdent des capteurs, a la « vue » de l’enfant, la voiture s’arrêtera à temps et l’enfant ne courra aucuns risques, même si la personne à bord de la voiture est alcoolique. En 1963, le programme « General Problem Solver » fait son apparition tout comme des systèmes experts comme Dendral qui est un programmes et-ou un outil capable de reproduire les capacités d’analyse et de raisonnement de spécialistes. Crée en 1965, le programme SHRDLU pouvait discuter et raisonner sur les éléments d’un monde préalablement définit, contenant seulement des cubes et des pyramides.

A la suite de l’intelligence artificielle viens l’idée d’inventer des animaux artificiellement intelligents. Ces animaux s’appellent : les ANIMATS. Ceux-ci imitent dans une certaine mesure, le comportement d’un animal. Il est autonome et il réagit avec son environnement (ils peuvent mesurer les distance de l’environnement qui l’entoure, calculer les distances qui le sépare d’un obstacle afin de pouvoir l’éviter). Les premiers animats datent de 1985. Le robot serpent de Miller crée en 1994, servit lorsque qu’il y a eu des éboulements de bâtiments suite à un tremblement de terre. Le robot serpent servit à ce moment-là, grâce à sa toute petite taille, à se faufiler à travers les hauts tas de pierres et grâce à ses caméras, à prévenir les secours de l’emplacement des blesses ensevelis afin de leur porter une aide. Ce cas fut réel lors du tremblement de terre à MEXICO, le jeudi 4 octobre 2017. Ce tremblement de terre fut de magnitude 7,1. Le petit serpent métallique, mesure 5 centimètres de large pour un mètre de long. Sa tête est équipée d’une caméra et plusieurs faisceaux lumineux. Il possède de plus 16 parties articulées, qui lui permettent de se faufiler à la manière d’un serpent. Lorsqu’on le lance, il est capable de trouver un endroit pour s’agripper. Le robot-gecko Stickbot inventé en 2006, à la capacité incroyable de pouvoir se suspendre a toute surfaces lisses, rugueuses, humides ou sèches en supportant tout son poids avec un seul doigt, grâce aux « forces de Van Der Waals » ( ces forces ont était étudiés cet année en physique ). Le robot-chien Aibo est un dispositif mis au point par Sony, qui fut retiré du marché en 2006, va revenir au Japon en janvier 2018. Cette nouvelle version sera bardée d'intelligence artificielle, de capteurs (gyroscopes, accéléromètres, capteurs tactiles et de lumières, caméras, haut-parleurs...). Surtout, elle sera dotée d'une connexion internet et pourra être contrôlée à distance depuis un smartphone. Sony explique que chaque robot-chien pourra partager ses informations et ses données avec ses compagnons, via un service de réseaux uniquement dédié à Aibo. Ainsi, chaque machine pourra profiter des expériences des autres robots, pour devenir plus intelligent. "L'animal" sera vendu environ 198000 yens, qui est équivalent à environ 1500 euros, mais seulement au Japon pour le moment. Ce  nouveau modèle est plus rond que l'ancien, avec un corps long de 30,5 centimètres, pour un poids d'environ 2,2 kilogrammes.

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