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The Limits of Restoration : El Libertador Sìmon Bolivar

Étude de cas : The Limits of Restoration : El Libertador Sìmon Bolivar. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Octobre 2022  •  Étude de cas  •  3 162 Mots (13 Pages)  •  240 Vues

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The Limits of Restoration : El Libertador Sìmon Bolivar

 Je vais présenter la vie de Simon bolivar surnommé « el Libertador », un véritable emblème de son pays le Venezuela et surtout de l’Amérique latine en général. Il est né le 24 juillet 1783 à Caracas au Venezuela et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie. Le titre honorifique de ‘’Libertador’’ lui est d'abord accordé lors de la libération de la ville de Mérida au Venezuela, avec une entrée triomphale. Simon Bolivar était un général connu pour  son génie militaire avec la méthode de la guérilla et homme politique sud-américain, anti-impérialiste et nationaliste. Il est le libérateur d’une grande partie du continent sud-américain du règne espagnol . Bolivar participa à la création de la Grande Colombie ( Venezuela Colombie et équateur actuel ), et il en sera le premier président.
Il est issu d’une riche famille créole présente en Amérique, son père était un riche propriétaire terrien. Sa jeunesse s’est passé dans la richesse avec une énorme culture grâce à de nombreux voyages en Europe et dans le monde où il a pu assisté aux retours de la monarchie et des empires, lui permettant de devenir un penseur profond rêvant de changement. …
Mais Simon bolivar a eu extrêmement de mal pour mener à bien ses projets et il s’appelait lui-même : « l’homme à problème ».
En quoi Simon bolivar est le libérateur de l’Amérique latine et quel mémoire la population conserve de lui ?

I introduction
I. Des défaites jusqu’à l’indépendance de l’Amérique latine grâce à bolivar
a ) l’échec des nombreuses rébellion des patriotes
b ) l’indépendance du territoire et la gloire de Simon Bolivar
II. Un personnage contesté menant à la fin de son règne
a) la chute de la république de la grande-Colombie
b) une forme de violence et de dictature contesté
III Fondateur de nouvelles idées créant un réel mythe
a ) une culture fondatrice de pensée novatrice
b ) le mythe bolivarien
conclusion :


I.
a)
Dès son retour de l’Europe, Bolivar s’intéressait beaucoup à la politique. Son modèle Napoléon qu’il aimait pour sa stratégie, se proclama empereur en 1804 et placa son frère Joseph sur le trône de l’Espagne. Mais une résistance se crée en Espagne et des mouvements nationalistes ( des gens qui veulent l’indépendance de leur pays ) aussi en Amérique latine. Bolivar s’implique pour l’indépendance de son pays et part en Angleterre pour les convaincre d’aider les mouvements indépendantistes, sans succès.
Les rebelles patriotiques parviennent à proclamer l’indépendance du Venezuela le 5 juillet 1811. La guerre civile contre les royalistes s’intensifient, sous les ordres de miranda, simon bolivar défend le territoire de Puerto Cabellos mais c’est une première défaite. Miranda capitule et les royalistes ( pour la monarchie ici espagnols ) reprennent le pouvoir. Bolivar s’enfui à carthagena en Nouvelle Grenade ( actuellement Colombie, l'Équateur et une partie du Venezuela.). Bolivar réattaque les royalistes avec quelques hommes et reprend Merida en effectuant des prouesses militaires. Appelé depuis ce jour « el Libertador », il regagne Caracas 6 aout 1813 au Venezuela après une superbe campagne.
Il devient président mais il n’arrive pas à stabiliser le pays, divisé par les combats et la pauvreté. Les royalistes réattaquent et il part en exil en Jamaïque en octobre 1814 après une deuxième défaite .

b)
Après du repos et une nouvelle stratégie, bolivar constitue une nouvelle armée et parvient à reconquérir le Venezuela en 1819 notamment grâce à la bataille de Boyacá le 7 août 1819. Le Congrès d'Angostura a fondé la Grande Colombie à partir des pays actuels du Venezuela, de la Colombie, du Panama et de l'Équateur. Bolívar a été nommé président et a continué à consolider la nouvelle indépendance avec des batailles continues contre l'Espagne avec ses généraux et surtout Antonio José de Sucre, son lieutenant en chef. Dans les années qui suivirent la bataille de Boyacá, les royalistes espagnols furent battus. Avec une victoire décisive en  1822, le nord de l'Amérique du Sud est libéré. Simon Bolívar et ses généraux se sont tournés vers le sud de l'Amérique du Sud. Il a préparé ses armées pour libérer le Pérou. Il a organisé une réunion à Guayaquil, en Equateur, pour discuter de stratégie avec José de San Martín, qui était connu comme le Libérateur du Chili.
Bolivar et ses hommes battent l'armée espagnole lors de la bataille de Junín le 6 août 1824. Après la victoire de la bataille d'Ayacucho le 9 décembre, Bolivar avait atteint son but: l'Amérique du Sud était libre .
Simon bolivar est le héros et l’homme le plus puissant d’Amérique latine.

II
a)

Une fois le combat contre les royalistes finis, Bolivar tente d’unifier l’Amérique sous une même politique. En 1825, Bolívar est président des trois républiques de Grande-Colombie, du Pérou et de Bolivie , un nouveau pays crée sur le territoire péruvien portant un nom en son honneur. Mais malgré le héros qu’il était, son prestige et son autorité ne suffit pas à surmonter les différences entre les populations et les territoires. Il ne peut imposer sa conception politique d'une république césarienne (Constitution bolivienne de 1826) où le pouvoir est concentré entre les mains d’un homme fort, charismatique, appuyé par le peuple. Son grand projet d'une alliance continentale des nations latino-américaines échoue dès le congrès de Panamá (1826), visant à créer une institution politique suprême dirigeant tous les pays d’Amérique. En 1827-1828, Bolívar doit renoncer à toute autorité sur le Pérou et la Bolivie. En même temps, son pouvoir est vivement contesté en Grande-Colombie : à la dictature conservatrice qu'il exerce, ses adversaires répondent par une tentative d'assassinat (1828). Il ne réussit même pas à empêcher la fin de la Grande-Colombie en trois républiques souveraines (Venezuela, Équateur, Colombie : 1829-1830). Malade et vieilli, découragé, Bolívar résigne définitivement tout pouvoir en janvier 1830. C'est sur le chemin de l'exil volontaire qu'il meurt à Santa Marta, en Colombie le 17 décembre 1830.

b)
Durant ses conquêtes, Simon bolivar a eu recours à des méthodes et des pensées radical. En effet, durant la guerre civile contre les royalistes espagnols il signe et met en place le « décret de guerre à mort » qui proclame que tous les 
Espagnols (« même les indifférents »), qui n'œuvrent pas activement à l'indépendance seront tués. Dans chaque ville et village traversé par l'armée indépendantiste, tous les Espagnols, presque sans exception, ont été fusillés. Une méthode violente et barbare.
De plus, Simon bolivar faisait respecter son autorité dans l’Amérique en y imposant ses idées politiques. Il régnait de manière autoritaire sur l’Amérique faisant usage de la force comme au Pérou, où son contrôle du pays fut considéré comme une annexion du territoire. Il voulait dominer le pérou pour garder le pays sous contrôle qu’il considérait comme une menace pour la grande-Colombie. Une dictature pas aimé de tous. Il méprisait aussi certaines population comme les indigène péruvien. Il avait remis l’impôt sur les indigènes qui avait été supprimé en 1821, soit une taxe basée sur la race, non sur la richesse.

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