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Le pain - Ponge

Commentaire d'oeuvre : Le pain - Ponge. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Novembre 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  793 Mots (4 Pages)  •  694 Vues

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ESCRIBANO Lisa                                 Corpus Français                                                               4/11/2015

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         Nous sommes en présence d’un corpus de trois poèmes dont deux du XIXème siècle et un du XVIème siècle. Dans mon « Rêve familier » de Paul Verlaine, le poète nous parle d’un rêve d’une femme inconnue qu’il aime,  Baudelaire, lui, nous décrit une femme qui passe dans une rue et qu’il ne reverra surement jamais, dans « A une passante », puis Pierre de Ronsard nous parle de la ‘’vie’’ d’une fleur à la rapportant à la jeunesse dans « Ode à Cassandre ».

Nous allons voir en quoi ces textes illustrent la thématique de la quête de l’amour puis en quoi cela propose une vision pessimiste.

           Ces poèmes mettent en relation un point commun qui est « l’amour inaccessible ».

Dans le poème de Verlaine nous pouvons voir que l’auteur fait un rêve confus, l’auteur parle d’un rêve « familier » dans le titre de son poème mais il dit ensuite que celui-ci est étrange.

Il ne décrit pas vraiment la femme, il parle d’elle de façon abstraite, il évoque souvent, il y a sa présence mais sans plus.

Baudelaire parle aussi d’une femme, il parle d’une passante comme l’indique le titre, il décrit la femme dans la seconde strophe mais il parle aussi de lui et de son ressenti.

Tandis que Pierre de Ronsard, compare une femme « Cassandre » que l’on retrouve encore dans le titre, à une fleur. La description de celle-ci est faite avec « douceur » au début puis petit à petit celle-ci se dégrade.

         

             Nous pouvons voir que les auteurs parlent tous d’une femme qu’ils aiment mais qu’ils ne connaissent pas. Ils parlent de leur amour pour ces femmes mais pas de façon très positive, car à la fin de chaque poème les auteurs montrent qu’au final la femme part ou qu’elle n’est pas réelle ou bien inaccessible.

          Dans un premier temps Verlaine nous montre un amour parfait, il rêve d’une femme qu’il aime et qui l’aime en retour, un parfait avec compréhension.

Baudelaire nous parle d’une rencontre avec une femme qui peut être l’intimide ou bien le fascine car il est « crispé comme un extravagant » en buvant. Mais il laisse partir sa bien-aimée et ne le reverra peut être jamais.

Ronsard parle d’un amour de jeunesse ou d’une femme plus jeune que lui qu’il avait rencontré mais il montre que c’est un amour impossible.

         En second nous pouvons constater que cet amour tourne mal.

Dans « Mon rêve familier » l’auteur aime une femme qu’il ne connait en fait pas. Il aime une femme qu’il n’existe pas dont il ne connait pas le nom exact juste quelque détails lointain, peut être tirés d’une femme qu’il a déjà vu.

La passante, elle, part, l’auteur voit cette femme disparaitre comme un éclair. Ne laissant d’elle qu’un vaste souvenir.

Puis pour Cassandre qui est comparée à une fleur, elle, n’est pas accessible et ne laisse que du désespoir à l’auteur qui n’aura pas pu tenter sa chance avec elle.

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