Analyse de Français 1ère: Le Parti Pris Des Choses de Francis Ponge : Le Pain

Introduction :

la création du monde (cosmogonie)

cherche à redéfinir les choses ( Le parti pris des choses = on part des choses )

Développement :

I / Poème cosmogonique

a. Travail de la langue

Métaphores : du four « la lumière [..] couche ses feux », « four stellaire » → l'espace et les étoiles de la mie « feuilles ou fleurs »

Comparaison : « les Alpe, le Taurus ou.. »

Renforce l'analogie : par des comparaisons « la mie a son tissu pareil à celui des éponges » / « comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes »

b. Analogie entre le pain et le monde

Microcosme et macrocosme : ( pain à la terre ) « croûte du pain » chaîne de montagne

« mie » sous-sol,

« masse amorphe » terre

( terre vers le pain ) « les vallées » les creux

Cosmogonie : ( un système de la formation de l'Univers )

qui s'appuie sur des phénomènes physico-chimique ( le mie fait échapper du gaz )

une progression chronologique par le passage du PS au PC

II / « Objeu »

a. FP s'amuse à nous faire voir le pain autrement

Vers blancs : 12 syllabes « sans un regard .. éponges » FP joue avec les traditions

Jeu sur les expressions familières : « Mais brisons-là » ( là = pronom personnel complément ) cessons la conversation

Renversement en fin de poème : « moins objet de respect .. consommation » ( montre qu'un objet n'est pas plus noble contrairement à un autre : comme les ouvriers ) # pour les chrétiens → symbole de divinité

Marx : « l'homme ne vie pas seulement de pain il a besoin aussi de roses »

Invitation à la rêverie : présent de vérité général suscite le registre merveilleux et par de nombreuses images ( sorcellerie évocatoire BAUDELAIRE ) d'abord par une vision panoramique ou l'on voit que la « surface » puis on regarde de plus près « vallées, crêtes, ondulation.. » = progression

b. Art poétique

Poème ne doit pas être idolâtré

Poète est comparable aux autres

=> FP débarrassent les clichés de la langue nous apprends à voir le pain différemment

=> à force de voir les choses, nous cessons de les voir

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