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Fiche oral commentaire littéraire l'Amie prodigieuse

Commentaire d'oeuvre : Fiche oral commentaire littéraire l'Amie prodigieuse. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  27 Novembre 2022  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 190 Mots (5 Pages)  •  337 Vues

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KOUKOUI Edwin                                                                                  2GT3

Commentaire littéraire

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L’amie prodigieuse

   On se situe au milieu du 20ème siècle, dans les années 50-60. Fin de la guerre depuis environ 5 ans ; celle-ci a pourtant laissée d’énorme séquelle que ce soit sur le paysage que dans l’esprit des gens. Surtout en Italie anciennement sous le régime mussolinien , coté perdant de la guerre dont les habitants on donc été dépourvue de leur bien. Surtout dans la petite ville de Naples ou la  justice n’a plus grand pouvoir. C’est un lieu ou les pensées machistes sont toujours bien présentes . L’accès a l’éducation n’est toujours pas simple ; il faut choisir qui continuera ses études. Il est d’autant plus encore plus difficile d’être une fille, une femme à ce moment de ces évènement peuvent devenir une source d’inspiration pour l’art. Ce fut le cas d’Elena Ferrante qui sorti un livre en 2011 et raconta l’histoire de cette époque à travers une histoire pleine d’émotion ou deux filles grandissent et apprennent. Elena et de Lila vivent dans ce quartier pauvre de Naples. Deux amies, dont l’une abandonne l’école pour se concentrer sur la cordonnerie familiale et l’autre continuera ses études épauler par son institutrice et pourra donc continuer à s’instruire.

 L’extrait choisit présente Melina Capuccio , femme veuve depuis peu sous des raisons inconnues. Donato Sarratore pris de compassion décida d’aider Melina qui, elle , tomba amoureuse de celui qui vint l’aider. Elle fut prise de jalousie et prit l’initiative de faire rompre Donato et sa femme par n’importe quel moyen .Dans cette extrait ou interviennent aussi Elena, Lidia Sarratore et Lila.

L’intérêt de cet extrait semble donc résider dans la mise en place d’une tragédie d’un monde d’après guerre.

Tout d’abord nous verrons les informations que nous apprend cet scène ; puis  nous verrons les traces qui restent d’un monde d’après guerre et enfin nous verrons les tragédies qu’apportent certaines situation.

  Premièrement, cet extrait nous permet d’apprendre plusieurs informations dans l’incipit.

Au début de cet extrait l’on apprends qui seront les personnages de cette petite histoire qui marquera quand même Elena et Lila nos deux protagoniste comme le souligne Elena (l9.p40) « Lila fut très marquée » et plus loin (l11)  « Je le fus aussi ».Avec Elena comme narratrice toujours. L’on apprends aussi que dans cet annonce d’un futur terrifiant qui est Melina Cappucio qui serait une parente de Lila(l10.p40). L’on découvre un nouveau personnage du moins l’on se concentre sur cette personnalités. Grâce au tiret «l10.p40», ponctuation qui met une courte pause à la phrase d’Elena  et installe un climat plutôt effrayant pour la suite. Par la suite, ce pronom « elle »(l2.p43) que Lila prononce. Ce prolepses de Lila souhaitant que si Lidia mourrait ce serait « bien fait pour elle » en utilisant ses termes. Cette phrase, ce verbe péjoratif « mourait » « ligne 3 » nous font bien comprendre que Lila est dans le camp de Melina. Ce qui est aussi terrifiant est que Lila souhaite la mort à quelqu’un alors que ce n’est qu’une enfant.

De la ligne 30 à 32 , le pronoms personnel « il » « l30 » nous indiquent que Donato s’impliquent dans la vie de l’Église. L’autrice montrent donc que dans dan cette ville, l’Église est devenu une lueur d’espoir pour certain même si le bonheur est compliqué à obtenir.

Deuxièmement, certains moments nous montrent qu’il s’agit bien d’un monde d’après guerre.

A la ligne 1 de la p40 Elena décrit son ressentit sur les hommes et les femmes. « Plus contaminé que les hommes » « l1.p40 » est utilisé par la narratrice Elena comme métaphore comme si quelque chose avait affecté par une maladie, un virus. Cette accumulation d’adjectif à connotation d’abord méliorative puis péjorative par la suite » silencieuse, accommodante » puis « furie » montre la fausse image que possède les femmes de cette ville. Elle montre que les préjugées types de Femme qui doit être douce, calme ne veut rien dire et ne montre pas le vrai visage de celle-ci.

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