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Gestion des ressources humaines

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Par   •  17 Janvier 2020  •  Cours  •  1 312 Mots (6 Pages)  •  380 Vues

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CHAPITRE I : GESTION A CHAUD DE LA CONFIDENTIALITE ( GREVE)

INTRODUCTION :

Il y a de moins en moins de grève. Ils sont vraiment exceptionnels si on retranche les cas du service public.

Dans les années 70 et début 80 les grèves causent la perte de millions d’heures de travail. Aujourd’hui les grèves sont plus rares mais font l’objet d’une plus grande attention => elles apparaissent dans des contextes de graves tensions (annonce d’un pse, fermeture d’entreprise).

Les salariés expriment les mécontentements en devenant plus combatifs en organisant une riposte en mettant les responsables sous tension.

Au moment des grèves il est important d’avoir des syndicats car même énervé il garde conscience des enjeux pour les salariés. Il sait qu’une grève ce n’est pas une guerre, il va donc encadrer au mieux la colère des salariés à l’égard de l’employeur.

=>il organise la riposte en pensant aux conséquences pour les salariés.

En absence de syndicat la situation peut devenir explosive. Les salariés sont livrés à aux même et deviennent plus violence et ne peut pas connaitre les conséquences juridiques de leurs violences.

En cas de grève beaucoup d’entreprise sont amenés à intégrer à solliciter les partenaires pour venir les aider à mettre fin aux conflits.

UNE GREVE = dramatisation d’un dialogue. Son but est de déclencher un dialogue mais c’est aussi un énorme cri de colère.

Pour qu’une grève soit planifiée il faut avoir affaire à des professionnels des grèves.

Elles commencent toujours par une phase irrationnelle puis une phase rationnelle, la fin de grève (sortie de grève) enfin l’après grève.

Le maître mot de la gestion d’une grève c’est d’éviter le pire. (1% vont au-delà de 3semaines). =>le mieux serait d’anticiper le mouvement donc pour cela il existe différents instruments de gestion des conflits. (Connaissance du climat organisationnel, au travers de discussion avec le personnel, au travers du baromètre social).

Normalement une grève est encadrée juridiquement grâce au préavis de grève. Mais il existe un nombre de grève commence sans que l’entreprise soit mit au courant.

La grève est un moment difficile qui devient plus gérable quand il est anticipé. On doit avoir un comportement peu éthique car on est face à des salariés violents et organisés.

Il a un enjeu professionnel fort.

I- LA PHASE IRRATIONNELLE (moment du démarrage du conflit)

Rentrer dans un conflit collectif c’est un acte d’engagement fort. On s’oppose à l’employeur et la relation peu être dégradé. Pour être gréviste il faut donc être motivé.

Cette phase peut être appelée un défoulement collectif ou un période d’in stabilisation.

Les grévistes ne sont pas passifs, en fonction du niveau d’organisation du conflit ils vont chercher à ennuyer l’entreprise (empêcher l’entreprise de fonctionner).

Cette phase est assimilable à une guerre de mouvement c'est-à-dire que les grévistes sont à l’initiative et font chercher à prendre le contrôle physique de l’entreprise.

Les grévistes sont généralement bien organisés.

=>ils s’attaquent aux stocks car ils détiennent une capacité à faire arrêter l’entreprise interne (cela est d’autant plus vrai quand les stocks sont fragiles).

Le but est de se créer un butin car les lors de la négociation en fin de conflit ils pourront faire payer ce butin. Ce butin va peser sur dans la négociation.

La solution sera d’appeler la police. Elle n’interviendra que s’il s’estime le faire en douceur. (Inégalité entre intérêt privé et intérêt public…).

L’entreprise va constituer également un butin qui se constituera des choses qui vont intéresser les grévistes et ainsi faire pression sur eux en sortie de grève=>densifier le dossier juridique.

Les choses seront facilitées si l’entreprise prend des précautions :

Réflexion sur la possession des clés. Axe dangereux en situation de fermeture d’entreprise car il risque de défoncer les portes.

Réflexion sur les flux de production (contournement des parties).Faire des organigrammes où on raisonne avec peu de personnel. La polyvalence du personnel est intéressante.

Réflexion sur le nombre d’entrée /sortie. On peut rentrer dans une logique plus globale (concircuiter les grévistes).

Il est nécessaire de prendre contact avec les grévistes car on ne peut pas les laisser sans réponses. Si on a un syndicat on peut se faire une idée de la capacité des grévistes. On peut entrer en contact avec la délégation des grévistes et aller à leur rencontre sur place. Le grand risque c’est la séquestration.

Quand

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