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Adm 1015 travail noté 1

Dissertation : Adm 1015 travail noté 1. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Février 2018  •  Dissertation  •  1 598 Mots (7 Pages)  •  648 Vues

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Question 1 :

1- Définition des concepts-clés

A) Processus d’affaires

Selon moi, le processus d’affaires est une représentation d’un ensemble cohérent et structuré d’activités réparties au niveau des différentes structures organisationnelles de l’entreprise afin d’atteindre un but spécifique, soit celui de produire un bien ou un service défini.

B) Pratique d’affaires

Selon moi, une pratique d’affaire est une stratégie mise de l’avant par l’organisation afin d’améliorer la performance des processus dans une organisation. L’objectif étant d’aligner le modèle d’affaires et le modèle de gestion des ressources humaines vers cette (ou ces) pratique(s) qui permettront d’optimiser de tirer le maximum des ressources humaines et ainsi, de limiter les pertes, ou les temps morts.

C) Activités d’affaires

Selon moi, ce sont les gestes quotidiens qu’une entreprise effectue afin d’opérer efficacement son entreprise. Ces gestes constitue l’effort effectué afin d’accroître sa performance sur le marché. Ces gestes représentent la capacité de vendre son produit ou ses services ainsi que de déceler des opportunités d’affaires. Selon moi, les activités d’affaires d’un entrepreneur peuvent naître à n’importe quel moment, n’importe ou.

2- Différence entre les concepts

A) Activité d’affaires

A l’image du tableau énoncé par Turgeon (2014), l’activité d’affaires est l’activité primaire, au sens de la plage temporelle tactique, que l’entreprise doit développer afin de développer de nouveaux marchés. Du point de vue des ressources humaines, ces activités peuvent prendre diverses formes. En effet, une entreprise peut créer, par exemple, faire appel à des ambassadeurs de marque afin de négocier des contrats avec de nouveaux fournisseurs. Rien ne limite une entreprise afin de créer des activités d’affaires innovatrices et originale qui stimuleront ses opportunités et augmentera sa performance. A l’opposé, une entreprise peut également avoir des activités très structurées et éprouvées qui ne changent pratique pas avec le temps. Les efforts déployés peuvent énormément varier selon le type d’entreprise visé.

Exemple concret : les accords contractuels quotidiens qui sont passés par une chaîne logistique d’une société d’alimentation comme Loblaws avec ses différents fournisseurs afin d’acquérir différents produits d’alimentation pour ses succursales.  

B) Processus d’affaires

Les processus d’affaires viennent après les activités d’affaires, toujours au sens de la plage temporelle tactique, et vise à structurer les ressources de l’entreprise afin de produire le bien, ou le service voulu. Il est logique qu’ils viennent après les activités d’affaires puisque structurer les ressources de l’organisation est inefficace si un développement des activités n’est pas au rendez-vous. L’objectif est, ultimement, d’optimiser la manière dont le travail est effectué à travers l’organisation jusqu’à la livraison du service ou du produit[1]. En d’autres termes, on analyse le fonctionnement de l’organisation, dans son ensemble, afin de trouver la structure la plus efficace possible afin de livrer le produit ou le service.  

Exemple concret : l’utilisation, par une entreprise, de la technologie ebXML, visant à simplifier les coûts liés aux transactions électroniques et de standardiser les coûts de production en partageant les coûts de production avec d’autres entreprises.

C) Pratiques d’affaires

Toujours selon le guide de gestion stratégique de marchés de Turgeon (2014), les pratiques d’affaires visent à optimiser les processus d’affaires. Ainsi, les pratiques d’affaires découlent des processus mis de l’avant par l’entreprise. Les pratiques d’affaires relèvent davantage de l’efficience et de la performance au sein même de l’entreprise qu’au niveau des autres concepts. Une fois qu’on a trouvé la meilleure structure organisationnelle possible, on vise à maximiser la production selon les ressources que l’entreprise détient. La gestion de la qualité, la standardisation, le benchmarking, etc. sont toutes des techniques qui peuvent être choisies par l’entreprise afin de faire partie intégrante de ses pratiques d’affaires. En d’autres termes, les pratiques d’affaires touchent davantage à la performance en terme de production, ou de rendement, que les deux autres concepts. Bref, on parle d’approche client.

Exemple concret : la démarche de la qualité totale est, par exemple, un mode de gestion centré sur la qualité globale des produits selon la satisfaction du client[2]. Les normes ISO, SIX SIGMA, LEAN, sont également des normes de gestion standardisées qui vise à améliorer l’optimisation de la production. L’implantation de la norme ISO 9001 peut, pour une entreprise forestière, permettre d’améliorer la vitesse d’exécution des tâches et de limiter les temps morts afin de livrer le meilleur produit possible, dans le meilleur délai possible selon la définition que cette entreprise se fait de la qualité.    

Question # 2

Tel que mentionné dans le manuel du cours :« la GRH n’est que partiellement déterminée par les caractéristiques ou les pressions environnementales (…) et peut être adapté à des caractéristiques internes telles que la stratégie d’affaires, la taille, les caractéristiques du personnel et les valeurs de gestion [3]».

Cette mise en contexte permet de comprendre à quel point la théorie des affaires est importante au niveau de la mise en place de la stratégie globale d’une organisation. La théorie des affaires, tel qu’énoncé par Turgeon (2014), est le raisonnement de base qui est lié à l’existence d’une organisation. Elle définit sa raison d’être.

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