Management Et Organisation

Introduction

Si le travail peut-être une source de joie et d'épanouissement, dans certains cas il peut aussi jouer un rôle d'un mal-être profond. Dans le cas suicidaire, comme la situation de France Télécom et de Renault, la structure d’entreprise et la psychologie de salarié sont souvent les facteurs de risque. Ce cas n’existe que seulement aux sociétés occidentales, mais aussi aux sociétés orientales, souvent les usines industrielles. Dans cette monographie, on va discuter un cas oriental—Foxconn, le 1er sous-traitant taïwanais d'Apple et de Sony. Située dans la province de Guangdong, l’usine du géant Foxconn de Longhua, dans le centre manufacturier de la ville de Shenzhen, a eu lieu un conflit ou précisément, les suicides en milieu de travail. Mais pourquoi de notre jour en 21ème siècle, les cas suicidaires sont fréquents dans les sociétés industrielles ?

Analyse avec perspective macro :

1. Environnement du travail

 La grande densité de la population

Entreprise géante employant plus de 400 000 personnes, Foxconn est nommé comme la « Cité interdite » en Chine avec presque 100 000 personnes chaque petite usine. La plupart d’ouvriers se sentent souvent emprisonnés dans l’usine. Par exemple, à l’usine de Longhua, dans le centre manufacturier de la ville de Shenzhen, c’est vraiment trop peuplé avec plus de 300 000 employeurs.

 La hiérarchie rigide

De plus, la hiérarchie de l’usine et les travails lourds ne leur permet pas de s’imaginer et s’autoriser. Dans l'atelier, le chef est le seul destinataire du rapport de contrôle qualité et il demande beaucoup sur les ouvriers, sans redéfinir la notion de travail bien fait. En ce cas-là, les travailleurs ne savent plus où ils sont, et ils sont désorientés et se sentent dévalorisés. Donc quelques ouvriers choisissent de se suicider sur son lieu de travail en se défenestrant ou sautant du toit de l’usine. Cela éprouve que la cause possible de la souffrance soit au travail.

Organigramme chez Foxconn

2. Perte de communication

 Mode muet : Il n'y a plus d'humain, que de l’efficacité

Plus la structure où l’usine est grande, plus il est facile (pour la direction) de fonctionner de façon inhumaine. Dans l’organisation de travail de Foxconn, l’usine est le royaume des contremaîtres. Ils peuvent décider plein de choses, comme l’organisation du travail, la fixation des salaires, l’embauche et licenciement du personnel. Ils régnaient sur les manœuvres, dont on n'utilisait que la force physique, et les ouvriers qualifiés avec une manière inhumaine—mode muet. Dès qu’on est dans l’usine de de Foxconn, on ne peut pas se communiquer les choses quotidiens que les travails. Donc, cela va gêner les tensions parce qu’on n’est pas pu être exprimées directement comme on peut le voir dans les autres entreprises. De plus, si l’usine va licencier un ouvrier, les décisions sont prises par certains chefs ou gestionnaire sans concertation et communiquées brutalement.

 La dissolution du collectif

Dans le travail à la chaîne de Foxconn, on assiste à une dissolution du collectif. C'est-à-dire, on ne considère que le travail individuel. Les relations sociales entre les employés ne sont pas importantes du tout. Donc en ce cas-là, il existe une très grande solitude entre eux. De plus ; Foxconn utilise la notion de Taylor dans l’usine, une méthode de travail qui préconise l’organisation scientifique du travail dans le but de d’obtenir la meilleure façon de produire, de rémunérer, et donc le meilleur rendement possible. Donc, tout est fait pour casser les collectifs de travail et les liens de solidarité. Les travailleurs se reconnaissent isolés dans l’atelier.

Analyse avec perspective micro :

La personnalité et la motivation

Selon la théorie de Robbins, la personnalité est un ensemble des façons dont un individu réagit et interagit avec autrui. Même si nous ne pouvons pas connaitre tous les traits de chacun ouvriers travaillant en base dans l'usine de Foxconn, il est évidemment qu'ils disposent d'un point commun : plus de 80% des ouvriers ont l'âge moins de 25 ans, facile d’accepter

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