Synthèse et écriture personnelle

ECRITURE PERSONNELLE

Le coronavirus, qui nous a obligés à rester confinés, ne nous a-t-il pas permis de mieux redécouvrir les charmes de la lenteur ?

“Le monde avec lenteur marche vers la sagesse ”.Cette célèbre citation de Voltaire exprime parfaitement ce que nous avons vécu ces derniers mois à cause du coronavirus partout dans le monde.Ce confinement nous a permis de nous retrouver ,de retrouver ses proches.Ils nous a  aussi permis de nous retrouver avec sois même(pour notamment le corps) ,c’est ce que nous allons évoquer dans une première partie pour ensuite évoquer les bienfaits de la lenteur pour notre conscience et nos proches.

Dans cette première partie nous allons évoquer ,la lenteur au vue de notre physique.

Auparavant,dans un un monde ou les sorties et les rapprochement étaient banals ,les accolades et les embrassades une finalité .Mais cette époque est reporté et nous a permis notamment de nous retrouver avec nous même et notamment pour se retrouver physiquement ,le métro le matin fut remplacé par un réveil un peu plus tardif  et un petit déjeuner un peu moins précipité .Justement tout ces petits détails si important mais tellement bénéfique pour notre organisme.De plus, on peut remarquer que le confinement avec donc une journée tout aussi efficace et surement mieux organisé ,nous permets de reprendre du temps pour nous physiquement par exemple avec la reprise du sport entre les visios-conférences et les séances de yoga le soir.Le confinement au niveau du corps à vraiment été l’alternative pour se retrouver avec sois-même

pour mieux connaître l’horloge interne,idée notamment reprise dans le célèbre texte de Kundera La Lenteur qui nous montre que notre période est avide de vitesse,il faut notamment  prendre soin de son corps et de son physique,sinon nous serons emportés par la vitesse  .

Dans cette seconde partie,nous allons évoquer un autre charme du confinement c’est le fait de se retrouver avec sois même et sa conscience  .En effet , au niveau de la conscience et la prise de conscience d’autrui les bienfaits ont été incroyable .La période de confinement nous “offre” ce temps d’ordinaire si précieux. Tous les spécialistes s’accordent à dire que ne rien faire n’est pas négatif. La période n’est plus à la culpabilité. On peut être oisif, contemplatif, réfléchir au sens de la vie.Le temps libre au niveau de la conscience ,nous a permis de nous développer notamment au niveau de notre apprentissage et de notre culture ,l’ennui nous permets de devenir créatif et de se laisser aller à faire des choses que l’on avait, peut-être, pas l’habitude de faire. L’occasion d’apprendre une nouvelle langue, faire de la musique, peindre ou même se mettre à écrire.

Au niveau d’autrui cela à été la chance de voir davantage notre famille  et passer davantage de temps avec ,temps que je n’aurais pas eu par exemple si j’étais à l’université et donc de resserrer les liens,ne plus se laisser dicter le temps par les habitudes scolaires habituels .Cela à donc engendrer une entraide plus importante    ,de nouvelles solutions d’entraides se sont multipliées un peu partout en France et dans la région. Grâce aux réseaux sociaux, à des plateformes numériques dédiées mais surtout dans le voisinage. Des petites entreprises n’ont pas hésité à modifier leur activité pour être utile. On peut retenir cette société spécialiste en fabrication de panneaux publicitaires qui a recyclé son stock de plexiglas pour fabriquer des barrières de protection pour les commerces.

Pour ma part ,j’ai trouvé le confinement plein d’avantage inattendu .Se retrouver avec sois-même intérieurement et extérieurement notamment avec ma famille à été très bénéfique .J’ai notamment été très heureux de l’impact du confinement sur la nature qui a été incroyable et a permis une micro réparation des activités du monde en temps normales

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Première partie : SYNTHÈSE de DOCUMENTS (40 points)

Vous rédigerez une synthèse concise, objective et ordonnée des documents suivants :

Document 1 : Pierre Sansot, « Du bon usage de la lenteur », 1998.

Document 2 : billet d’un blog « Un petit tour à Metz » de Mélanie M. posté le 18/01/2011 et qu’elle a accompagné d’une photo.

Document 3 : David le Breton, « Marcher : éloge des chemins et de la lenteur », 2012

Document 4 : Milan Kundera, extrait du roman « La lenteur », (1995)

“Le monde avec lenteur marche vers la sagesse ”.Cette célèbre citation de Voltaire nous explique parfaitement le dilemme de la vitesse et ces dangers .Beaucoup d’entres nous sous estimes les bienfaits et les points positifs de la lenteur .Cette idée est représenté dans  l’essai de 1998 de Pierre Sansot « Du bon usage de la lenteur »,comme dans aussi le le blog un petit tour à Metz accompagné de cette célèbre photo posté en 2011 par Melanie M ,dans “Marcher :éloge des chemins et de la lenteur” de David le Breton ou dans :”La lenteur “ de Milan Kundera datant de 1995.La question que ces textes nous invitent à nous poser est la suivante :”La lenteur ,plaisir bénéfique ou maléfique?”.Nous allons donc évoquer premièrement  des aspects négatifs de la vitesse et l’amour de la société d’aujourd’hui par la vitesse pour enfin évoquer dans une deuxième partie les aspects positifs de la lenteur .

Dans cette première partie nous allons évoquer l'omniprésence de la vitesse dans la société d’aujourd’hui  et les côtés négatifs de la vitesse.

Premièrement ,la vitesse est de plus en plus présentes dans la société d’aujourd’hui, ivre d’accélération, de rentabilisation. Chaque minute compte. Tout, tout de suite, maintenant, très vite ! C’est à un rythme échevelé que nous vivons, tentant d’attraper un temps qui nous manque toujours.Cette idée est notamment présente dans le document Du bon usage de la lenteur ou justement Pierre Sansot mets en avant l’époque d’aujourd’hui à celebrer la vitesse :”À l’inverse m’irritaient ceux de mes camarades qui se précipitaient à la cantine et qui à l’école couraient après les premières places. Ils désiraient devenir très vite des adultes, après avoir bâclé une enfance à jamais abolie.”.C’est le constat notamment fait par Pierre Sansot qui mets en avant la société d'aujourd'hui a sauter les étapes et ne plus profiter des moments présents.Meme constat pour Kundera avec l’exemple de sa femme qui fait la remarque la rapiditié des gens:”Toutes les cinquante minutes un homme meurt sur les routes de France. Regarde-les, tous ces fous qui roulent autour de nous.”.On peut alors voir que malgré les risques la vitesse ne fait en aucun cas diminuer et peut être même augmenté car elle procure chez certains une certaines adrénaline  au dépit  de la lenteur et de ces moments où chaque seconde est savouré. Même idée dans le texte Marcher : éloge des chemins et de la lenteur ou David le Breton explique qu’on refuse la lenteur car on ne sait pas l’utiliser.

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