Sans Famille : résumé

Sans Famille : Partie 1

Chapitre 1 et 2:

Rémi était un enfant trouvé Avenue de Breteuil en février par Mère Barberin, qui était une nourrice et Père Barberin. Il avait vécu jusqu’à l’âge de 8ans à Chavanon (dans le centre de la France) dans une maison ayant un jardin qui leur permettait de manger des pommes de terre, des fèves, des carottes, des choux et des navets,avec Mère Barberin car Jérôme travaillait comme ouvrier à Paris.

Un jour, on leur apprit que Jérôme s’est blessé sur son chantier et qu’ils devaient  envoyer de l’argent pour faire un procès à l’entrepreneur  donc qu’ils étaient  obligés de vendre Roussette (leur vache).

Jérôme décida de rentrer à Chavanon : c’etait un homme d’une cinquantaine d’années, au visage rude et n’aimant guère Rémi. Alors qu’ils n’avaient  plus d’argent, Il annonca à sa femme qu’il avait perdu le procès et qu’il souhaitait que Rémi parte à l’hospice.

Chapitre 3 et 4 :

Père Barberin décida d’aller au village avec Rémi et de s’arrêter boire à l’auberge Notre-Dame. Il rencontra le signor Vitalis : un vieillard à barbe blanche, portant un costume bizarre composé d’un chapeau de feutre gris orné de plumes vertes et rouges, d’une peau de mouton sans manches et de guêtres en laine. Il souhaitait louer ou acheter Rémi pour qu’il fasse parti de sa troupe composée de : 3 chiens, Capi qui est le chef des chiens, Zerbino et Dolce, et d’un singe, M. Joli-Cœur.

Le lendemain, le signor Vitalis vint chercher Rémi sans que celui-ci puisse dire au revoir à Mère Barberin (elle était partie au village).

Chapitres 5 et 6 :

Rémi se rendit vite compte que le signor Vitalis etait un homme gentil et se fait un ami : Capi.

Arrivés à Ussel (après avoir fait une pause pour la nuit en mangeant un très faible morceau de pain et en dormant dans une grange), le signor Vitalis offrit à Rémi : des souliers, une veste de velours bleu, un pantalon de laine s’arrêtant aux genoux et un chapeau de feutre orné d’un bouquet de fleurs en laine et entouré de rubans croisés (il attacha aussi ses bas avec des cordons rouges croisés autour de la jambe).

Rémi dû jouer la comédie dans Le plus bête des deux n’est pas celui qu’on pense ou Le domestique de M. Joli-Cœur, il devait jouer un paysan ignorant et maladroit. La troupe répéta pendant de très longues heures et Rémi se rendit compte que le signor Vitalis etait très patient et très doux.

Une pantomime : Pièce jouée avec des gestes et non avec des paroles.

La représentation s’était très bien passée.

Chapitre 7 et 8 :

Rémi annonça au signor Vitalis qu’il ne savait pas lire car il était allé qu’un mois à l’école de son village et son maître ne lui avait jamais rien appris car il n’était payé que 50 centimes par moi donc il travaillait en tant que sabotier  (son métier d’origine) à l’école (certaines commune ne possédaient pas d’écoles). Donc le signor Vitalis apprit  à lire l’écriture à Rémi et à Capi. Comme Rémi le souhaitait, il lui apprit aussi à lire la musique.

Au cours du voyage, les jambes et les bras de Rémi se fortifièrent, ses poumons se développèrent et sa peau se cuirassa. Il devint capable de supporter le froid comme le chaud et les intempéries.

Rémi apprit que le signor Vitalis avait occupé une certaine position dans le monde, mais plus maintenant.

Ils avaient quitté l’Auvergne et arrièrent à Quercy, un endroit triste et pauvre, sans eaux. Ils s’arrêtèrent dans une auberge pour la nuit dans la Bastide-Murat (village). Le soir, le signor Vitalis raconta à Rémi l’histoire du roi Murat.

Chapitre 9 et 10 :

Ils avaient quitté Quercy puis étaient allés à Saint-Emilion (en Dordogne)  et étaient restés longtemps car ils avaient gagnés beaucoup d’argent.

Après avoir parcouru un long trajet, Rémi découvrit Bordeaux. Puis il partit pour les Landes, ils marchèrent longtemps et le soir un Landais sur des échasses vint leur proposer de les conduire jusqu’à une bergerie.

Ils passèrent l’hiver à Pau car ils avaient un bon public. Mais quand le printemps était arrivé, le public était de moins en moins nombreux donc ils partirent pour Toulouse.

Arrivés à Toulouse, ils commencèrent leurs numéros sur une place mais un agent de police vint leur demander de partir ou au moins de mettre des muselières à ses chiens. Mais le signor Vitalis décida de ne pas l’écouter et revint au même endroit le lendemain. Le lendemain, l’agent de police décida d’emmener Vitalis au poste de police puisqu’il n’avait pas respecté les règles.  Avant de partir, Vitalis demande à Rémi de rentrer à l’auberge avec le reste de la troupe.

Rémi, en réfléchissant à l’auberge, se rendit compte que Vitalis a fait beaucoup de choses pour lui (il lui a appris à lire, à chanter, à compter…) et qu’il l’aimait et que lui aussi l’aimait.

Pendant deux jours, il s’inquiéta du sort que va recevoir son maître. Mais un jour, il reçoit une lettre de Vitalis lui disant qu’on le gardait en prison et qu’il passerait une audience samedi à 10h.

Le samedi, Rémi s’y rend à 9h et apprend que Vitalis est condamné à 2 mois de prison et 100 francs d’amende.

Chapitre 11 et 12 :

Rémi avait été renvoyé de l’auberge car il ne pourrait pas payer l’aubergiste pendant 2 mois. Il ne lui reste que 11 sous et il décide de partir loin de Toulouse.

Ils marchèrent pendant au moins 2h et décidèrent de s’arrêter dans une boulangerie pour acheter une livre et demi de pain avec ses 8 sous car ils avaient tous très faim.

La troupe continua son chemin et  s’arrêta dans un village, et Rémi joua de la harpe et Zerbino et Dolce valsèrent. Mais un garde champêtre vint leur ordonner de partir tout de suite. Ils passèrent la nuit dans un lit d’aiguilles de pin séchées et le lendemain Rémi dépensa ses 3 sous qu’il lui restait dans un morceau de pain.

Rémi décida d’étudier le village mais Zerbino, tenté par la faim, vola un morceau de viande et ils le perdirent. Ils firent une pause et comme ils trouvèrent  le temps long, Rémi décida de jouer de la harpe et Capi et Dolce valsèrent en attendant que Zerbino revienne. Zerbino revint et ils continuèrent leur spectacle.

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