Note de synthese Le Voyage
Compte rendu : Note de synthese Le Voyage. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Uokami • 2 Novembre 2022 • Compte rendu • 736 Mots (3 Pages) • 977 Vues
Rédaction note de synthèse :
Ce corpus porte autour du thème du voyage et est intitulé “Le voyage, une quête de
liberté". Il contient 4 documents qui chacun exprime un aspect différent du voyage, une
affiche du film Into the wild de Sean Penn ( 2007 ) qui explique comment un voyage peut
être sans but et impulsif . Sur la route de Jack Kerouac qui s’agit d’un roman
autobiographique et est donc un récit sur le voyage, Ma bohème d' Arthur Rimbaud ( 1870 )
un poème fantaisiste , plus précisément un sonnet 2x4 2x3 en vers réguliers qui parle d’un
voyage initiatique qui est en dehors des règles de la poésie traditionnelle, et enfin
“Vagabondages” d’Isabelle Eberhardt, dans Ecrits sur le sable , un récit sur le nomadisme,
l'errance et donc le vagabondage . Nous nous demandons alors, comment le voyage est-il
représenté dans ce corpus comme une quête identitaire et spirituelle ? Pour y répondre,
dans un premier temps , nous allons voir comment le voyage représente un besoin de
liberté, et fait l’objet d’une passerelle pour atteindre un but précis pour échapper à
l’esclavagisme de la société. Dans un second temps, nous verrons comment le voyage peut
refléter un besoin de s’en aller en définissant le vagabondage. Et enfin, nous verrons
comment le voyage peut être dangereux .
Comme l’explique Sean Penn, un voyage peut être impulsif, issu d’une décision
instantanée, et a pour but de fuir un milieu étouffant favorable au conformisme. Ce voyage
nous permet comme l’indique l'accroche de l’affiche ‘’d'oublier tout’’ et donc justifie cette
volonté d’initier ce voyage. Dans le poème d’Arthur Rimbaud, il illustre l’errance , donc partir
à l'aventure sans aucun réel but. Ce vagabondage heureux et insouciant lui donne
l’impression qu’il se fond dans la nature et donc voyage dans son imagination “Je m’en
allais, les poings dans mes poches crevées”. Isabelle Eberhardt évoque ce cote de liberté
de façon plus directe avec l’esclavage. Être un esclave c’est être conforme ( faire partie des
rouages de la société ) : Avoir un domicile, une famille, une propriété ou une fonction
publique, des moyens d’existence définis, ce qui nous prive donc de notre personne réelle.
Nous sommes privés du besoin de voir ou de savoir, de ressentir , nous sommes forcés de
devenir et rester des bêtes inconscientes au service de la société .
Par ailleurs,
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