Le merveilleux dans les lais de Marie de France

Synthèse :

 Grâce à ce document, nous pouvons donc mieux comprendre en quoi était il nécessaire qu’une telle pratique soit d’origine solonienne.

En revanche virgule dans l’Athènes du IVème siècle, Les structures de la société changent et ne sont plus  ce qu’elles étaient au temps de Solon.

Les riches faisaient partie d’un groupe relativement restreint, ce qui était astreint aux liturgies. Les membres de ce groupe sont notamment comme les Douze cents qui étaient les plus pauvres ainsi que les plus riches d’entre : les Trois cents.

 Mais cela nous ramène au problème concernant les pentacosiomédimmes  qui sont des riches athéniens rattachés aux liturgies.

 Les athéniens les plus riches sont ceux qui  paye une contribution de cinq mines  qui pourrait représenter la dîme établie par Pisistrate  Lorsqu’il s’est emparé du pouvoir et cet impôt  reste jusqu’au IVème, dans ses poèmes, Solon  se vante de sa résistance a ceux qui voyaient en lui un tyran.

 Nous pouvons nous questionner si le caractère sous lesquels étaient désignés les 4 classes du cens  ne correspondait pas à une réalité bien différente : la superposition possède des distinctions de faits qui sont liés aux fonctions militaires, ce qui aurait permis la distinction parmi les « chevaliers » de ceux qui étaient astreint à la dîme des cinq cents mesures.

En ce qui concerne la codification de cette répartition, nous pouvons être tentés de l’attribuer à Clisthène  Car il est à l’origine de la création d’une classification ou seulement le revenu ou la fortune rentrait en jeu.

Au IVème siècle, l’image de Clisthène pâlit. Isocrate Restaure le régime qui a été établi auparavant par Solon. Clisthène  Est responsable de la dégradation de la démocratie des ancêtres.

Solon a été l’auteur de la classification censitaire  car c’était un moyen de placer sous son autorité un fonctionnement qui excluait les magistratures  de tous ceux n’ayant pas le sens requis mais qui,  siégeant à l’assemblée ainsi que dans les tribunaux, conservaient la souveraineté.

 Dans l’organisation des tribunaux populaires, le classement censitaire trouver son contrepoids dans l’analyse aristotélicienne.

 C’est aux dires  de tous les écrivains politiques, l’institution par excellence de la démocratie, ainsi que celle qui était la plus critiquée.

 Cette justice populaire constituait notamment une arme catégorisée comme redoutable aux mains du démos.

Aristote nous fait part de l’organisation des tribunaux formant l’Héliée :

• N’importe quel citoyen  Ayant plus de 30 ans pouvez faire partie d’un tribunal populaire.
• Les juges étaient désignés à l’aide d’un tirage au sort

Nous connaissons l’importance que revêtaient les procès dans la vie politique athénienne.

 Nous pouvons nous demander si nous n’entrons pas en présence d’un nouvel aspect du mythe solonien car  l’œuvre de Solon ne se laisse pas plus facilement saisir que le reste.

 Dans la Constitution d’Athènes,  Aristote Evoque 2 dispositions essentielles de Solon :

• Le «  droit donné à chacun d’intervenir en faveur d’une personne lésée »
•  Le droit d’appel aux tribunaux

 Ces 2 dispositions essentielles sont connues de tous.

 Or, nous savons que le processus de rédaction d’un code de lois est, avec la seisachteia,

 La mesure dans laquelle l’attribution a Solon ne saurait pas être contestée puisqu’elle est revendiquée notamment dans ses poèmes.

...