Commentaire du texte de J.J Rousseau.

Commentaire du texte de J.J Rousseau.

Problématique : En quoi cet extrait d’un récit de voyage remet t’il en cause le comportement des colons européens ? (Question ouverte)a

J.J Rousseau écrivain et philosophe du 18ème siècle raconte dans cet extrais d’un voyage autour du monde ces impressions et dénonce la colonisation des européens en Amérique du Sud à travers Saint Preux, héros du roman épistolaire. Premièrement je vais présenter les témoignages du narrateur et l’ancrage géographique.Ensuite je présenterais la vision d’une double réalité qui révèle la colonisation. Et dernièrement j’annoncerai la condamnation des européens.

I- Témoignage d’une réalité.

JJ.Rousseau dans son voyage est omniprésent il utilise « je » pour pouvoir montrer sa sincérité dans le message du texte, « J’ai vu d’abord l’Amérique ». Il adopte aussi le témoignage oculaire grave à une anaphore, « J’ai vu les côtes du Brésil »,« J’ai vu de loin le séjour de ces prétendants géants ». On remarque que l’auteur s’implique vraiment il est sincère et il veut faire passer un message aux lecteurs pour dire que les Européens ne font pas que des bons actes, « Dont l’indépendance est plus assurée par une vide simple et fugace que par une haute stature ». On remarque aussi dans le texte que le narrateur utilise un vocabulaire de lexique topographique important et varié,mais aussi en se positionnant dans une réalité géographique.

II-La vision d’une double réalité qui révèle la colonisation.

JJ.Rousseau à une vison sans préjugé, « j’ai vu de loin le séjour de ces prétendus géants qui en sont grands qu’en courage […] », « j’ai trouvé dans la mer Pacifique les plus effroyables tempêtes ». Durant son voyage le narrateur découvre des images totalement inverses à ceux qu’il attendait.

Dans le cet extrait on peut remarquer qu’il y a un double portrait antithétique. les Indiens sont toujours évoqués en même temps que mes Européens, « J’ai vu d’abord l’Amérique méridionale, ce vaste continent que le manque de fer soumis aux Européens ».Dans chaque évocation il y a un rapport de force de la part des EU « Soumis aux européens,l’amour persécutées,empêchés ».

En conclusion les Amérindiens sont exploités par la violence, force et par les incendies ce qui provoque chez le lecteurs de la pitié.

III-La condamnation des Européens.

Le narrateur dénonce les Européens par leurs violences par leurs seul objectif le profit. Ce qui amène à avoir des pays riches vastes mais à avoir des habitants malheureux. J.J Rousseau idéalise les sociétés à l’état de nature généreuse, les habitants mènent une vie idéale qui se résume au « mythe du bon sauvage » de Rousseau.

En conclusion le texte du narrateur est une lettre polémique elle insiste les lecteurs à en parler et à savoir quelqu’il ce passe end dehors de l’Europe. ce texte est commun à celui de Montaigne.

Oui cet extrait remet en

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