Cartier et Lahontan

Argument principal 1

À première vue, il est notable que les Français soient jugés supérieurs aux Amérindiens, dans les deux extraits, par leurs actifs. En d’autres mots, les Français sont vus comme supérieurs, dû à leurs biens matériels.

Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2

D’abord, dans l’extrait de « Voyages en Nouvelle-France », Les Français réussissent à acquérir une partie du territoire des Amérindiens grâce à de la nourriture est des outils. Du côté du « Dialogue de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique », Les Français sont présents comme supérieur grâce à leur qualité de vie et toute leur richesse, donc grâce tous ces biens matériels leur appartenant.

Illustration 1.1 Illustration 1.2

Cette simple phrase nous fait comprendre que les Français ont obtenu ce qu’ils voulaient : « et leur apportèrent du poisson. Et nous firent signe qu’ils n’abattraient par ladite croix » (ligne 28). Tous les dons précédant ce poisson, comme des haches, de la nourriture, des articles de fer, des accoutrements civilisés, des hachettes et des couteaux, les ont amenés dans une position de supériorité. L’utilisation de cette comparaison : « il me semble que ton goût et ton discernement sont bien sauvages, de ne pas trouver l’état des Européens préférable à celui des Hurons. Y a-t-il une vie plus agréable que celle d’un nombre infini de gens riches à qui rien ne manque ? » fait nettement sentir la supériorité ressentie chez Lahontan.

Explication 1.1 Explication 1.2

Il est évident que les Français, par leurs supériorités, tentent d’acheter les Amérindiens grâce à leurs biens matériels. En leurs offrants des choses que les Amérindiens n’ont pas, les Français se place dans une position de pouvoir, ce qui les permet de manipuler à leurs guises les « sauvages » pour obtenir ce qu’ils souhaitent. La comparaison utilisée par Lahontan est si péjorative qu’elle vient directement mettre les Amérindiens en position d’infériorité aux yeux des lecteurs. Cette insistassions sur la richesse française laisse voir une vie de pauvreté chez les sauvages, donc inférieurs.

Argument principal 2

En regardant de plus près, il ressort de cela que Cartier et Lahontan présentent la mentalité des Français de façon différente.

Sous-argument 2.1 Sous-argument 2.2

Dans "Extrait de voyages en Nouvelle-France », Cartier et ses confrères français sont vus comme des bienfaiteurs, dus à l’aide qu'ils apportent aux Amérindiens.

Alors que, dans « Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique », Lahontan laisse une impression des Français très superficielle, d’une société ou le bonheur viens seulement grâce à la richesse et aux conforts.

Illustration 2.1 Illustration 2.2

« Et nous firent signe qu’ils n’abattraient par ladite croix, en nous faisant plusieurs harangues que nous ne comprenions pas. » Énumération : « N’as-tu pas vu nos princes, nos ducs, nos maréchaux de France, nos prélats et un million de gens d’autres états qui vivent comme des rois, à qui rien ne manque et qui ne se souviennent d’avoir vécu que quand il faut mourir ? »

Explication 2.1 Explication 2.2

Par cette réponse des Amérindiens, le lecteur comprend que ceux-ci ont apprécié leurs venues. Donc, bien que Cartier ait planté le drapeau sur une terre qui ne lui appartenait pas, ceux-ci ont agréé du a son aide précieuse. Cela nous laisse donc percevoir les Français sont des êtres bienfaiteurs. Cette

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