Amour de Cassandre, Ronsard

Amour de Cassandre

                Dans le sonnet n°41 Des amour de Cassandre, Ronsard présent l’intimité de Cassandre et la compare a venus. Des le vers il commence par nommer Cassandre avec la périphrase ‘‘ma Déesse’’. Il la désigne donc comme quelqu’un de supérieur et de parfaite et il la nomme comme si elle lui appartienne avec l’article possessifs ‘‘ma’’. Très vite il commence a parler de la déesse Venus en la nommant comme étant ‘‘l’écumière fille’’ c’est-à-dire la fille de l’écume, puis il continue en écrivant ‘‘la mer portée en sa coquille.’’. Tout cela ramené da la déesse Venus, déesse de l’amour et de la beauté, naissant dans un coquillage porté par la mer comme dans le tableau de La naissance de venus de Botticelli. Ronsard décrit aussi longuement la chevelure de cassandre en utilisant des adjectifs mélioratifs. Il nomme la chevelure comme étant ‘‘D’un riche or crêpe’’ qui la définit comme étant blonde et ondulé, puis, ‘‘Ombragent ces talons’’, des cheveux qui descente jusque à effleurer les talons. Il décrite aussi ces cheveux, avec une métaphore, comme étant des filets pour attraper les hommes autours d’elle ‘‘Et les filets de ces beau cheveux blonds,’’. Il explique ensuite qu’elle coiffe ces cheveux avec l’hyperbole : ‘‘Cent’’, ‘‘En cent façons ennonde et entortille’’. Dans le deuxième quatrain il reparle des cheveux mais ce ne sont plus ceux de cassandre, mais bien ceux de Venus. Les cheveux bruns de Venus sont tantôt peignés, tantôt frisé : ‘‘Or peignant les siens bruinement long, Or’ les frisant en mille repillons.’’. Nous remarquons alors qu’une hyperbole, ‘‘Mille’’, sur les cheveux est encore présente. Le poète essaye de crée un nouveau lien entre les deux femmes. Ronsard essaye donc durant tout le poème d’associer les deux femmes comme étant semblable en utilisant des figures de style et en comparant le physique.

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