Baudelaire, Les Fleurs du Mal : Comment à travers ses poèmes Baudelaire transforme t-il “l’horrible” en beauté ?

Bonjour voici mon introduction correspondant au sujet de dissertation suivant : Dans L’Art romantique (« Théophile Gautier », 1869), Baudelaire écrit : « C’est un des

privilèges prodigieux de l’Art que l’horrible, artistement exprimé, devienne beauté […] ». Ce

propos rend-il compte de votre lecture des Fleurs du Mal ?

Œuvre : Baudelaire, Les Fleurs du Mal

Parcours : alchimie poétique : la boue et l’or.

En 1857, Charles Baudelaire (1821-1882), auteur majeur du 19ème siècle, héritier du romantisme, précurseur du symbolisme, publie : Les Fleurs du Mal, un recueil de poèmes traitant différentes thématiques, dans lequel il transforme “l’horrible” en une beauté, en nous faisant part de son spleen et de son ideal. Il écrit dans l’art romantique (“Théophile Gautier”, 1869) : “C’est un des privileges prodigeux de l’Art que l’horrible, artistement exprimé, devienne beauté” Ont peut alors se demander si ce propos rend-il compte de la lecture des Fleurs du Mal ? Autrement dit, comment à travers ses poèmes Baudelaire transforme t-il “l’horrible” en beauté ?

Il conviendra d’analyser dans un permier temps le spleen chez Baudelaire puis dans un second temps la recherche d’idéal dans le spleen et enfin un art poétique incompris.

Dans ses poèmes, Baudelaire dévoile “l’horrible” de sa vie, de la société de l’époque, de l’homme. En effet, il le présente dès la preface des la preface des Fleurs du Mal ou encore dans les sections “Spleen et ideal” ; “Révolte” ; “La Mort”

Dans la preface, Baudelaire dévoile les vices de l’homme à travers des allegories , des métaphores. Celui-ci emploi des termes qui font appellent à nos sens, comme l’odorat avec “les ténèbres qui puent” ou encore la vue qui font naître chez le lecteur des images choquantes

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