Fiche Culture et communication

Séquence 1 - La communication : notions générales, modélisation et évolution des modèles

La communication : polysémie, acteurs, contexte.

Le mot communication détient plusieurs sens et plusieurs utilisations.

On trouve donc l’action de communiquer : dans les domaines administratifs (communiqué un dossier..)

L’action de communiquer avec quelqu’un ou quelque chose : que ce soit linguistiques, pathologique, sciences sociales, ou encore les moyens de communication (transports).

On peut constater que le mot communication est utilisé dans des secteurs très divers, d’où l’intérêt d’apporter de la précision dans sa communication.

Grâce a l’exemple de Shannon et Weaver (pour qui le but était d’atteindre l’isomorphie) , on constate qu’une marge d’erreurs est possible au niveau des communications. C’est ce qu’on appelle « le bruit ».

Le « bruit » est un élément qui vient perturber le message. Le bruit technique (parasites,coupures) altère la transmission. Le bruit sémantique (le sens des mots) déforme le sens.

Donc, pour atteindre l’isomorphie, on passe par 3 niveaux de problèmes :

-Les problèmes techniques.

-Les problèmes sémantiques.

-Les problèmes d’efficacité.

Pour analyser une situation de communication, il est nécessaire de cerner :

Les acteurs (émetteurs, récepteurs)

Le message (contenu)

Le canal (support et moyen)

Le contexte (physique, psychologique…)

2. La diversité des situations de communication.

La communication est le fait d’établir une relation avec une autre personne ou un autre groupe de personnes et de lui ou leur transmettre un message. Cela peut avoir différentes formes :

Verbale/non verbale

Ecrite/Orale

Directe/Médiatisée

Cela peut donc permettre de communiquer soit vers un seul récepteur, soit plusieurs récepteurs.

La communication écrite, qu’elle soit personnelle ou professionnelle demande un grand nombre de codes, d’usages a respecter afin que le message soit compris. La grammaire doit donc correspondre a l’usage correct, ainsi que la ponctuation et l’orthographe.

Le message orale lui, est accompagné de nombreuses informations qui le complément : le ton, l’expression du visage, la gestuelle, l’élocution, le regard (c’est ce qu’on appelle le métalangage).

Des études montre que la communication verbale n’est qu’à 7% perçu par un individu, alors que la communication non verbale (mouvements, expressions, façon de parler, regard…) passe par 55% ce que laisse a la voix 38%.

En France, le fait de regarder son interlocuteur droit dans les yeux est généralement interprété comme un signe de franchise. Ce qui peut être tout l’inverse dans d’autres pays, ce qui prouve que même au niveau verbale il existe des codes a respecter.

La communication de groupe est apparue et s’est réellement développé dans les années 1950 avec la société de consommation. La publicité est l’exemple type de ce genre de communication.

DIFFERENCES : Groupe : feed-back, interactions

Masse : Aucune rétroactivité (ou faible)

La communication de masse est l’ensemble des techniques qui permettent de transmettre à un public le plus vaste possible toutes sortes de massages. C’est la communication d’un vers plusieurs, le récepteur ne réagit pas au message transmis (pas de rétroaction ou feed-back).

(<— vision un peu dépasser car il existe maintenant des médias qui permettent de réagir)

Les caractéristiques de la communication de masse ont été

...