L’organisation vue comme instrument de domination

L’organisation vue comme instrument de domination :

Au cours des prochaines lignes, je vais tenter de démontrer que l’organisation choisie, Cuisi-n-art, peut aussi être vue comme un instrument de domination.

Dans un premier lieu, selon Morgan, différentes pratiques organisationnelles démontrent une sorte de domination au sein d’une organisation. Par exemple, chez Cuisi-n-art, il y a différents postes qui demandent différentes qualification. Cela à pour effet de mettre en valeur les différences sociales entre les employés. De plus, le système de rémunération n’est pas identiques pour tous les employés. Exemple, les désigners ont la possibilité d’avoir une commission selon leur rendement, alors que les monteurs et les ouvriers sont payés à l’heure. Cela contribue à reproduire un processus de staification sociale.

Dans un second lieu, pour voir une organisation comme un instrument de domination, on doit se pencher sur les bourreaux de travail : les ergomanes. Ces personnes, qui subissent un stress continue souvent par leur amour du travail sont très intéressants pour les dirigeants. On peut en voir chez Cuisi-n-art et je crois que j’en faisait partie d’une certaine façon. Je n’aimais pas prendre congé et je voulais démontrer à mon patron à quel point j’étais dévouée pour mon travail. Cela à porter fruit, car il a toujours eu une très grande estime de moi-même et j’ai de très bonne référence de sa part. Du point extérieur, on peut voir ça comme une sorte de domination. Le dirigeant bénéficie grandement de ce type de personne, car il peut lui demander de faire des heures supplémentaires et la réponse sera plus souvent oui. Le côté négatif à cela, c’est que les directeurs d’entreprises ne voient pas que cela affecte la santé mentale de l’employé en question et en rajoute au stress quotidien. Au sein de Cuisi-n-art, cela est présent, donc, on voit encore une sorte de domination.

Dans un même ordre d’idée, certains dirigeants vont privilégier l’efficience de leur organisation au détriement de la santé et sécurité de leur employés. Est-ce le cas chez Cuisi-n-art? Je peux affirmer que cela est arrivé et se produit encore. Étant une entreprise de construction celle-ci est soumise aux normes strictes de la Commission de la Contrustion du Québec (CCQ) et de la Commission de la santé et de la sécurité au travail (CSST). Par contre, l’organisation choisi a souvent contourné certaines règles et lois pour ne pas prendre de retard sur un projet. Être au pouvoir d’une entreprise nous donne parfois le sentiment de vouloir plus tout de suite. Cela est très normal, mais je ne crois pas que la santé des employés devraient en dépendre.

De plus, pour voir une organisation comme un instrument de domination, on peut aussi essayer de voir s’il y a de la résistance entre employé et patron, s’il y a un syndicat. On voit souvent ce type de domination dans les multinationales ou les grosses entreprises. Mais au sein de Cuisi-n-art ce n’est pas le cas.

Avec tout ce qu’il y a d’énuméré plus haut, on peut dire que Cuisi-n-art peut être vue comme un système de domination. Je crois qu’il serait possible de modifier quelques façon de faire mais je crois que l’entreprise ne le fera jamais. Le dirigeant veut quand même que son entreprise prospère même si ses employés doivent subir certaines conséquences.

L’organisation vue comme flux et transformation :

Je tenterais de démontrer ici, que Cuisi-n-art peut être vue comme flux et transformation.

Pour comprendre cette métaphore, on doit déterminer si l’entreprise change continuellement ou si elle est stable. Dans le cas de Cuisi-nart, elle est en continuelle changement. Pour suivre le marché dans lequel elle se trouve, l’organisation doit constamment s’adapter et faire des changements. Par contre, selon les temps de l’année, l’entreprise reste plus stable. Par exemple, dans la période estivale, où il y a beaucoup de rénovations, de construction et d’achat de maison, l’entreprise doit trouver le moyen d’attirer la clientèle chez elle et de faire tous les changements nécessaire. En période hivernale, où c’est beaucoup plus tranquille, l’entreprise est plutôt stable et évite les changements coûteux.

Cela nous mène aussi à essayer de voir si Cuisi-n-art sait faire fasses aux imprévues. On parle ici de la théorie de chaos et de la complexité. Cette logique explique qu’il faut se servir de petits changements pour créer de grands effets, être à l’affût de tout. Au sein de l’organisation choisi je peux donner comme exemple la fois où le dirigeants à simplement changer son logo et sa publicité à petits coups. Cela à eux pour effets d’attirer énormément de clientèle et relancer l’entreprise. De plus, comme mentionné plus haut, l’organisation doit souvent faire face à des périodes très tranquille puisqu’elle suit le marché immobilier. À chacune de ces périodes, l’entreprise à su se sortir de la mauvaise passe et de rester en compétition avec les autres compagnies de ce marché.

Une autre théorie aide à comprendre le flux et la transformation dans une organisation : La causalité mutuelle. C’est-à-dire que chaque choses sont liés entre eux plutôt qu’être isolés. Pour mieux comprendre, Morgan nous donne l’image d’une boucle. Que la stabilité est toujours au milieu du flux lorsque les changements surviennent autour. Pour appliquer cette logique à Cuisi-n-art je dois déterminer ce qui est constamment stable, qui est en fait le centre de la boucle. Pour moi, cela serait la mission et la vision de l’entreprise. C’est des choses qui n’ont jamais changé depuis sa création. Tout peut changer autour de cela mais pas son identité première qui est d’offrir la qualité qu’on ne trouve pas ailleurs au meilleur prix. Pour eux, la vision et l’opinion de sa clientèle sont très importants.

La quatrième théorie de cette métaphore,

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