BTS BLANC CULTURE GENERALE BTS CG LA vitesse

Betsalel Cohen        Le 16/06/20

BTS blanc français

La vitesse est la qualité d’un objet qui se déplace vite c’est à dire qu’il parcourt en peu de temps un grand espace par extension le thermes vitesse s’applique à l’allure qui conviens pour accomplir beaucoup de choses en un minimum de temps.

Le thème nous invite donc à penser le rapport qu’entretiennent les êtres humains avec leur temps de vie.

Le corpus de textes que nous allons étudier aujourd’hui est composé de 4 textes, le premier est « Le culte de l’urgence » écrit par Nicole Aubert.

Le deuxième texte est un extrait du livre de Hartmut Rosa qui se nomme « Aliénation et accélération ».

L’avant dernier extrait soumis à notre étude est un texte de Jean-Yves Archer : « Travail : Les excès de la quête frénétique de vitesse ».

Enfin, le dernier texte que nous allons approfondir aujourd’hui, est le texte de Nicolas Tellop : « Les Courses-poursuites au cinéma »

Afin d’étudier au mieux ce corpus de textes, nous allons nous demander de quelle manière la vitesse peut-elle avoir des limites ?

Pour répondre au mieux à cette question dans une première partie nous allons nous intéresser à l’accélérations et à la montée en puissance du monde moderne afin de comprendre dans une deuxième partie quelles peuvent êtres les limite de cette vitesse.

« Le progrès. Qu’il soit scientifique, technologique, industriel ou social, il s’agit d’un idéal a la poursuite duquel nous sommes tous lancés », écrit Nicolas Tellop dans son texte « les courses poursuites au cinéma. Cela nous indique que le progrès et la vitesse ont commencé à une époque. C’est à cette époque pendant la révolution industrielle que tout démarre, que le monde commence à s’accélérer et que les humains commencent à faire le culte de l’urgence petit a petit. « Des nouvelles modalités de rapport au temps deviennent dominantes : l’urgence. » Nicolas Aubert dans le culte de l’urgence nous explique ce qu’est l’urgence. En effet plus les moyens techniques ont évolué plus les êtres vivants ont voulu faire les choses vite pour gagner du temps mais ce temps ne va leur servir encore qu’à aller de plus en plus vite. C’est ce que Nicole Aubert appelle la « compression du temps ». Les humains ont créé des moyens de tout faire ou tout avoir dans l’instant ou on le souhaite. Comme les moyens de communications. On peut juste faire une petite comparaison entre les temps d’avant la révolution industrielle et l’invention du téléphone, il fallait prendre son cheval si on en avait un ou marcher pour aller parler ou transmettre un message a une personne. Tandis que maintenant on peut tout faire en quelque secondes. Hartmut Rosa s’est posé la question pour savoir pourquoi plus les avancées technologiques sont grandes et plus la société et l’homme vont aussi vite. Il explique que en réalité les progrès technologiques sont interconnectés avec les pratique sociales. Il prend l’exemple tout simple du train, sans transport on peut voyager c’est sûr mais les sociétés se sont adaptées à ces changements. La création de routes, de chemin de fer etc… Ce sera à peine possible d’effectuer son trajet à pied sans être bloqué par une de ces structures humaines.

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