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Aristote, les politiques

Fiche de lecture : Aristote, les politiques. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  27 Avril 2017  •  Fiche de lecture  •  545 Mots (3 Pages)  •  1 472 Vues

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Aristote, Les politiques

« Pour quelles raisons l'homme at-il besoin de la politique ? »

L'homme est un animal politique. Bien différent des abeilles. On pourrait en effet les assimiler à un animal politique. En effet, elles assurent différentes fonctions, mais ces fonctions ne leur sont pas indiquées, elles les choisissent pas librement non plus, elles sont biologiquement déterminées. Elles naissent avec un caractéristique précise qui ne lui permettent pas de faire autre chose, la taille (grosse pour la reine, petite pour une butineuse). Pour être un animal politique, il ne suffit pas de vivre en groupe, et même pas d'organisation sociale. L'homme a un langage et doit donc en faire quelque chose particulier. Les animaux peuvent aussi exprimer le douloureux de l'agréable. (Le chat va ronronner par le ronronnement). Les animaux peuvent donc communiquer pour avertir les autres. Il l'exprime pour que leurs semblables cessent de leur faire du mal ou continuent à leur faire plaisir. Comme nous sommes des animaux, nous avons aussi cet usage de la voix. Les animaux peuvent donc souffrir et ressentir le plaisir et de se les signifier mutuellement. Ils communiquent donc et échangent ces informations.

Bien : ce qu'il faut faire indépendamment que ce que prescrivent les lois.

Mal : ce qu'il ne faut pas faire indépendamment que ce que prescrivent les lois.

Aristote dans ce texte dit que les animaux éprouvent le douloureux et l’agréable et qu’ils peuvent le signifier car ils peuvent exprimer certains sons. Chez les abeilles, les rôles sont déterminés biologiquement contrairement aux hommes (ce n’est pas par ce que tu es noir que tu es obligé de faire un travail d’esclave). Chez les hommes il n’y a pas de déterminations, il n’y a pas de contraintes biologiques. Cette détermination a tout de même existée longtemps par rapport aux hommes et aux femmes sous le prétexte qu’ils n’ont pas la qualité biologique pour certains travaux. Les hommes ne pouvaient donc pas par exemple être nourrice. Certains métiers qui ont des exigences physiques particulières font que certaines personnes ne pouvaient pas exercer ces métiers. Il n’y a pas chez les hommes de détermination biologique complète. Les hommes et les animaux ont en commun le douloureux et l’agréable, avantageux et nuisible. Pour différencier les animaux et les hommes, il y a l’apparition du langage. Le langage chez les hommes fait apparaître une certaine forme d’intelligence, ainsi que la notion du bien, du mal, du juste, de l’injuste. C’est sur la détermination de ces valeurs que ce fondent la cité. La famille est un ensemble biologique quand la cité est un ensemble politique ou social. Ce qui caractérise la famille et la cité c’est que l’individu partage les valeurs de la famille et de la cité. S’il n’est pas d’accord avec les valeurs de sa cité, il doit la quitter. Toutes les cités reconnaissent le juste et l’injuste mais ça ne veut pas dire qu’elles ont la même notion de ces deux concepts. La conception des valeurs est produite par l’Etat. La reconnaissance ou l’inscription des valeurs est un choix politique. Qu’est ce qui est bien ? mal ? juste ? injuste ? Le langage donne naissance

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