LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Stratégie de communication cas

Thèse : Stratégie de communication cas. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  6 Avril 2016  •  Thèse  •  1 055 Mots (5 Pages)  •  714 Vues

Page 1 sur 5

Stratégie de communication

Introduction :

Premièrement je suis l’entrepreneuse, je suis donc en position d’être la patronne et celle qui prend les décisions.
Dans ce cas d’entreprise, je compte expliquer la manière dont je vais promouvoir mon produit: je vais d’abord présenter mon produit, déterminer une cible, trouver une stratégie pour toucher ma cible à l’aide des vecteurs de communication et pour finir j’exposerai mon axe de communication (slogan) qui renforcera l’objectif de ma stratégie pour toucher la cible : exploiter de besoin d’appartenance et de singularité du consommateur.

I- Mon produit : 

Du collège au lycée,  l'École GSCR (groupe scolaire canadien de Rabat) fondée en 2015 est un établissement canadien privé haut de gamme avec internat qui  accueille aujourd'hui dans ses locaux 1000 élèves dont plus de 600 internes.

Les élèves bénéficient d'un enseignement de qualité et d'un encadrement vigilant grâce à une équipe éducative soudée et dynamique qui cherche à développer chez chacun ses talents et sa personnalité. Sport, informatique, atelier artistique, langues (anglais, espagnol, italien, allemand, russe, chinois ou latin), apportent habilité et équilibre.

Structure des études : 
Semblable au système américain, le système canadien se singularise par sa verticalité (« Kindergarden » avant 6 ans, puis « Elementary school », jusqu’à 11 ans, puis « Junior High school » de 12 à 14 ans, et enfin « High school » jusqu’à 18 ans).
Le diplôme :
La « graduation»  diplôme qui clôt les études secondaires, s’obtient au terme d’un contrôle continu effectué sur les quatre années de High school. Les élèves du système canadiens doivent donc gérer astucieusement leur parcours pendant leurs quatre dernières années de scolarité. Ils sont aidés en cela par un « counselor ».  Dans le système canadien, les élèves ont autre chose en tête que le bac, les notes et les coefficients à l’inverse du système français ou marocain où l’importance des notes et des coefficients est colossale.
Rythme scolaire :
L’année canadienne est divisée en deux semestres (août-septembre à février / février à mai-juin).
Les matières étudiées (choisies par les élèves) et les emplois du temps changent d’un semestre à l’autre. Les élèves reçoivent 2 bulletins par semestre (soit 4 par année).
Les cours ont lieu du lundi au vendredi. Ils commencent généralement à 9 heures avec 3 heures de cours le matin et 3 heures l’après-midi. Il y a très peu de devoirs à faire à la maison, puisque tout est fait en classe, y compris les révisions pour les contrôles. L’emploi du temps, conclut une autre participante, est plus harmonieux que dans le système français : le soir vous n’êtes pas sur les rotules, il vous reste du temps et de l’énergie pour faire autre chose : sortir, jouer, travailler une activité personnelle.

Matières

Profusions de matières et choix multiples sont les deux traits principaux des écoles canadiennes. Cet état de fait singularise nettement la scolarité nord-américaine de la scolarité française. En général deux à trois matières sont obligatoires (« English » & « History ») et les autres sont optionnelles. Certaines écoles proposent des domaines obligatoires (« Sciences », « Language », « social sciences »), domaines à l’intérieur desquels l’étudiant choisit ses matières. C’est très flexible, d’autant que la palette de cours est large (matières classiques et matières plus innovantes : Internet, Cinéma, Anthropologie…  , ou plus surprenantes : Lois sur la consommation, Comportement humain, Travail du bois, Différences USA/Canada, Transport automobile… Impossible d’énumérer toutes les matières
!
Relations et attitudes

...

Télécharger au format  txt (6.8 Kb)   pdf (108.2 Kb)   docx (10.5 Kb)  
Voir 4 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com