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Le rapport de brodeck

Commentaire de texte : Le rapport de brodeck. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Mars 2021  •  Commentaire de texte  •  1 086 Mots (5 Pages)  •  538 Vues

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Philippe Claudel est un écrivain, mais aussi un réalisateur. Il a vécu au XXe/ XXIe siècle, et il est donc né le 2 février 1962, en France. Plus précisément en lorraine, dans une petite ville se nommant Dombasle-sur-meurthe, en Meurthe et Moselle. Le Rapport de Brodeck, fût publié en 2007. Cette œuvre littéraire met en scène un personnage s’appelant, Brodeck. Ce dernier revient dans son village natal après avoir été déporté dans un camp de concentration. A son retour, il est dans l’obligation d’écrire un rapport sur la mort d’un étranger, qui s’séjournait dans le village en question. Dans cet extrait, le sujet évoqué par l’auteur est un souvenir des camps de concentration raconté par Brodeck. Dans cette extrait le narrateur se focalise sur le moment de l’exécution et apporte détails sur le comportement de la femme du directeur durant cette pendaison, se déroulant quotidiennement. Nous allons voir comment l’auteur montre l’opposition social ou d’atmosphère dans cet extrait. Dans un premier temps nous analyserons l’opposition des catégories sociale dans les camps de concentration. Puis dans un second temps nous étudierons l’opposition des deux atmosphères présente dans l’œuvre.

Nous allons nous intéresser au personnage de la Zeilenesseniss n’étant ni plus ni moins que la femme du directeur du camp. Ce personnage va être perçu à la fois attentionné mais aussi tyrannique, avec une inhumanité inégalable à travers le terme « était d’une inhumaine beauté » (l.9). Avec Cette oxymore opposant « inhumaine et beauté », le narrateur montre que cette femme est dotée d’un charme exceptionnel, cependant cette beauté extérieur est complété d’une âme l’aide à l’intérieur. L’auteur utilise les expression « fraiche », « le savon ». Suite à cette énumération, l’auteur met en avant ces qualité en avant pour ensuite balayer toute ces caractéristique mélioratif en introduisant le termes « son parfum de glycine, et je ne peux plus […] sentir cette odeur de glycine sans vomir et pleurer » (l.13-14). L’auteur mais en avant pour le première fois le narrateur exprimant son opinion à la première personne du singulier. Cette mise en lumière des sentiments de Brodeck, montre l’état psychologique de ce dernier, qui va se montrer comme un traumatisme, qui lui cause des action post-traumatique tels que « vomir » et « pleurer ». La monstruosité de la femme du directeur s’affirme d’autant plus dans l’emplois de l’expression ne « manquait jamais la pendaison du matin ». L’auteur fait la description de se rituelle matinale comme si cette femme allait chercher une baguette, poussant le lecteur à se remettre en question et se dire : « qui est ce qui n’est finalement pas normal entre moi et elle ? », afin d’une fois de plus montré cette supériorité psychique que réussit à obtenir cette dame. Cette va savoir aussi être d’un majestueuse tendresse, comme l’indique l’emploi de « avec des gestes très tendres ». Puis sur un élan d’amour elle va finalement réveiller son nourrisson pour qu’il ouvre « les yeux » (l.26). L’auteur laissait cette femme se faire racheter au près du lecteur avec tant d’amour pour finalement se mettre en scène entrain de montré l’horreur d’un génocide à un nourrisson. Le lecteur ressent ainsi de la haine, puisque la transition d’amour vers horreur, bouleverse les sentiments

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