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Le personnage du roman

Compte rendu : Le personnage du roman. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Janvier 2020  •  Compte rendu  •  2 826 Mots (12 Pages)  •  468 Vues

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1er objet d’étude :  Le personnage de roman

1)Groupement de textes : - Tristan et Iseult

                                                 -Carmen

                                                 -L’Amant

2)Œuvre intégrale : Le rouge et le noir : -Extrait 1

                                                                         -Extrait 2

                                                                         -Extrait 3

Napoléon ou rien (tableau) :

Napoléon est au centre il a le regard tourné vers le spectateur avec des couleurs vive (rouge, bleu, blanc…) Le personnage est en contre plongée qui donne un effet de supériorité avec le bras pointant vers l’avant et le cheval qui monte, il le tient d’une main ferme. Comparaison avec Hannibal (héros de l’Antiquité)

Quelque citation de contemporains :

« Quelle belle tête il a ! », il y a une valorisation de la tête de Napoléon « C’est pur, c’est grand, c’est beau comme l’antique ! », phrase exclamative qui le valorise avec les mots « pur » et « beau » et comparaison a l’antiquité. « C’est un homme auquel on aurait élevé des autels dans l’antiquité …Bonaparte est mon héros. »

Alfred de Musset – Confession d’un enfant du siècle – 1836

-Comment voit-on que les jeunes romantiques – a l’image d’Alfred de Musset – se replient-ils sur eux ? A quoi cela est-il dû ?

Alfred de Musset le démontre en « ce soldat a qui l’on demanda jadis : « à quoi crois-tu ? » et qui le premier répondit « à moi » ; ainsi la jeunesse de France, entendant cette question, répondit la première : « A rien. » = Il montre que les jeunes de la France ne croient plus en rien, il décrit qu’il se forma alors deux camps : les esprit exaltés, souffrant « ils s’enveloppèrent de rêves maladifs » ils se referment sur eux-mêmes en se morfondant sur eux même. Ils sont perdus dans une tristesse, mélancolique exprimé par des peintres, des poètes (Delacroix, Victor Hugo…)

D’une autre part les hommes de chair restèrent debout, inflexible, « et il ne leurs prit d’autres soucis que de compter l’argent qu’ils avaient » Qui essaye de lutter pour une liberté politique, morale, artistique 

Cela est dû au fait qu’ils n’ont plus d’espoirs ni attente « l’astre de l’avenir se lève à peine, il ne peut sortir de l’horizon », « il n’y a plus d’amour, il n’y a plus de gloire. » 1793 : mort du roi = la Terreur il ne croit plus en une France forte et sur la société qui est corrompu il ne propose aucune voit/ échappatoire

Comment peut-on définir le « Mal du siècle » ?

Une jeunesse qui ne rêve plus, qui a perdu c’est illusion qui ne croit plus en l’avenir, mais de l’autre coté une jeunesse qui essaye de lutter quand même,

Stendhal-Le rouge et le Noir :

personnage romantique/réaliste qui essaye de lutter contre la société.

Extrait 4 :  La rencontre de Julien Sorel et Mme de Rênal

Situer l’extrait dans l’œuvre :

Chapitre 6 : Julien Sorel rencontre Mme de Rénal devant là l’entrée de la maison du maire

Analyse / Découpage de l’extrait :

2 parties :

  1. L’attente douce-amère de Mme de Rênal « Avec la vivacité […] mon enfant ? » = Moment où le temps est suspendu pour Mme de Rênal / Attente de Mme de Rênal (du précepteur) et arrivé de Julien
  2. Le choc de la rencontre « Julien se tourna vivement […] ses enfants » = Surprise /Trouble amoureux mutuel / Les perso. Séduits l’un par l’autre « coup de foudre »

Mme de Rênal : elle est belle jeune, admirable, le lieu ou elle se trouve est romantique (jardin = écrin).  

Etude linéaire :

Phrases du textes

Procédé

Interprétation

Avec la vivacité et la grâce […] qui venait de pleurer.

Accumulation proposition subordonné relatives « la porte fenêtre qui donnais sur le jardin », « qui venait de pleurer »

Phrases très longues.

Notion d’attente ralenti la présentation de ce personnage, pour mettre en évidence l’importance de ce personnage

Il était en chemise bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine violette.

Le teint de ce petit paysan […] grâce à M. le maire

Elle eut pitié de cette pauvre créature […] jusqu’à la sonnette.

Pathétique

Mme de Rênal s’approcha […] l’arrivé du précepteur.

Julien, tourné vers la porte […] tout près de son oreille :

Que voulez-vous ici mon enfant ?

« mon enfant » = jeunesse Maternelle, pose des questions sur leurs relation

Premier dialogue, (phrase d’entré) entre Mme de Rênal et Julien Sorel

Julien se tourna vivement […], il oublia une partie de sa timidité.

Bientôt, étonné de sa beauté, il oublia tout même ce qu’il venait faire.

Mme de Rênal avait répété sa question

Je viens pour être précepteur, Madame, lui dit-il enfin, tout honteux de ses larmes qu’il essuyait de son mieux  

Mme de Rênal resta interdite, ils étaient fort près l’un de l’autre à se regarder.

Julien n’avait jamais vu […] lui parler d’un air doux.

Mme de Rênal […] de ce jeunes paysan.

Bientôt elle se mit à rire […] figurer tout son bonheur.

Quoi, c’était là ce précepteur […] gronder et fouetter ses enfants.

Partie 1 :

Changement d’atmosphère appuyer par l’adverbe de rapidité vivement, un adverbe utilisé pour décrire la manière de se retourner de Julien et sa marque le changement d’atmosphère de la scène. Utilisation du passé simple (action rapide/précipite : il tressaillit) + adverbe (vivement) Cette notion d’accélération est du a l’occurrence (deux fois même mots) du mot bientôt (adv. Temps) qui sont mis en parallèles l’une par rapport à l’autre « bientôt il y a tout » / « bientôt elle se mit à rire » ils sont liés par leurs réaction (utilisation de deux occurrences une par Julien qui oublie tout et de Mme de Rênal qui se mit à rires. Mises en évidence du trouble des deux personnages l’un par l’autre, se trouble est également traduit par le champ lexical de l’émotion : participe passé : « frappé » « oublia tout » Julien, « se mit à rires » « bonheur » pour Mme de Rênal ; ce champ lexical sert à mettre en évidence leurs réaction. Julien Sorel est troublé est marqué par l’utilisation du parallélisme (frappés / Etonné) dans la structure du textes « frappés, étonné de ca beauté il oublia tout » et gradation assonances (il oublie d’abord sa timidité / puis il oublie tout), il est subjugué par le visage de Mme de Rênal, qui lui fait perdre ses esprits. Utilisation du plus-que-parfait lignes 14-15.

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