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Commentaire, voyage au bout de la nuit, Céline

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Par   •  15 Février 2018  •  Commentaire de texte  •  754 Mots (4 Pages)  •  1 592 Vues

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Le roman Voyage au bout de la nuit peut être considéré comme l’un des grand roman français. Ce roman a été écrit en 1932 par Louis Ferdinand Céline. Dans cette histoire, le narrateur Bardamu traverse beaucoup d’épreuve comme par exemple la Première Guerre Mondiale. Dans l’extrait proposé à notre analyse, le narrateur revient s'installer en banlieue parisienne comme médecin. C’est ici qu’il s’occupe de Bébert, enfant gravement malade et condamné. Nous nous demanderons comment Bardamu fait face à la condamnation de Bébert. Nous observerons l'atmosphère pesante qui est présente, nous parlerons ensuite de comment Bardamu réagis face à cette situation.

Pour commencer, l’atmosphère pesante est visible dès la première ligne. Les deux phrases liminaires donnent le ton de l’ambiance présente, “l’eau était devenue toute lourde. J’avais plus du tout envie avancer.”. Ces deux phrases traduisent le fait que la narrateur est déjà, dès le début de l’extrait dans une situation difficile, cette idée est accentuée par l’antithèse “eau” et “lourde” car normalement l’eau fait partie de ce qu’il y a de plus légé, mais ici, elle empêche le narrateur d’avancer. Ces deux phrases traduisent donc l’atmosphère qui va être présente tout au long de ce passage.

Ensuite, nous pouvons voir qu’il y a une sorte de mise en abime, avec la lettre de montaigne, qui dans le texte ici a perdu son fils mais en réalité qui a perdu sa première fille, et Bébert qui est donc condamné. On le remarque avec les phrase “l’occasion d’un fils à eux qui venait de mourir” et “je n’avais pas de veine avec lui Bébert, mort ou vif”. Le narrateur dit très clairement que la lettre lui fait faire un rapprochement avec ce qui arrive à Bébert, avec la phrase “à cause des rapports que je faisais tout de suite avec Bébert”.

Dans cette première partie, nous venons de voir comment l'ambiance dans laquelle était le narrateur avait été décrite par l’auteur. Dans notre seconde partie, nous verrons comment le narrateur fait face à la situation.

Tout d’abord, comme dit précédemment, l'atmosphère général, donc là où vit le narrateur, est très pesante, ce qui montre, dès le premier regard, que Bardamu a une vision assez pessimiste de la situation. Malgré cette atmosphère lourde, le narrateur reste flou sur sa pensée au début de l’extrait. Il est très intéressé par la lettre de Montaigne, «Ça m’intéresse immédiatement », qui lui essaie de consoler sa femme.

Ensuite, dans la lettre incluse à l’extrait, Montaigne dit « ça s’arrangera !... Tout s’arrange dans la vie... » les point de suspension très présent dans la lettre et le polyptote avec le verbe s’arranger nous montre que, même si Montaigne essaie de rassurer sa compagne, qu’il semble être optimistes, au fond de lui, il reste assez pessimiste et dit ces paroles pour soulager sa femme et non parce qu’il les pensées. Néanmoins, Montaigne essaie d’être plus optimiste à la fin de la lettre en disant « je suis certain qu’elle va vous remettre d’aplomb ! », cette phrase indique donc que même si il pense que la chagrin de sa compagne sera toujours présent, son soutiens l’aidera à avancer et à faire face à la situation.

En revanche, Bardamu as

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