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Analyse linéaire "des mouches" de Jean paul Sartre

Commentaire de texte : Analyse linéaire "des mouches" de Jean paul Sartre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Décembre 2019  •  Commentaire de texte  •  732 Mots (3 Pages)  •  1 464 Vues

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Analyse linéaire Antigone, Jean Anouilh, 1944

L1 : le dialogue commence par la didascalie et la réplique du Roi Créon, frère de Jocaste qui semble être agressif ce qui est mis en valeur par « agressif » (didascalie) er une ponctuation forte qui structure la pièce et par l’impératif « tais – toi ». On observe aussi que Créon utilise le tutoiement, ce qui montre la modernité de cette pièce (1944).

L2 à 4 : Antigone prend la parole comme une jeune femme capricieuse et insolente du à son jeune age, ce qui est mis en relief par les trois questions rhétoriques. Cette ponctuation forte montre que Antigone s’adresse à son oncle comme si ils étaient du même rang ce qui démontre également leur lien de proximité. « tu sais que j’ai raison » nous montre que Antigone pousse Créon dans ses retranchements. On retrouve également la personnification ou l’allégorie du bonheur quotidien pour s’occuper dans « protégé comme un os » qui renvoie au « chien » à la ligne 7.

L5 : injure de Créon qui montre son agacement envers sa nièce qu’il traite « d’imbécile » qui démontre sa supériorité qui est accentué par une ponctuation forte, précédé par une justification de ses actes « le tien et le mien ». cette insulte est inattendue pour un Roi.

L7 : hyperbole met les propos d’Antigone en contradiction avec un bonheur conforme qu’on essaye de lui appliquer. On retrouve aussi une opposition entre les deux personnages du au jeune age d’Antigone qui incarne la passion et l’exaltation.

L10/11 : les sept occurrences du pronom « moi » et « je » renvoie à l’égocentrisme d’Antigone qui est amplifié par « pas être modeste » et « contenter des petits morceaux ». L’égocentrisme est le principal défaut pour une famille royale (à l’époque)…

L12 : Antigone se rebelle de sa condition de femme qui est mis en lumière par « si j’étais bien sage ».

L13 : nous pouvons observer le lexique de l’exagération comme avec « petite et mourir » ce qui illustre aussi la mort prémonitoire du personnage (=fin tragique pour Antigone).

L14 : la répétition de « commence » nous montre que Créon ne trouve plus ses mots pour essayer de convaincre Antigone qu’il ne faut plut qu’elle ai enterrer son frere polynice (contre l’avis de Créon). Ainsi Créon est énervé ce qui est amplifier pour le point d’exclamation à la fin de sa réplique, qui structure sa parole qui est amplifie par la provocation « comme ton père ».

L15 : la reprise anaphorique avec le Oui d’Antigone suivit du point d’exclamation nous montre que Antigone assume ce qu’elle fait et qu’elle veut respecter la mémoire de son frère défunt. Le pronom personnel « nous » illustre que Antigone s’associe avec son père mis en lumière à la ligne 15. Elle pense comme son père agit… Elle refuse aussi le bonheur proposé par Créon et désarme les arguments de son oncle.

L17 : Créon fait preuve d’autorité avec du présent tourné à l’impératif « tais – toi »et avec « tu es laide ». Il l’a renvoie à sa condition de femme qui doit rester présentable, mais modérée.

L18 : on retrouve une reprise anaphorique avec « oui je suis laide » amplifier par l’adjecif ignoble qui décrit la scène avec l’énumération de « cris et sursauts,

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