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Psy1210 - Psychologie de l'adolescence - TN2

Dissertation : Psy1210 - Psychologie de l'adolescence - TN2. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Septembre 2018  •  Dissertation  •  1 720 Mots (7 Pages)  •  1 159 Vues

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Caroline Gravel
Psychologie de l’adolescence
Psy 1210

Deuxième travail noté

Travail présenté à
Mme Sophie Callies

TÉLUQ
Université du Québec


Tête de Tuque

Compte rendu 

Tête de Tuque est un film de monsieur Pierre Mignault, journaliste et sa collègue madame Hélène Magny. Le film a été produit par Mme Nathalie Barton. Ce film est tourné en collaboration de trois jeunes étudiants de l’école secondaire Joseph-Francois-Perreault du quartier St-Michel, à Montréal. Ces trois jeunes et leur famille font partie de la classe moyenne. 

Tout d’abord, il y a Sabrine, d’origine tunisienne. Ensuite, nous avons Darlyne qui est d’origine Haïtienne et Chison qui est d’origine asiatique. Ce sont trois enfants sont nés au Québec et ils proviennent de parents immigrants. Dans ce film, nous voyons les trois jeunes dans leur vie au quotidien autant à la maison avec leur famille qu’à l’école sur une période d’un an.

Les jeunes expriment qu’ils sont à la recherche de leur identité et vivent tout de sorte d’obstacle pour y parvenir. Ils doivent s’affirmer sur leur peur, sur leur estime de soi et comment ils se perçoivent aussi dans cette situation. Ils sont élevés par des parents immigrants qui possèdent une valeur qu’ils désirent transmettre à leurs enfants. Les parents ont peur que les enfants oublient leur valeur provenant de leur origine. Cependant, l’enfant est entre les deux, dans le sens qu’il est né au Québec et qu’il est habitué aussi à la valeur du Québec. Ils se perçoivent autant Québécois qu’ haïtien, tunisienne ou asiatique. Ils nous expriment leurs amours face au Québec et ils nous parlent aussi de leurs pays.

Ces trois jeunes vont dans une école secondaire où ils sont éduqués en français selon les références culturelles du Québec. Ils se font toujours percevoir comme des personnes différentes dues à leur nationalité. Pourtant, ils demandent qu’à être accepté et reconnu comme québécois et ils désirent faire partie de la culture québécoise.

Dans ce film, il est question de la réalité culturelle, sociale et morale de ces trois jeunes adolescents. Les trois jeunes s’expriment clairement sur leur situation. Chacun des trois n’ont pas les mêmes opinions et ils s’expriment sur leur rôle à jouer dans notre société.

Ce film comporte des scènes typiquement québécoises. Nous les voyons se promener au centre-ville durant l’hiver discutant de solidarité. Le film se termine dans un chalet durant l’hiver assit à une table tout trois avec un repas chaud à discuter des accommodements raisonnables.


Critique

Dans ce film, les trois étudiants nous parlent de leur famille chacun leur tour. Chison parle cantonais avec ses parents. Il ne parle pas vraiment le français. Il est triste face à cette situation. Pour ses parents, l’intégration fut difficile. Ses parents n’ont pas vraiment eu de temps d’aller à l’école pour apprendre le français. Dès leur arrivée, ils ont commencé à travailler afin de subvenir au besoin de la famille. Pour ses parents, il est important que Chison comprenne le français afin de s’intégrer à la société et pour son bien-être. Si ses parents auraient à retourner dans leur pays d’origine, pour Chison, il resterait quant à lui au Québec. Ses parents ne sont pas contre sa décision et ils acceptent tous les deux son choix. Pour ses parents, le plus important est qu’il n’oublie pas le Vietnam et ses origines. Comme nous pouvons constater, la réalité de plusieurs immigrants est d’apprendre la langue française qui facilite l’intégration dans la société. Que ce soit pour aller à l’école, s’instruire ou bien pour obtenir un emploi afin de travailler.

Pour Sandrine, elle et sa famille retourne chaque été en Tunisie pour visiter et passer des vacances. Dans sa tête, elle aurait retournée vivre là-bas. Cependant, son désir à changer avec le temps. La mentalité Tunisienne n’est pas pareil que la mentalité québécoise. Ici, au Québec, elle connait ses limites et les respectes tout en se respectant elle-même. Là-bas, en Tunisie, elle doit s’assurer de respecter les règles et elle doit même s’assurer qu’elle ne dérange pas les autres soit par sa façon d’agir, par son habillement ou tout autre façon d’agir.

Darlyne quant à elle, sa famille est venue au Québec afin de découvrir un monde nouveau, une nouvelle culture. Ses parents ont connu la famine et les difficultés économique. Pour eux, le Québec était l’endroit où il y était question de source de nutrition. Là-bas, la sexualité et la religion sont des sujets taboo. Ses parents ne comprenaient pas qu’ici on donne des préservatifs et des moyens de contraception aux jeunes afin qu’ils se protège des maladies transmissibles sexuellement ou d’une grossesse non prévue. Les valeurs d’ici versus les valeurs de ses parents sont deux opposés. Pour les parents c’est un combat chaque jour pour garder les enfants près d’eux.


Leurs parents proviennent de culture différente dans laquelle ils sont enracinés. Les adolescents apportent leur opinion en se basant sur ce que les parents leur inculte mais aussi de ce qu’ils apprennent au fil du temps avec la culture du Québec.

Plusieurs de ces jeunes ne désirent pas décevoir leur parent. C’est un vrai combat d’acceptation. Mais en même temps, c’est à eux de prendre les bonnes décisions car c’est leur vie. En revanche, il est important la fierté des parents face à la réussite. Que ce soit dans leur étude, pour leur carrière ou leur futur vie familiale.

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