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ADM1013 - TN1

Étude de cas : ADM1013 - TN1. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Janvier 2019  •  Étude de cas  •  1 189 Mots (5 Pages)  •  462 Vues

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Ce travail noté consiste en une analyse du cas nommé « Laiterie de la Rive-Sud ». La toute permière étape consiste à déterminer s’il s’agit d’une approche problème ou rélexive. A la lumère de certaines informations relevées dans le texte telles que le ton et la teneur des dires d’un ancien chauffeur, « Il était impossible de faire quoi que ce soit […] ce n’était jamais correct » et « nous n’étions pas motivés à faire mieux », la situation semble problèmatique. L’approche problème semble donc être la méthode appropriée pour la réalisation de cette étude. Le but sera donc de trouver une solution à un ou plusieurs problèmes identifiés.

Nous allons donc organiser notre travail selon les six étapes de l’analyse selon l’approche problème : le résumé des faits, l’identification du problème, l’identification des causes du problème, l’inventaire des solutions possibles, le choix et la réalisation de la solution et la justification de la solution.

Voici donc dans un premier temps le résumé des faits qui va refléter la situation problèmatique. La Laiterie de la Rive-Sud est une entreprise québecoise produisant des produits laitiers qu’elle distribue elle-même, par le biais d’une unité de distribusion, dans différents points de vente. Cette entreprise locale, depuis sa création, a toujours su demeurer rentable. Depuis ses années d’existance, on note qu’elle n’a été l’objet ni de réorganisation ni d’expension.

Nous nous concentrons dans ce texte au cas de l’unité de distribution, qui couvre un  rayon de distribution de petite envergure, « environ 80 km de la laiterie », et est qui composée d’un gestionnaire ayant sous sa supervision un superviseur, un expéditeur et dix chauffeurs employés par l’entreprise. Il est fait mention du rôle et des responsabilités de l’expéditeur et des chauffeurs. On nous présente également le directeur de la laiterie et le rôle qu’il joue au sein de l’unité de distribution. Tout d’abord, M. Brown, l’expéditeur, est une personne ayant une grande ancienneté dans l’entreprise, 35 ans. Ses tâches sont de s’assurer que les chauffeurs aient le stock adéquat pour chaque livraison. Il s’occupe de charger les camions le matin, de l’entretien de la bâtisse, et de la bonne tenue des stocks. Les chauffeurs-livreurs sont, de leurs côtés, en première ligne dans la satisfaction des clients chez qui les produits sont livrés. Ils sont responsables du bon fonctionnement de leur camion, et doivent s’assurer du bon suivi des produits sortants de leur camion. Ceux sont aussi eux qui ont la responsabilité de récolter les paiements des livraisons.

Le directeur de la laiterie, M. Jerry Jones est une personne ayant une grande ancienneté dans l’entreprise, 20 ans, mais qui occupe son poste depuis sept ans. Sa constante préoccupation du travail bien fait est démontrée par son parcours, c’est lui qui a mis en place le contrôle interne mais aussi les parcours de distribution. De par le fait qu’il représente un employé important dans l’entreprise, ses fonctions de supervision s’étendent aux finances, au marketing et à la production. Il couvre donc tous les postes de contrôle.

Lors d’une rencontre avec le président, M. Jones fait état de ses inquiétudes vis-à-vis de la motivation des chauffeurs. Il compare le moyen de rémunération, actuellement hedbomadaire, par rapport à un salaire sous commission, pratiqué antérieurement. Il expose aussi sa façon de contrôler leur travail quotidiennement en vérifiant « constamment ce qu’ils font ». En ce qui concerne la satisfaction clientèle, il laisse peu de crédit aux chauffeurs en cas de mécontentement et ne considère que la version des clients en se redant « directement à leur magasin pour trouver la source du problème ».

En parallèle, un ancien chauffeur a exposé la version des faits en lien avec le mode de contrôle de M. Jones en mettant en avant que « ce n’était jamais correct ». Il décrit le manque d’autonomie qu’il lui était accordé et le manque de motivation qui en découlait. Tout cela a conduit à des écarts de conduite, de sa part et celle d’autre chauffeurs aussi. Il met en avant une « pratique commune » de détournement de d’argent appuyée par un mauvais contrôle des stocks. On ne sait d’ailleurs pas pourquoi ce chauffeur ne fait plus parti de l’entreprise.

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