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Devoir numéro 1 BTS Communication Culture

Étude de cas : Devoir numéro 1 BTS Communication Culture. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Février 2021  •  Étude de cas  •  617 Mots (3 Pages)  •  516 Vues

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Devoir numéro 1 E1

Exercice 1

1. Tzvetan Todorov est un penseur, également théoricien de la littérature avec ses différentes recherches sur la mémoire.

2.Ce texte est un extrait de l’une de ses œuvres intitulée « La vocation de la mémoire », qui est une extrait d’une revue scientifique, cette revue est nommée Cahier Français.

3. Il a été publié dans la revue des mois de Juillet/ Aout .

4. On peut effectivement retrouver des allusions historiques à quelques moments du texte , l’auteur évoque l’époque de publication de l’extrait, il évoque le fait de passer d’un siècle à l’autre dès la première ligne « fin d’un siècle et début d’un autre ». Par la suite, il aborde plusieurs sujets passés mais sans qu’ils apportent une précision sur l’époque de parution du texte.

Exercice 2

Irrévocablement→ de manière brève, définitive.

Reliques→ objet ancien.

Ferveur→ chose faite avec beaucoup d’enthousiasme.

Compulsive→ action effectuée avec rapidité, action irréfléchi.

Commémoration rituelle→ se rappeler le souvenir de quelqu’un à travers une célébration.

Droits imprescriptible→ un droit qui ne peut pas s’éteindre.

Recouvrement→ terme économique qui désigne une démarche réalisé par un créancier pour obtenir d’un débiteur qu’il s’acquitte d’une dette d’argent qu’il a contracté envers lui.

Sécrète→ qui fait quelque chose sans apport extérieur.

Exercice 3 

1. Tzvetan Todorov met une distance entre la mémoire et lui en expliquant que de son point de vue , cette préoccupation des Français pour la mémoire requiert une certaine prise de recul. Selon lui, celle ci paraît être au cœur de toute les attentions mais elle nécessite d’être comprise et interprétée correctement afin d’en saisir le sens. Il utilise donc des négations pour prendre de la distance → « ne peut être considérée comme allant de soi ».

2. Au vue de ce texte, Tzvetan Todorov ne refuse pas la connaissance du passé, mais il montre que pour lui la passé à une connotation négative.

On peut utiliser le passé pour entre guillemets le modeler à notre façon et entre autre émettre des contre-sens en ne montrant que certains aspects négatifs alors qu’en réalité, les aspects positifs sont encore plus présent.

3. Pour Tzvetan Todorov, les aspects négatifs des commémorations rituelles sont pour lui un frein pour l’évolution des Français → « une faible utilité pour l’évolution de la population », le fait de trop penser au passé nous fait oublier nos problèmes actuels. Les commémorations rituelles détournent « notre attention des urgences présentes ».

4. Le lien entre ces paragraphes et le précédent  à un rapport avec l’évolution de l’être humain. C’est l’intérêt numéro un du devoir de mémoire de défendre les faits, c’est notre rôle de créer notre avenir sans nous préoccuper du passé si il n’y en a pas l’intérêt. Si on reste bloquer sur un évènement du passé, cela a des répercutions sur notre présent, on en oublie de vivre pleinement et on ne peut pas penser à notre futur.

5. La solution d’après Tzvetan Todorov est de faire preuve de raisons et de délibérations pour que le passé soit bénéfique, au lieu de vouloir imposer ses idées contre le gré de la population. Il préconise également d’accepter les cotés négatifs du passé pour pouvoir avancer librement tout en gardant le meilleur et d’accepter que tout ne soit pas toujours parfait.

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