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Situation de stage UE 2.10, 1.3 et 4.1

Étude de cas : Situation de stage UE 2.10, 1.3 et 4.1. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Janvier 2021  •  Étude de cas  •  3 841 Mots (16 Pages)  •  1 934 Vues

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IRFSS Centre-val de Loire                                                                                        [pic 1]

IFSI CRF

6 avenue Alexandre Minkowski

CS 40324

37173 Chambray les Tours Cedex

[pic 2]

SITUATION DE STAGE EN LIEN AVEC LES UE 1.3,  4.1 ET 2.10

Formateur référent : Jessica Pigeaud

                                                                        

                                                                        ASKLUND Antoine

                                                                        Étudiant en soins infirmiers

                                                                        Année 2020-2021

                                                                        Promotion 20120/ 2023

                                                                        Semestre 1

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SOMMAIRE :

I/ - description de la situation

II/ - Analyse

  1. UE 1.3 : éthique, législation et déontologie
  2. UE.2.10 : Infectiologie et hygiène
  3. UE.4.1 : Soins de confort et de bien-être

III/ - Conclusion

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I/ - description de la situation

Étudiant en première année en soins infirmiers durant ma dernière semaine de stage ou j’étais au CHU, j’ai été témoin et acteur de la situation suivante ;

Hôpital Bretonneau, service d’USC-Neurochirurgie, 21h40.

En tournée avec l’équipe de nuit, je rentre dans la chambre de monsieur V, le trouve désorienté, sur son lit, dans une position ventrale inconfortable .

Monsieur V est arrivé en fin d’après midi dans le service, c’est un patient qui a été opéré pour une rupture d’anévrisme. A son réveil Monsieur V se portait bien mais au bout de 2 jours son état s’est dégradé et son score sur l’échelle de Glasgow oscillait entre 13 et 14. Il est alors suspecté de vasospasmes, ce qui est assez courant chez les patients opéré d’une rupture d’anévrisme (1/3). Il a donc été transféré dans le service d’USC neurochirurgie afin de bénéficier d’une surveillance renforcée en cas de complication.

Nous étions informés que monsieur V était assez agité ces dernières heures, j’allais donc toute les demi-heure lui rendre visite pour s’assurer que tout allait bien.

Il était environ 21h40 lorsque l’infirmier et moi remarquions que la saturation de monsieur V n’était plus indiquée sur nos écrans, je me lave donc les mains et toque à la chambre. N’entendant pas de réponse je toque une deuxième en vain. Je décide donc de rentrer dans la chambre pour m’assurer qu’il n’y a pas de problème.

En entrant dans la chambre, j’active la présence et je découvre monsieur V sur son lit en position ventrale et il semblait très confus. Ses draps ainsi que son oreiller sont au sol et sa casaque est déboutonnée. Je décide donc d’appeler les aides soignantes et l’infirmier pour repositionner le patient.

Je rehausse le lit puis l’infirmier et moi retournons monsieur V pour le mettre sur le dos tout en le rassurant et en prenant soin de le manipuler avec précaution. Tandis que l’aide soignante ramasse les draps souillés, elle s’aperçoit que le drap est taché de sang et le signale à l’infirmier.

L’infirmier remarque par la suite que cette tache de sang est du à la perfusion du patient qui s’est arrachée ainsi que sa saturation d’oxygène au doigts.

Monsieur V était perfusé à la main droite, une poche de BIOG5 et ses traitements étaient en cours d’administration par le biais de la perfusion, par conséquent la ou le patient était piqué nous constatons un écoulement de sang du a cette perfusion arrachée.

L’infirmier me demande de me désinfecter les mains, de me munir de gants et d’une compresse stérile accompagnée de bétadine pour faire pression sur le point de saignement pour éviter que l’écoulement se prolonge. L’infirmier met un strip par la suite pour maintenir la compresse stérile tandis que je reboutonnais sa casaque.

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Nous décidons de questionner Monsieur V, de lui faire un test glasgow et contrôler la réactivité de ses pupilles. Nous nous apercevons que le patient est plus perturbé que lors de la dernière visite et surtout plus excité.

Comme les draps de Monsieur V étaient souillés, l’aide soignante me demande d’aller chercher de nouveaux draps, couverture et housse d’oreiller pour les changer.

Je pars me munir du nécessaire dans le chariot des aides soignants.

En revenant, l’infirmier place le patient en position latérale en maintenant son dos pour que l’aide soignante et moi placions le draps propre, ensuite monsieur V se tourna vers moi, je maintient aussi son dos  tout en le tenant par la main pendant que l’aide soignante passe le draps de l’autre coté. Nous avons ensuite changé sa couverture et sa housse d’oreiller.

Une fois cela terminé nous repositionnons le patient confortablement dans son lit, l’infirmier me demande d’aller chercher un microperfuseur épicrânien et des pansements adhésifs pour maintenir en place le cathéter ainsi que des compresses stériles imbibées de bétadine.

L’infirmier se lave les mains, retire la compresse mise auparavant, désinfecte la zone et sort son microperfuseur pour reperfuser le patient.

Cependant monsieur V est très agité et donc difficile à perfuser, l’infirmier me demande de tenir son bras le temps du soin. Je ne sert pas le bars de Monsieur V, je lui maintient avec précaution et lui explique que c’est nécessaire pour faire passer ses médicaments.

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