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Langage non-verbal

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Par   •  13 Décembre 2017  •  Cours  •  1 137 Mots (5 Pages)  •  883 Vues

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prise de parole en public

Faire des recherches sur l’organisation d’un discours (Livre : Comment ne pas endormir son auditoire avec un diaporama) :

  • Accroche & Introduction
  • Plan & Développement p.10-21
  • Transitions & mini-Synthèses p.22
  • Conclusion p.25-26

Faire des recherches sur la mise en relief de la prise de parole (les composants de la communication non-verbale / la communication non-verbale).

Qu’est-ce que le V.A.K. ou le V.A.K.O. ? Ce sont trois façons différentes de percevoir le monde.

  1. Accroche & Introduction

Dans l’accroche, il faut ouvrir le discours avec une histoire personnelle qui est en lien avec que qui suit. Il faut y mettre de l’énergie car l’accroche donne le ton du discours. Il est conseillé de faire une ouverture humoristique pour mettre en confiance l’auditoire et l’auditeur. Puis, on peut ouvrir sur une situation intéressante. L’accroche sert à capter l’attention du public en le « choquant » et amorce l’introduction. Elle se construit avec une question en lien avec le sujet mais qui pourrait déstabiliser le public.

Dans l’introduction, on annonce les termes essentiels du sujet. Ensuite, on expose la problématique (s’il y en a une). Enfin, on annonce le plan par des phrases sans les numéroter, et ne pas donner la conclusion. Expliquer le choix du sujet (« Pourquoi ? »).

  1. Plan & Développement

Dans le développement, on commence par donner le message principal. Il faut donner une seule idée par phrase lorsque l’on donne le plan dans l’introduction. Il peut y avoir plusieurs objectifs : convaincre, informer, faire agir l’interlocuteur. Pour animer le discours, il faut donner des anecdotes, de l’histoire, pour le pas ennuyer l’auditoire. Il ne faut pas trop en dire ni réciter pour que cela paraisse naturel. On peut énoncer une thèse-antithèse ou un sujet principal en utilisant la technique du QQOQCP. Il faut qu’il n’y ait qu’un seul sujet ou qu’une seule idée par partie.

  1. Transitions

Une transition correspond à un petit paragraphe entre deux blocs qui vont développer des parties. C’est très court et permet d’annoncer ce qui va suivre. On peut ainsi vérifier si le plan établi est suivi et logique. D’abord, on énonce le résumé de ce qui vient d’être dit, l’axe principal. Puis, on fait un lien logique avec la prochaine partie qui va être énoncée. Enfin, on annonce clairement l’axe qui va être développer. Normalement, chaque étape peut représenter seulement une phrase.

  1. Conclusion

La conclusion doit être synthétique et l’objectif est d’ouvrir sur une question proche. Il faut répondre à la problématique (s’il y en a une) de manière convaincante. Elle doit être séparée du développement bien distinctement. La méthode : phrase d’introduction, temps fort, ouverture. Malgré qu’elle soit énoncée à la fin du discours, il faut préparer la conclusion au début : c’est là où l’on veut en venir, on fait donc le plan en fonction de cela. On peut aider l’auditoire à savoir ce qu’il faut retenir de ce discours.

  1. La communication non-verbale

La communication complète le message auditif par des silences, des gestes, des postures, des expressions faciales, le ton de la voix, le rythme de l’élocution, etc. Elle exprime des émotions, des sentiments et des valeurs. Elle va crédibiliser le message verbal et représente 55% du message global, dont 38% représentés par le ton de la voix.

  • Ne rien dire, c’est déjà dire quelque chose : le silence est très important pour faire passer un message
  • Le paralangage inclue le timbre et le volume de la voix
  • Certains gestes sont un peu connotés (hochement de tête = accord ; poing levé = révolte ; etc.)
  • D’autres sont barrières (mains sur les oreilles ; bras croisés = pas envie d’écouter ou d’interagir ; etc.)
  • Il y a aussi les signes conventionnels (applaudissement, hochement de tête, etc.)
  • Les expressions faciales, les mimiques et les mouvements corporels nourrissent le message (le clin d’œil : le message ne doit pas être pris au sérieux ; le regard panoramique = s’adresser à tout le public)
  • Le langage d’objet (exemple : vêtements et bijoux)
  • L’image projetée (celle de soi)
  • L’image souhaitée (celle que l’on aimerait donner)
  • L’image reçue : Celle perçue par les autres
  • Le toucher : premier mode de communication de l’être humain, le plus fort qui soit (ex : le bébé qui touche à tout)
  • Les messages non-verbaux (ex : les gens en retard sont irrespectueux)
  • Les zones : intime (15-45 cm), personnelle (45-120 cm), sociale (120-350 cm) et publique (> 350 cm)
  1. Les composantes du langage non-verbal

Le langage non-verbal, c’est-à-dire corporel, compte huit composants principaux pouvant être seuls ou combinés. Les émotions, les envies et autres sentiments sont exprimés de cette manière. Les messages envoyés par le langage non-verbal sont conscients ou inconscients.

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