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Psychologie sociale des organisations

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Par   •  14 Mars 2019  •  Cours  •  818 Mots (4 Pages)  •  1 018 Vues

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Psychologie sociale des organisations

La psychologie sociale des organisations c’est aussi la psychologie du travail et les thématiques que vous devez connaitre, cela concerne : les structures, les relations d’autorités, la motivation au travail, la culture d’entreprise, et les stratégies des acteurs.

  • Qu’est-ce qu’une organisation ?

C’est une collectivité qui regroupe un certain nombre d’acteurs avec des objectifs communs, on parle même d’une finalité commune. Et qui mette en commun des ressources (matériels, humaines, financières) et des moyens pour atteindre ces objectifs.

  • Les différentes catégories d’organisations :
  • Marchandes : publiques (EPIC : établissements publique industriel et commercial, SEM : société économie mixte) et privé (société commerciale : TPE, PME…)
  • Non marchandes : publiques (services publiques : le ministère, agence régionale de la Santé) et privé (médecin sans frontières, les associations...)

  1. Théories classiques des organisations

C’est l’époque industriel : fin 19ème.

Max Weber (1864-1920), Taylor (1856-1915), Fayol (1841-1925), Ford (1863-1941) ont créer l’OST[1].

  • Max Weber c’est un scientifique, son principe est de théorisé l’organisation bureaucratique du travail elle fonctionne suivant le principe de l’autorité, celui qui commande produit le règlement, il le diffuse par des notes de services et les employés doivent l’appliquer.  L’organisation bureaucratique ne prend pas en compte les humains. Il a apporté la rigueur, le côté désincarné.

  • Taylor il part sur 3 principes pour organiser le travail : la prospérité doit être le but de travail de tout hommes qui travaillent, l’enrichissement c’est la quête d’un salaire, il existe des conflits entre le patron et l’ouvrier ; les méthodes de travail sont souvent inefficaces.
  • Il propose donc la standardisation du travail (mettre en place des normes pour améliorer la performance)
  • Il faut décomposer les taches et spécialisé les ouvriers sur chaque de ces étapes : la division horizontale du travail.  
  • On doit distinguer la conception (les chefs) et l’exécution (les ouvriers) c’est la division verticale.
  • Sélectionner et entrainer les ouvriers.
  • On essaie de motiver le salarié, avec un salaire qui dépendra des résultats.

Le côté positif du taylorisme c’est l’efficacité, d’une grille de rémunération qui permet de motiver.  

  • Henry Ford, le fordisme. C’était un patron, qui a inventé le travail à la chaîne avec le principe de la cadence au travail. Toutes les pièces sont standardisées en grande série. (Travail à la chaîne comme Mcdo). Il a augmenté la rémunération de ses salariés. Faire baisser les coûts par la production de masse. Il a laissé place aux syndicats, pour parler entre chefs et salariés.

Le fordisme a entrainé de nombreuses entreprises dans le travail bureaucratique.

  • Travail à flux tendu : c’est le japonais qui ont inventé ça. C’est l’inverse du fordisme, 0 stock. On produit à la commande.

  • Fayol : il s’intéresse à la fonction administratif, comptable, financière, commerciale, technique et de sécurité. C’est la première chose à distinguer. POCCC (Prévoir, Organiser, Commander, Contrôler et Coordonné) afin de tirer la meilleure partie des agents. Le Fayolisme est encore appliqué aujourd’hui
  1. L’école des relations humaines

C’est les trente glorieuses. On a essayé de prendre en compte la psychologie des individus, leurs besoins, etc.… C’est un mouvement qui s’est inscrit aux réactions du taylorisme. Il n’y a pas de perspective d’avenir.

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