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Méthodologie dissertation en Histoire du droit

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Par   •  18 Février 2017  •  Analyse sectorielle  •  821 Mots (4 Pages)  •  1 243 Vues

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  1. Phrase d’accroche

Cette phrase doit absolument être faite, elle sert à introduire le sujet, d’élever le débat. Cela peut être une citation. Il faut cependant éviter de citer des hommes politiques « vivants » ; risque de mise en danger selon le bord politique du correcteur, risque de clivages…Pour les auteurs morts, on peut citer les hommes politiques anciens, tout en évitant de citer des personnalités clivantes (Pétain, Hitler…). Pas citer de films, musiques, de divertissements.

Le deuxième type de phrase d’accroche est celui de la re-contextualisation du sujet (historique, géographique…).

  1. Définir/Présenter le sujet

On doit préciser dans l’introduction quel est le sens que l’on veut donner au sujet. Sur un sujet de ce type, on va définir la révolution, ce que sont la morale et la politique. Définir est un exercice de manipulation. Il ne s’agit pas de dire le vrai, on doit juste avoir la capacité de définir les choses nous-même. Les définitions sont là pour construire le sujet, tel qu’on a envie de le faire.

La morale est une branche de la philosophie qui s’intéresse à la qualité du comportement individuel.

La politique on peut la définir comme étant une branche de la philosophie qui s’intéresse à la vie collective.

  1. Contextualisation du sujet
  1. Histoire et large

Il s’agit essentiellement d’expliquer tout ce qu’il y a avant le sujet (historiquement), les conditions qui amènent au sujet. Il faut aussi accorder le contexte avec le sujet.

Le contexte : la moitié de l’introduction, il faut sortir ses connaissances. Entre 30 et 40 lignes (introduction de 60-80)

  1. Juridique et précis

  1. Intérêt du sujet

Ce qui nous intéresse c’est le potentiel de voir ce qu’il y a derrière les grandes problématiques.

L’intérêt historique du sujet montre au correcteur une différence d’intelligence par rapport aux autres. L’intérêt ici : les révolutionnaires en ayant modifier ce pacte ont changé les rapports pour les deux siècles qui suivent. On vit sous le pacte moral et politique mis en place par les révolutionnaires. D’autant que les régimes du 19ème ont tous respecté ce pacte. Les révolutionnaires reviennent sur les rapports de politique morale sous l’antiquité. Les politiques doivent se contenter sous la morale. C’est le principe de la vertu. A partir de la renaissance, on a une dissociation dans l’histoire des idées politiques entre la morale et les idées politiques, notamment avec Machiavel. Il a fait de la politique une science « amorale », c’est le premier à faire ça. La politique est une question d’efficacité et pas de bien ou de mal. Machiavel inaugure la modernité politique et en Europe : deux grandes conséquences : l’apparition du concept d’État. L’État doit se permettre de tout faire : et le bien et le mal. Avec la raison d’État, on peut tout faire : lettres de cachets, exécution disproportionnées peine/faute commise, emprisonnements. C’est aussi l’apparition de l’absolutisme. Les révolutionnaires veulent détruire cette raison d’État pour revenir au pacte de l’antiquité.

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