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Philosophie générale état de la connaissance

Cours : Philosophie générale état de la connaissance. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  4 Décembre 2021  •  Cours  •  374 Mots (2 Pages)  •  266 Vues

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Philosophie générale TD

(Phédon : on y trouve une critique des sciences naturelles. Socrate explique que les sciences de la nature n’expliquent rien car elles se contentent de donner la causalité mécanique, mais ne disent pas « pourquoi » ce phénomène se passe comme ça ou comme ça).

Il y a apparemment des savoirs partout dans la cité, mais Socrate n’en voit nulle part. L’entreprise de destruction des faux savoirs paraît être rude. Il y aurait pourtant deux autres solutions, que la table rase :

  • Faire le tri entre ce qu’on sait de vrai et de faux
  • Ajouter quelque chose à nos croyances pour les fonder

Descartes réfute la fécondité du tri. Si on a un panier de pommes et que certaines sont mauvaises, il faut tout enlever d’un coup et ne remettre que les bonnes. Aristote lui préconise de faire le tour de toutes les théories qui existent, voir leurs bons et mauvais côtés.

États de la connaissance :

  • Savoir
  • Doxa, croyance
  • Ignorance

L’opinion et la croyance sont-elles identiques ? Question difficile chez Platon. On dit que la croyance n’est pas tout à fait du savoir mais n’est pas non plus de l’ignorance.

Il faut savoir comment se forme la croyance ; si elle n’est pas de l’ignorance, elle est quand même liée à l’activité de la pensée. La question c’est le type d’activité de la pensée qui forme des opinions. Socrate défini la pensée comme un mouvement, et l’opinion se produit quand la pensée arrête son mouvement.

Pourquoi Platon (Socrate) définit la pensée comme un mouvement ? Platon donne une définition de la pensée dans le Théétète, alors qu’il se demande ce que la connaissance et qu’il donne différentes définitions. Il dit que le savoir est la sensation, puis l’opinion vraie, et puis aporie. Il donne la définition de la pensée comme dialogue de l’âme avec elle-même. « Une âme qui pense ne m’apparaît en effet ne faire rien d’autre que dialoguer, elle s’interroge elle-même et se répond ». 

 Pourquoi on s’arrête : désir de certitude, désir de cohérence avec ses actions, désir de cohérence avec ses autres opinions, fatigue.

Les opinions vraies sont facilement détruites et ne peuvent être enseignées, simplement inculquées. Est-ce qu’un discours vrai peut être ou non persuasif ?

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