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ADM1002 - Travail noté 1, Les assurances Sécuriplus

Étude de cas : ADM1002 - Travail noté 1, Les assurances Sécuriplus. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Septembre 2019  •  Étude de cas  •  2 370 Mots (10 Pages)  •  700 Vues

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Les assurances Sécuriplus

Question 1 : En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond aux principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail?

La division du travail

Celle-ci a été mise sur pied dans l’optique de favoriser et d’augmenter la productivité des employés au sein d’une organisation. Ce principe à « pour effet d’accroître le rythme de fabrication, de rendre les ouvriers plus habiles à la réalisation d’une tâche donnée et de leur permettre d’inventer de nouvelles façons de travailler ». (Management à l’ère de la société et du savoir, 2011, p.34). Babbage, quant à lui mentionne que tous les ouvriers devraient être rémunérés différemment, et ce, en fonction des tâches exécutées et de leur niveau de difficulté. (Ibid.,). Dans le cas des Assurances Sécuriplus, nous pouvons remarquer que premier principe du management soit « celui de la division et de la spécialisation du travail » (Management à l’ère de la société et du savoir, 2011, p.33) est utilisé dans le but d’accélérer le traitement des diverses demandes dans les dossiers d’assurances.

La société d’assurances Sécuriplus comprenait trois divisions d’assurances biens distinctes. Tout d’abord, il y avait la division vie qui comprenait les polices d’assurance-vie de type conventionnelles qui étaient particulièrement vendues auprès des particuliers. Ensuite, il y avait la division industrielle qui quant à elle vendait des polices d’assurance-accident, d’assurance-invalidité sur une période à long terme et divers compléments à l’assurance-maladie qui étaient d’avantages vendues auprès des grosses organisations. Finalement, il y avait la division médicale qui vendait des assurances pour les médicaments de même que les soins dentaires qui étaient également vendues auprès des employeurs. (Étude de cas, Les Assurances Sécuriplus, p.1 et 2). Chacune des divisions avait son propre organigramme et les tâches de chaque employé étaient distinctes et biens définies.

Voici quelques extraits de l’étude de cas illustrant bien ces propos :

« Chacune de ces divisions fonctionnait dans un environnement administratif et dans un contexte de marketing bien différent de sorte qu’elles étaient gérées comme des entités virtuellement indépendantes. Chaque division avait sa propre direction, son équipe de vente, ses services administratifs et son personnel de bureau ». (Étude de cas, Les Assurances Sécuriplus, p.2).

« La division médicale comptait 66 employés répartis comme suit : sept cadres supérieurs, 20 vendeurs, 25 commis de bureau et 14 préposés à l’administration. […] Elle avait sa propre équipe de ventes, ses systèmes informatiques, ses banques de données informatisées sur les bénéficiaires, ses services comptable et son équipe d’analystes ». (Ibid.,).

L’organisation scientifique du travail

Celle-ci a été créée en 1911 par un ingénieur en sidérurgie nommé Taylor. À la base, l’objectif premier de Taylor « était de concilier les intérêts économiques des patrons avec ceux des employés pour la prospérité de tous ». (Management à l’ère de la société du savoir, 2011, p.36). Dans le but de poursuivre cet objectif, Taylor a développé les cinq principes suivants : « La recherche de la meilleure méthode pour réaliser une tâche […]; Le recrutement de l’individu le plus apte à accomplir la tâche […]; La formation, le suivi et le contrôle permanents du personnel; La mise en place d’un système de salaires proportionnel au rendement; La séparation rigoureuse des tâches entre ceux qui conçoivent […] et ceux qui exécutent ». (Management à l’ère de la société du savoir, 2011, p.37).

Quelques-uns de ces principes sont mis en pratique au sein des assurances Sécuriplus par monsieur Jean Blanchette, directeur du service des réclamations et des médicaments. Tout d’abord, il a fait plusieurs études concernant le traitement des réclamations dans l’optique d’améliorer le service et réduire les délais de traitement, car « le service de réclamations/médicaments ne savait pas comment s’y prendre ». (Étude de cas, Les Assurances Sécuriplus, p.5).

Voici quelques extraits de l’étude de cas appuyant les propos énumérés ci-haut :

« […] le service avait effectué une étude des temps de traitement qui portait sur des dizaines de milliers de réclamations de chaque catégorie. L’étude répertoriait les temps de traitement internes de chaque type de réclamation ». (Ibid.,).

L’étude faisait également « ressortir la distribution des activités consacrés au déplacement, au classement, à l’inspection et au traitement de chaque type de réclamation ». (Étude de cas, Les Assurances Sécuriplus, p.7).

Monsieur Blanchette s’assure également de donner de la formation a ses employés, ce qui est également un principe élaboré par Taylor, afin de les aider à connaitre adéquatement leur travail et être capable d’effectuer leurs tâches au quotidien.

Voici un extrait de l’étude de cas appuyant ces propos :

« Nous avons investi des milliers de dollars en formation interne et j’ai envoyé tous les commis aux réclamations suivre des cours de saisie et de traitements des données à l’extérieur». (Étude de cas, Les Assurances Sécuriplus, p.10).

Finalement, nous pouvons conclure que l’entreprise Sécuriplus applique quotidiennement dans sa gestion d’entreprise les principes de la division du travail et de l’organisation scientifique du travail.

Question 2 : En quoi l’entreprise Assurances Sécuriplus correspond ou ne correspond pas aux principes administratifs tels que définis par Henri Fayol?

Selon monsieur Henri Fayol, le fondateur de l’administration classique, il existe des possibilités illimitées concernant les principes administratifs, cependant il en propose quatorze principaux qui les qualifient comme étant les principes généraux. Voici les 14 principes généraux concernant les organisations proposés par Fayol : « La division du travail […]; L’autorité et la responsabilité […]; La discipline […]; L’unité de commandement […]; L’unité de direction [...]; La subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général […]; La rémunération […]; Le degré de centralisation […]; La hiérarchie […]; L’ordre […]; L’équité […]; La stabilité du personnel […]; L’initiative […]; L’union du personnel […] ». (Management à l’ère de la société du savoir, 2011, p. 41

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