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Synthese de droit

Fiche : Synthese de droit. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Juin 2015  •  Fiche  •  1 477 Mots (6 Pages)  •  953 Vues

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Chapitre 1 : La logique entrepreneuriale

La logique entrepreneuriale peut également être appelée « l’entrepreneuriat », c’est-à-dire, ce que font les entrepreneurs.

La principale caractéristique d’un entrepreneur est la prise de risques.

En d’autres termes, l’entrepreneur se caractérise par le fait qu’il est animé d’un esprit d’entreprise. Par esprit d’entreprise, nous entendons la capacité à prendre des risques.

On peut également définir l’entrepreneur par deux autres caractéristiques qui sont la créativité et la ténacité.

L’entrepreneur se distingue ainsi du manager car il est motivé par l’envie de prendre des risques en engageant ses capitaux dans une sorte d’aventure qui s’appelle « entreprise ». Cette aventure consiste à créer quelque chose de neuf (innovation) en mobilisant différentes ressources plus ou moins rares (capital technique, capital humain, capital financier, matières première, etc.)

Ainsi, l’entrepreneur est au cœur de la dynamite industrielle et du développement économique, comme le souligne l’économiste autrichien Joseph SCHUMPETER.

Chapitre 2 : La logique managériale

Le manager se définit par cinq tâches qui sont spécifiques à sa fonction :

  • Définir une stratégie, c’est-à-dire, des objectifs à atteindre.
  • Choisir une structure permettant de mettre en œuvre cette stratégie. La structure correspond à l’organisation du travail et à la répartition des pouvoirs au sein de l’entreprise.
  • Mobiliser et motiver les salariés. Libre à chaque manager de choisir la manière dont il souhaite motiver ses salariés.
  • Déterminer les critères de performances et vérifier que ces critères sont atteints.
  • Former ses salariés et se former également soi-même.

Le manager se distingue de l’entrepreneur par les facteurs suivants :

  • Il n’a pas un goût prononcé pour la prise de risques
  • Il ne prend pas de décisions particulièrement hardies car il sait qu’il gère des ressources qui ne lui appartiennent pas.
  • Il a tendance à préférer améliorer l’existant plutôt que de l’abandonner ou de créer quelque chose de neuf comme l’aurait fait naturellement l’entrepreneur.

Toutefois, la logique managériale et la logique entrepreneuriale sont complémentaires.


Chapitre 3 : Les finalités de l’entreprise

L’entreprise poursuit quatre finalités :

  • Les finalités financières : la recherche du profit
  • Les finalités économiques : répondre aux attentes des clients et consommateurs.
  • Les finalités sociales : appliquer une politique sociale favorable aux salariés en améliorant leurs conditions de travail (rémunération, formation, carrière, etc.)
  • Les finalités sociétales : la prise en charge des dépenses collectives ou le financement des activités d’intérêts générales. Elles s’inscrivent dans la logique d’une entreprise citoyenne.

Cependant, certaines entreprises n’ont pas de finalités financières car elles ont été crées plus dans le but de rendre service que de s’enrichir à travers le profit. C’est le cas des organisations qui relèvent des secteurs d’économie sociale (association, ONG, etc.)

Chapitre 4 : Le management stratégique et le management opérationnel

Le management stratégique consiste à prendre des décisions stratégiques, à définir les grandes orientations de l’entreprise, les objectifs à long terme. Le PDG et le DG sont les principaux acteurs qui interviennent dans le domaine du management stratégique.

Le management opérationnel consiste à mettre en pratique les décisions stratégiques prises au niveau du management stratégique. Les acteurs intervenant dans le management opérationnel sont les cadres supérieurs, les cadres intermédiaires, les chefs de service et les contremaîtres.

Ces deux niveaux de management sont complémentaires.

Chapitre 5 : La performance de l’entreprise

La performance de l’entreprise se mesure selon deux axes :

  • Efficacité : les résultats obtenus par rapport aux objectifs fixés
  • Efficience : les résultats obtenus par rapport aux moyens mis en œuvre
  • Critères quantitatifs de la performance : chiffre, ration, pourcentage, etc.
  • Critères qualitatifs de la performance : délais, taux d’absentéisme, qualité du management, etc.


Chapitre 6 : Les styles de direction

Les styles de direction influencent la prise de décisions.

D’après le psychologue LIKERT, on distingue quatre styles de direction :

  • Exploiteur
  • Paternaliste
  • Consultatif
  • Participatif

Certains facteurs peuvent influencer le style de direction comme la personnalité du dirigeant, sa formation, l’adhésion des collaborateurs à la culture d’entreprise, les tailles de l’entreprise, etc.

Chapitre 7 : Les décisions et le processus de décision

D’après Igor ANSOFF, on distingue trois types de décisions :

  • Stratégiques : la relation de l’entreprise avec son environnement (choix des produits et des marchés)
  • Tactiques ou administratives : la mobilisation et la gestion des ressources (humaines, financières, etc.)
  • Opérationnelles : la gestion courante, au quotidien, de l’entreprise (gestion de planning, réparation des équipements, etc.)

D’après, Herbert SIMON, le processus décisionnel peut être divisé en trois étapes :

  • Phase 1 : identification du problème (intelligence)
  • Phase 2 : présentation de solutions au problème posé (modélisation)
  • Phase 3 : choix d’une solution (sélection)

On peut ajouter à ces trois phases, une quatrième, appelée « évaluation »

Chapitre 8 : Les parties prenantes et les contre-pouvoirs

L’entreprise est sous l’influence des parties prenantes qui peuvent exercer des contre-pouvoirs internes ou externes.

Ce qui permet de distinguer deux catégories de parties prenantes :

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